Suite au décès par noyade de son enfant, Ramatoulaye, alors en classe de CE2, dans des conditions non encore élucidées, notre confrère Samba Mangane non convaincu par le rapport établi par les accompagnateurs, a cherché à connaître les circonstances du décès. L'élève étant sous la responsabilité de l'école était donc assurée comme tout élève et payait régulièrement sa scolarité. Et après une rencontre entre la Directrice et les parents, il était convenu de dédommager la famille. Las d’attendre, le père a déposé une plainte auprès du Doyen des juges qui a instruit la DIC (Division des Investigations Criminelles) de mener une enquête depuis le mois de février. Cette enquête n’étant jamais menée, une autre plainte a été déposée au niveau du même Cabinet et du Doyen des Juges qui a envoyé l’enquête cette fois à la Section de Recherches (SR) qui a entendu le père depuis le 17 août dernier.
Trois (3) mois après la plainte et un an, jour pour jour, après le décès de l’enfant intervenu le 18 novembre 2014, l’enquête n’est pas encore bouclée. La Directrice de l’école a été convoquée et entendue, de même que certains encadreurs dont la maîtresse de l’élève. Selon « Libération », les Cours Saint Marie de Hann veulent faire porter la responsabilité à la maîtresse de l’enfant. Or, c’est l’école qui est civilement responsable et non la maîtresse. Et les mêmes sources de préciser que l’époux de cette dernière est un haut gradé de la gendarmerie et qu’il n’acceptera pas que son épouse paie à la place des autres. Par ailleurs, le plaignant quant à lui, précise qu’il garde patience même si celle-ci a des limites.
Trois (3) mois après la plainte et un an, jour pour jour, après le décès de l’enfant intervenu le 18 novembre 2014, l’enquête n’est pas encore bouclée. La Directrice de l’école a été convoquée et entendue, de même que certains encadreurs dont la maîtresse de l’élève. Selon « Libération », les Cours Saint Marie de Hann veulent faire porter la responsabilité à la maîtresse de l’enfant. Or, c’est l’école qui est civilement responsable et non la maîtresse. Et les mêmes sources de préciser que l’époux de cette dernière est un haut gradé de la gendarmerie et qu’il n’acceptera pas que son épouse paie à la place des autres. Par ailleurs, le plaignant quant à lui, précise qu’il garde patience même si celle-ci a des limites.
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