
Lors de la séance plénière consacrée aux questions d’actualité au gouvernement, le Premier ministre Ousmane Sonko a profité ce lundi de la tribune pour répondre aux attaques de l’opposition et lancer des avertissements aux chroniqueurs et insulteurs. Interpellé par le député Pape Djibril Fall sur la question de la justice, il a défendu la légitimité de la pression populaire sur le système judiciaire.
« Le peuple a le droit de faire pression sur la justice. Pourquoi pourrait-on interpeller le président de la République, le Premier ministre ou les députés, et pas la justice, alors qu’elle est rendue au nom du peuple ? », a-t-il lancé, soulignant que « le temps de la justice est le temps des hommes » et que celle-ci doit être rendue avec célérité.
Il a également déploré l'instrumentalisation de la justice : « Elle (la justice) a été discréditée depuis des années. Des magistrats ont été instrumentalisés, et tout le monde l’a vu. Aujourd’hui, il est temps de la reconstruire sur des bases solides ».
Face au boycott d’une partie de l’opposition parlementaire, Sonko a minimisé leur absence, les appelant à changer de stratégie. « Je me réjouis de constater que certains opposants s’accrochent à tout ce qu’ils peuvent. Leur dernier cheval de bataille ? Prendre la défense du ministre de la Justice dans une prétendue tension avec l’exécutif. Qu’ils trouvent autre chose à dire », a-t-il ironisé.
Ousmane Sonko a par ailleurs haussé le ton contre ceux qu’il accuse d’insultes et d’attaques personnelles. « L’opposition s’est éclipsée pour laisser place à des jeunes qu’elle instrumentalise pour proférer des insultes, porter atteinte à l’honneur et à la dignité des citoyens. Nous ne laisserons plus passer ces dérives », a-t-il martelé.
Enfin, il a assumé les mesures de fermeté face aux propos diffamatoires : « On dit que je suis derrière les arrestations. Ce n’est pas le cas. Je suis informé comme tout le monde. Mais désormais, à partir d’aujourd’hui, j’assume pleinement. Ceux qui se livrent à des insultes commanditées seront traités comme il se doit. Nous n’allons pas reculer ».
« Le peuple a le droit de faire pression sur la justice. Pourquoi pourrait-on interpeller le président de la République, le Premier ministre ou les députés, et pas la justice, alors qu’elle est rendue au nom du peuple ? », a-t-il lancé, soulignant que « le temps de la justice est le temps des hommes » et que celle-ci doit être rendue avec célérité.
Il a également déploré l'instrumentalisation de la justice : « Elle (la justice) a été discréditée depuis des années. Des magistrats ont été instrumentalisés, et tout le monde l’a vu. Aujourd’hui, il est temps de la reconstruire sur des bases solides ».
Face au boycott d’une partie de l’opposition parlementaire, Sonko a minimisé leur absence, les appelant à changer de stratégie. « Je me réjouis de constater que certains opposants s’accrochent à tout ce qu’ils peuvent. Leur dernier cheval de bataille ? Prendre la défense du ministre de la Justice dans une prétendue tension avec l’exécutif. Qu’ils trouvent autre chose à dire », a-t-il ironisé.
Ousmane Sonko a par ailleurs haussé le ton contre ceux qu’il accuse d’insultes et d’attaques personnelles. « L’opposition s’est éclipsée pour laisser place à des jeunes qu’elle instrumentalise pour proférer des insultes, porter atteinte à l’honneur et à la dignité des citoyens. Nous ne laisserons plus passer ces dérives », a-t-il martelé.
Enfin, il a assumé les mesures de fermeté face aux propos diffamatoires : « On dit que je suis derrière les arrestations. Ce n’est pas le cas. Je suis informé comme tout le monde. Mais désormais, à partir d’aujourd’hui, j’assume pleinement. Ceux qui se livrent à des insultes commanditées seront traités comme il se doit. Nous n’allons pas reculer ».
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