Toutefois, les férus du hip-hop la connaissent pour l'avoir suivi dans l'underground où elle s'est déjà fait un nom depuis bientôt une décennie. Déjà, en 2006, dans un magazine spécialisé, elle faisait part de son ambition de " devenir une vedette internationale " (rien que ça !), ce qui pouvait sembler étonnant, à un moment où le hip-hop sénégalais battait de l'aile, après la période de grâce des années 90. Aujourd'hui, avant même la sortie de son album et après seulement deux singles clippés, elle semble sur la bonne voie pour atteindre cet objectif qui pourrait paraître prétentieux. " Wallo ", le premier clip à l'esprit très hip-hop _ elle y dénonce les inégalités sociales qui minent le pays _, et " Trahison ", un son egotrip _ qui parle de ses déboires amoureux _, sont au top des charts nationaux. Quelqu'un disait d'elle que même la major Sony ne cracherait pas sur une telle perle musicale, qui plus est au plastique de mannequin. Son album annoncé, " Maux croisés ", 15 titres à l'éclectisme musical tranché dans un moule hip-hop, devrait cartonner, si on en juge par le succès des deux premiers singles.
Queen Biz est ce qu'il est convenu d'appeler une " tête bien faite ". Une facette méconnue de la nouvelle égérie du hip-hop sénégalais, à côté de Ndiaya, c'est son cursus scolaire et universitaire qui la destinait à une brillante carrière. En effet, Queen Biz est titulaire d'une maîtrise en Droit international et d'un master en Diplomatie et Relations internationales. La nouvelle Queen du hip-hop sénégalais entend d'ailleurs s'engager en politique à la fin de sa carrière musicale, mais elle n'est pas pressée et compte laisser le temps au temps. Une source proche de la dame et bien au fait de ses activités nous raconte qu'après le carton de " Wallo ", un membre du cabinet présidentiel, à l'outrecuidance bien trempée (suivez notre regard !), a voulu la recevoir au Palais de la République. Elle lui oppose un niet catégorique, sentant la récupération politique à plein nez, malgré la promesse de " terangas ", comme nos actuels locataires du Palais de la République savent si bien en faire (rappelez-vous Séguéla). Comme quoi, Queen est jeune, mais elle n'est pas petite, dé !
Source : seneweb.com
Queen Biz est ce qu'il est convenu d'appeler une " tête bien faite ". Une facette méconnue de la nouvelle égérie du hip-hop sénégalais, à côté de Ndiaya, c'est son cursus scolaire et universitaire qui la destinait à une brillante carrière. En effet, Queen Biz est titulaire d'une maîtrise en Droit international et d'un master en Diplomatie et Relations internationales. La nouvelle Queen du hip-hop sénégalais entend d'ailleurs s'engager en politique à la fin de sa carrière musicale, mais elle n'est pas pressée et compte laisser le temps au temps. Une source proche de la dame et bien au fait de ses activités nous raconte qu'après le carton de " Wallo ", un membre du cabinet présidentiel, à l'outrecuidance bien trempée (suivez notre regard !), a voulu la recevoir au Palais de la République. Elle lui oppose un niet catégorique, sentant la récupération politique à plein nez, malgré la promesse de " terangas ", comme nos actuels locataires du Palais de la République savent si bien en faire (rappelez-vous Séguéla). Comme quoi, Queen est jeune, mais elle n'est pas petite, dé !
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