La Société financière internationale (IFC), une branche de Banque mondiale dédiée au secteur privé, a annoncé des investissements, en tant qu’investisseur de référence, dans les deux obligations émises récemment par la Sonatel afin de contribuer à étendre une couverture 4G fiable au Sénégal, en particulier dans les régions rurales et mal desservies, rapporte Libération.
Le montant de ces émissions obligataires, la première opération titrisation dans le secteur des télécommunications en Afrique de l'Ouest, permettra d'étendre la couverture 4G et la connectivité par fibre optique de Sonatel dans les zones rurales sénégalaises, d'augmenter la bande passante et d'améliorer l'infrastructure numérique du pays, soutenant ainsi la création d'emplois, notamment dans l'économie numérique. Sonatel, qui est présente dans cinq pays d'Afrique de l'Ouest et est détenue par Orange Mea et l'Etat du Sénégal, utilisera également le produit de cette opération pour investir dans de nouvelles technologies.
L’Ifc a investi 25 milliards de francs Cfa (environ 38 millions d'euros) dans les deux obligations, soit un tiers du montant total levé de 75 milliards de francs Cfa, souligne le journal.
« Je tiens à remercier tous les souscripteurs, nationaux et internationaux, qui ont une nouvelle fois répondu à la demande de la première capitalisation boursière qui a titrisé ses créances via le marché financier régional de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa) dans un contexte économique mondial et régional de plus en plus difficile », a déclaré Sékou Dramé, directeur général du groupe Sonatel.
« Cette opération fournit un modèle reproductible et modulable capable de stimuler la croissance économique et de faire progresser les technologies numériques, promouvant ainsi l'efficacité, l'accès au numérique et la productivité dans toute l'Afrique », a précisé Folatomi Fayemi, spécialiste des investissements chez Ninety-One, gestionnaire de fonds de l'Eaif.
Mouhamadou Moustapha Faye, s'exprimant au nom d'un consortium formé par la société d'intermédiation Invictus Capital & Finance et la société de gestion Kf Titrisation, respectivement arrangeur et société de gestion du fond, a affirmé que « cette opération n'aurait pas pu connaître un tel succès sans la coordination et la coopération de tous les acteurs impliqués, ainsi que la confiance des investisseurs de référence, qui n'ont ménagé aucun effort pour mener à bien cette opération et à qui nous adressons nos félicitations et nos sincères remerciements ».
A la fin de la période de souscription le 12 janvier, le montant mobilisé auprès des investisseurs en dehors d'Ifc et de l'Eaif s'élevait au total à 26,5 milliards de francs Cfa. Sur ce montant, 57% a été levé auprès d'investisseurs en dehors d'Ifc et de l'tait s'élevait au total à 26,5 milliards de francs Cfa. Sur ce montant, 57% a été levé auprès d'investisseurs au Sénégal, 42% auprès d'investisseurs de la zone Uemoa (hors Sénégal) et 1% auprès d'investisseurs extérieurs à l'Uemoa.
Le montant de ces émissions obligataires, la première opération titrisation dans le secteur des télécommunications en Afrique de l'Ouest, permettra d'étendre la couverture 4G et la connectivité par fibre optique de Sonatel dans les zones rurales sénégalaises, d'augmenter la bande passante et d'améliorer l'infrastructure numérique du pays, soutenant ainsi la création d'emplois, notamment dans l'économie numérique. Sonatel, qui est présente dans cinq pays d'Afrique de l'Ouest et est détenue par Orange Mea et l'Etat du Sénégal, utilisera également le produit de cette opération pour investir dans de nouvelles technologies.
L’Ifc a investi 25 milliards de francs Cfa (environ 38 millions d'euros) dans les deux obligations, soit un tiers du montant total levé de 75 milliards de francs Cfa, souligne le journal.
« Je tiens à remercier tous les souscripteurs, nationaux et internationaux, qui ont une nouvelle fois répondu à la demande de la première capitalisation boursière qui a titrisé ses créances via le marché financier régional de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa) dans un contexte économique mondial et régional de plus en plus difficile », a déclaré Sékou Dramé, directeur général du groupe Sonatel.
« Cette opération fournit un modèle reproductible et modulable capable de stimuler la croissance économique et de faire progresser les technologies numériques, promouvant ainsi l'efficacité, l'accès au numérique et la productivité dans toute l'Afrique », a précisé Folatomi Fayemi, spécialiste des investissements chez Ninety-One, gestionnaire de fonds de l'Eaif.
Mouhamadou Moustapha Faye, s'exprimant au nom d'un consortium formé par la société d'intermédiation Invictus Capital & Finance et la société de gestion Kf Titrisation, respectivement arrangeur et société de gestion du fond, a affirmé que « cette opération n'aurait pas pu connaître un tel succès sans la coordination et la coopération de tous les acteurs impliqués, ainsi que la confiance des investisseurs de référence, qui n'ont ménagé aucun effort pour mener à bien cette opération et à qui nous adressons nos félicitations et nos sincères remerciements ».
A la fin de la période de souscription le 12 janvier, le montant mobilisé auprès des investisseurs en dehors d'Ifc et de l'Eaif s'élevait au total à 26,5 milliards de francs Cfa. Sur ce montant, 57% a été levé auprès d'investisseurs en dehors d'Ifc et de l'tait s'élevait au total à 26,5 milliards de francs Cfa. Sur ce montant, 57% a été levé auprès d'investisseurs au Sénégal, 42% auprès d'investisseurs de la zone Uemoa (hors Sénégal) et 1% auprès d'investisseurs extérieurs à l'Uemoa.
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