« Mon premier mandat sous l’empire de ce nouveau texte est celui qui démarre en 2012. Je peux même légalement me présenter pour une autre fois en 2019. Les juristes sérieux le savent et l’ont écrit », a soutenu le président Wade, dans une interview avec le site d’information dakaractu.com.
Il a souligné que les articles 27 et 104 qui limitent le nombre de mandats à deux, c’est lui-même qui l’a rédigé. « Sa nouvelle version date de 2008 et dit que le président est élu pour un mandat de 7 ans renouvelable une fois. J’ai été élu en 2000 sur la base de la Loi fondamentale de 1963 », a dit Abdoulaye Wade.
« Après mon élection, j’ai fait adopter une nouvelle Constitution. Tout le monde sait que la loi régit le présent et l’avenir mais ne rétroagit pas. C’est un principe général de droit. Depuis que l’article 27 instituant le septennat a été adopté en 2008, il n’y a pas eu d’élection », a expliqué Me Wade.
« La Constitution, c’est moi qui l’ai rédigée. Tout seul. Nul ne la connaît mieux que moi. Tous ceux qui prétendent l’avoir rédigée racontent du faux. C’est moi qui l’ai écrite », a-t-il rappelé.
« J’ai tout au plus sollicité des avis de juristes quand j’ai terminé la rédaction. Je l’ai fait lire à Serigne Diop, Amsatou Sow Sidibé et quelques autres pour recueillir des points de vue, des amendements, des suggestions », a encore dit Abdoulaye Wade.
Selon lui, « ceux qui prétendent le contraire racontent des contre-vérités, à l’image de ceux qui disent avoir appartenu à une commission de rédaction ». « Il n’y a pas eu de commission de rédaction. La Constitution est mon œuvre. Nul ne peut l’interpréter mieux que moi-même », a dit le chef de l’Etat.
En outre, il a relevé que « l’argument facile » consistant à invoquer sa déclaration de 2007 quand il disait qu’il ne pouvait plus se présenter au lieu d’interroger le texte constitutionnel lui-même.
« Ma déclaration n’a pas de valeur juridique. La Constitution, si. Mes adversaires le savent mais ils sont de mauvaise foi. Leur problème, ce n’est d’ailleurs pas tout ce qu’ils racontent sur l’article 27 et les autres. Ils ont la hantise de me voir candidat ».
« Et pour une raison simple : ils savent que je vais les battre. Ils ne peuvent pas gagner s’ils m’ont en face. C’est cela le fond de toute cette agitation autour du thème de l’illégalité de ma candidature », a-t-il ajouté.
Le Conseil constitutionnel doit se prononcer sur cette question à la fin de cette semaine, en publiant la liste des candidatures retenues.
Il a souligné que les articles 27 et 104 qui limitent le nombre de mandats à deux, c’est lui-même qui l’a rédigé. « Sa nouvelle version date de 2008 et dit que le président est élu pour un mandat de 7 ans renouvelable une fois. J’ai été élu en 2000 sur la base de la Loi fondamentale de 1963 », a dit Abdoulaye Wade.
« Après mon élection, j’ai fait adopter une nouvelle Constitution. Tout le monde sait que la loi régit le présent et l’avenir mais ne rétroagit pas. C’est un principe général de droit. Depuis que l’article 27 instituant le septennat a été adopté en 2008, il n’y a pas eu d’élection », a expliqué Me Wade.
« La Constitution, c’est moi qui l’ai rédigée. Tout seul. Nul ne la connaît mieux que moi. Tous ceux qui prétendent l’avoir rédigée racontent du faux. C’est moi qui l’ai écrite », a-t-il rappelé.
« J’ai tout au plus sollicité des avis de juristes quand j’ai terminé la rédaction. Je l’ai fait lire à Serigne Diop, Amsatou Sow Sidibé et quelques autres pour recueillir des points de vue, des amendements, des suggestions », a encore dit Abdoulaye Wade.
Selon lui, « ceux qui prétendent le contraire racontent des contre-vérités, à l’image de ceux qui disent avoir appartenu à une commission de rédaction ». « Il n’y a pas eu de commission de rédaction. La Constitution est mon œuvre. Nul ne peut l’interpréter mieux que moi-même », a dit le chef de l’Etat.
En outre, il a relevé que « l’argument facile » consistant à invoquer sa déclaration de 2007 quand il disait qu’il ne pouvait plus se présenter au lieu d’interroger le texte constitutionnel lui-même.
« Ma déclaration n’a pas de valeur juridique. La Constitution, si. Mes adversaires le savent mais ils sont de mauvaise foi. Leur problème, ce n’est d’ailleurs pas tout ce qu’ils racontent sur l’article 27 et les autres. Ils ont la hantise de me voir candidat ».
« Et pour une raison simple : ils savent que je vais les battre. Ils ne peuvent pas gagner s’ils m’ont en face. C’est cela le fond de toute cette agitation autour du thème de l’illégalité de ma candidature », a-t-il ajouté.
Le Conseil constitutionnel doit se prononcer sur cette question à la fin de cette semaine, en publiant la liste des candidatures retenues.
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