Il a ainsi rappelé citant le document que le chômage n’a pas reculé entre 2005 et 2011 et le taux s’est établi à 10,2% alors qu’en 2005, il se situait à 10,0%. Pour faire face à « cette bombe sociale » le secteur privé insiste sur la nécessité de promouvoir l’entreprenariat, de veiller à la survie des entreprises pour plus de création de richesses, seule solution durable pour la création d’emplois. La commission secteur privé pense surtout que notre pays a besoin de plus en plus d’emplois qualifiés pour élever le faible niveau de productivité. Ceci passe par une bonne formation et un enseignement technique de qualité rappelle le secteur privé par la voix de M. Mor Talla KANE.
Des contraintes sont soulevées relativement à l’agriculture, l’industrie et le tourisme. Pour l’agriculture, « l’évolution erratique de performances tributaires de la pluviométrie installe notre croissance dans une instabilité totale qui est incompatible avec les objectifs de taux de 7% constants sur une longue durée ». Le secteur privé qui est convaincu que « le secteur industriel n’a pas toujours la place qu’elle mérite dans les politiques économiques » fait constater que concernant le secteur du tourisme, l’origine des performances ne rassure guère parce que favorisée en grande partie, par une instabilité politique dans la sous-région et les soulèvements dans les pays du Maghreb qui ont amené beaucoup de touristes à se rabattre vers la destination Sénégal.
Pourtant face à toutes ces contraintes, les initiatives et les réformes ne manquent pas seulement explique la commission secteur privé, « trop de réformes dorment dans les tiroirs au moment où d’autres pays de la sous-région les appliquent, engrangent des performances et avancent alors que nous plongeons dans le classement du Doing Business ».
Des contraintes sont soulevées relativement à l’agriculture, l’industrie et le tourisme. Pour l’agriculture, « l’évolution erratique de performances tributaires de la pluviométrie installe notre croissance dans une instabilité totale qui est incompatible avec les objectifs de taux de 7% constants sur une longue durée ». Le secteur privé qui est convaincu que « le secteur industriel n’a pas toujours la place qu’elle mérite dans les politiques économiques » fait constater que concernant le secteur du tourisme, l’origine des performances ne rassure guère parce que favorisée en grande partie, par une instabilité politique dans la sous-région et les soulèvements dans les pays du Maghreb qui ont amené beaucoup de touristes à se rabattre vers la destination Sénégal.
Pourtant face à toutes ces contraintes, les initiatives et les réformes ne manquent pas seulement explique la commission secteur privé, « trop de réformes dorment dans les tiroirs au moment où d’autres pays de la sous-région les appliquent, engrangent des performances et avancent alors que nous plongeons dans le classement du Doing Business ».
Autres articles
-
Sénégal : Les prix à la consommation augmentent de 1 % au troisième trimestre 2024, selon l’ANSD
-
10e Revue Annuelle des Réformes de l'UEMOA : le Sénégal évalue ses progrès dans l'intégration régionale
-
Sénégal : le rapport 2024 de la CNUCED met en lumière les défis de la dette, la dépendance aux matières premières ...
-
Coût de la vie et surplus pétrolier : la Banque mondiale dévoile ses prévisions jusqu'en 2026
-
Sécheresse : les femmes produisent 80 % de l’alimentation dans les pays en développement mais possèdent moins de 20 % des terres (ONU)