La Délégation générale du pèlerinage (DGP), dirigé par l’islamologue Abdou Aziz Kebe, a organisé une conférence de presse ce vendredi dans leur siège sis à Ngor pour parler des mesures prises pour le pèlerinage de cette année. Ainsi, la date buttoir, pour les candidats qui veulent accomplir cette année le pèlerinage, est fixée au plus tard avant le 15 mai 2018.
«Le pèlerinage est un moment déterminé par ceux qui ont en charge le hadj sur leur territoire, c’est le ministre du Hadj en Arabie Saoudite. Cette année, le ministère du Hadj a dessiné un calendrier qui dit que toutes les informations qui doivent figurer dans le portail électronique doivent y être intégrer avant le 15 mai, c’est la raison pour laquelle la délégation a ouvert tôt pour respecter le calendrier du ministère du Hadj qui organise le pèlerinage et cette partie est hors de notre maitrise. Les gens qui ne sont pas inscrits jusqu’à cette date attendront l’année prochaine », a indiqué le délégué général Abdou Aziz Kebe.
Cette année, le Sénégal dispose d’un quota de douze millions huit cent soixante (12. 000. 860) et chaque candidat au pèlerinage doit verser au moins deux millions six cent mille (2. 600.000) franc cfa. Cette somme a été définie selon la délégation dans un « package (c'est-à-dire ce que le pèlerin paye de sa poche) qui comprend la pension à Médine 200.6000, la pension à la Mecque 841.000, la pension Mouna et Arafat 38.250, le service à Mouna et Arafat 199.000, la taxe saoudienne, le Zam zam, les vaccins 4.850, l’assurance complémentaire 4950 et le transport aérien 1.085.000 ».
L’Arabie Saoudite a des exigences et chaque pays doit s' conformer. Ainsi, «50% des pèlerins sénégalais, soit plus de six mille 6.000 pèlerins doivent emprunter une compagnie saoudienne. Ce n’est pas le fait du Sénégal. Ça, c’est la règlementation de l’Arabie Saoudite. C’est la raison pour laquelle nous sommes obligés de prendre une compagnie aérienne saoudienne », a révélé le délégué général.
Toutefois, la délégation générale exige à son tour de ces compagnies de se conformer au fisc sénégalais. « Avant de disposer d’un quota, le voyagiste privé doit nous présenter un quitus, il doit être quitte avec la fiscalité du pays », a-t-elle exigé.
Pour éviter les mauvaises nourritures servies l’année dernière, cette année selon Abdou Aziz Kebe : « Un contrat est signé avec trois fournisseurs à la Mecque pour s’occuper de la restauration à Mouna et à Arafat au lieu de laisser chacun s’occuper sa restauration à elle seule ».
Il ajoute également qu’à travers une réforme les 285 organisations qui intervenaient dans le recrutement des pèlerins et le convoyage ont été « réduits à 47 mais, l’objectif c’est d’avoir seulement 20 grands groupes qui pourraient convoyer l’ensemble des pèlerins sénégalais dans les meilleurs conditions de qualité ». Cette réforme a permis en même temps à la délégation de réduire le temps de résidence des pèlerins sénégalais en Arabie Saoudite. Ainsi, contrairement aux années précédentes où «l’on frôlait les quarante (40) jours », l’année dernière, la durée du séjour « était de vingt-sept (27) jours ». Cette année, selon la délégation « le pèlerin sénégalais ne passera pas plus de vingt-quatre (24) jours en Arabie Saoudite ».
«Le pèlerinage est un moment déterminé par ceux qui ont en charge le hadj sur leur territoire, c’est le ministre du Hadj en Arabie Saoudite. Cette année, le ministère du Hadj a dessiné un calendrier qui dit que toutes les informations qui doivent figurer dans le portail électronique doivent y être intégrer avant le 15 mai, c’est la raison pour laquelle la délégation a ouvert tôt pour respecter le calendrier du ministère du Hadj qui organise le pèlerinage et cette partie est hors de notre maitrise. Les gens qui ne sont pas inscrits jusqu’à cette date attendront l’année prochaine », a indiqué le délégué général Abdou Aziz Kebe.
Cette année, le Sénégal dispose d’un quota de douze millions huit cent soixante (12. 000. 860) et chaque candidat au pèlerinage doit verser au moins deux millions six cent mille (2. 600.000) franc cfa. Cette somme a été définie selon la délégation dans un « package (c'est-à-dire ce que le pèlerin paye de sa poche) qui comprend la pension à Médine 200.6000, la pension à la Mecque 841.000, la pension Mouna et Arafat 38.250, le service à Mouna et Arafat 199.000, la taxe saoudienne, le Zam zam, les vaccins 4.850, l’assurance complémentaire 4950 et le transport aérien 1.085.000 ».
L’Arabie Saoudite a des exigences et chaque pays doit s' conformer. Ainsi, «50% des pèlerins sénégalais, soit plus de six mille 6.000 pèlerins doivent emprunter une compagnie saoudienne. Ce n’est pas le fait du Sénégal. Ça, c’est la règlementation de l’Arabie Saoudite. C’est la raison pour laquelle nous sommes obligés de prendre une compagnie aérienne saoudienne », a révélé le délégué général.
Toutefois, la délégation générale exige à son tour de ces compagnies de se conformer au fisc sénégalais. « Avant de disposer d’un quota, le voyagiste privé doit nous présenter un quitus, il doit être quitte avec la fiscalité du pays », a-t-elle exigé.
Pour éviter les mauvaises nourritures servies l’année dernière, cette année selon Abdou Aziz Kebe : « Un contrat est signé avec trois fournisseurs à la Mecque pour s’occuper de la restauration à Mouna et à Arafat au lieu de laisser chacun s’occuper sa restauration à elle seule ».
Il ajoute également qu’à travers une réforme les 285 organisations qui intervenaient dans le recrutement des pèlerins et le convoyage ont été « réduits à 47 mais, l’objectif c’est d’avoir seulement 20 grands groupes qui pourraient convoyer l’ensemble des pèlerins sénégalais dans les meilleurs conditions de qualité ». Cette réforme a permis en même temps à la délégation de réduire le temps de résidence des pèlerins sénégalais en Arabie Saoudite. Ainsi, contrairement aux années précédentes où «l’on frôlait les quarante (40) jours », l’année dernière, la durée du séjour « était de vingt-sept (27) jours ». Cette année, selon la délégation « le pèlerin sénégalais ne passera pas plus de vingt-quatre (24) jours en Arabie Saoudite ».
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