La communication est l'ensemble des moyens et techniques permettant la diffusion d'un message auprès d'une audience. Ce facteur clé est le bas qui blesse la société de transport DDD. L’atelier, organisé ce mercredi 10 mars, à cet effet va aider cette dernière à se servir de la communication et de la négociation collective pour résoudre ses maux.
Le dialogue social, selon l'Organisation International du Travail, inclut toutes formes de négociation, de consultation ou simplement d'échange d'informations entre représentants des gouvernements, des employeurs et des travailleurs sur des questions d'intérêt commun liées à la politique économique et sociale. Ainsi, le secrétaire général du Syndicat Démocratique des Travailleurs de DDD, M. Djibril Guéye a tenu à préciser qu’ils «comptent privilégier le dialogue pour résoudre les maux de la société et que la grève est le dernier recours».
Le ministre des transports terrestres, M. Abdourahime Agne venu présidé la cérémonie, a ainsi, fait savoir que «si Dakar Dem Dikk est en grève, c’est l’ensemble de la population qui est prise en otage. Pour qu’on n’en arrive pas à cette extrémité cet atelier va permettre de poser sur la table l’ensemble des préoccupations et d’essayer de les résoudre».
Le secrétaire général de la Confédération Nationale des Travailleurs du Sénégal (CNTS), M. Mody Guiro, quant à lui, a indiqué que «les délégués doivent maîtriser les outils de communication et de la négociation collective pour mieux défendre les intérêts de leurs mandataires, les préoccupations des travailleurs qui sont très légitimes. En effet, selon le Syndicaliste, si celui qui parle n’a pas les arguments qu’il faut la crise ne pourra être évitée.
Cependant le directeur général de DDD, M. Christian Salvi estime qu’il n’ «y a pas de quoi s’inquiéter car DDD est constitué de trois syndicats et il n’y en a qu’un qui manifeste souvent une certaine insatisfaction». A l’en croire, «il n’y a aucune raison de cultiver un pessimisme».
Le dialogue social, selon l'Organisation International du Travail, inclut toutes formes de négociation, de consultation ou simplement d'échange d'informations entre représentants des gouvernements, des employeurs et des travailleurs sur des questions d'intérêt commun liées à la politique économique et sociale. Ainsi, le secrétaire général du Syndicat Démocratique des Travailleurs de DDD, M. Djibril Guéye a tenu à préciser qu’ils «comptent privilégier le dialogue pour résoudre les maux de la société et que la grève est le dernier recours».
Le ministre des transports terrestres, M. Abdourahime Agne venu présidé la cérémonie, a ainsi, fait savoir que «si Dakar Dem Dikk est en grève, c’est l’ensemble de la population qui est prise en otage. Pour qu’on n’en arrive pas à cette extrémité cet atelier va permettre de poser sur la table l’ensemble des préoccupations et d’essayer de les résoudre».
Le secrétaire général de la Confédération Nationale des Travailleurs du Sénégal (CNTS), M. Mody Guiro, quant à lui, a indiqué que «les délégués doivent maîtriser les outils de communication et de la négociation collective pour mieux défendre les intérêts de leurs mandataires, les préoccupations des travailleurs qui sont très légitimes. En effet, selon le Syndicaliste, si celui qui parle n’a pas les arguments qu’il faut la crise ne pourra être évitée.
Cependant le directeur général de DDD, M. Christian Salvi estime qu’il n’ «y a pas de quoi s’inquiéter car DDD est constitué de trois syndicats et il n’y en a qu’un qui manifeste souvent une certaine insatisfaction». A l’en croire, «il n’y a aucune raison de cultiver un pessimisme».
Autres articles
-
Restructuration du secteur des médias : 690 enregistrements effectués depuis le début du processus
-
Indemnisation des victimes des manifestations : 1 875 personnes identifiées, 250 millions FCFA seront transférés sous forme de paiements monétaires
-
Atelier de normalisation : l'ASN s'engage pour une mobilité durable et responsable
-
Mbour : le service du commerce saisit 34 tonnes d'arachides achetées à un prix illicite
-
Affaire Amy Nidaye Gniby : la Cour d'appel confirme la condamnation des deux députés de PUR