Le retrait de Ousmane Sonko des listes électorales lui a été officiellement notifié par un courrier daté le 19 septembre 2023. D’après Les Échos, l'huissier chargé de la remise du document a rencontré des obstacles pour atteindre le leader de Pastef, qui était à l'hôpital Principal pour des soins à la suite de sa grève de la faim. Les autorités pénitentiaires ont refusé à l'huissier l'accès à la salle où l'opposant était interné, arguant qu'il n'avait pas l'autorisation du greffe de la prison de Sébikotane.
L'huissier s'est finalement rendu au domicile de Sonko à la Cité Keur Gorgui, où il a remis la lettre de notification au chef du protocole, Djiby Guèye Ndiaye. Ce dernier a informé l'avocat de Sonko, Me Bamba Cissé, de la situation et a convenu de déposer l'acte le lendemain à 13 heures. Finalement, l'acte de notification a été déposé à la sous-préfecture de Dakar-Plateau.
Cette décision de retirer Sonko des listes électorales pourrait être un coup dur pour ses partisans, qui continuent de le soutenir comme leur unique et seul candidat pour l'élection présidentielle.
Le leader du parti Pastef après avoir été emprisonné pour une série d'accusations, dont « l'appel à l'insurrection et la complot contre l'autorité de l'État », Sonko fait maintenant face aux conséquences de son procès contre Adji Sarr. Jugé par contumace, il a été condamné à deux (2) ans de prison ferme et retiré des listes électorales pour la présidentielle de février 2024.
L'huissier s'est finalement rendu au domicile de Sonko à la Cité Keur Gorgui, où il a remis la lettre de notification au chef du protocole, Djiby Guèye Ndiaye. Ce dernier a informé l'avocat de Sonko, Me Bamba Cissé, de la situation et a convenu de déposer l'acte le lendemain à 13 heures. Finalement, l'acte de notification a été déposé à la sous-préfecture de Dakar-Plateau.
Cette décision de retirer Sonko des listes électorales pourrait être un coup dur pour ses partisans, qui continuent de le soutenir comme leur unique et seul candidat pour l'élection présidentielle.
Le leader du parti Pastef après avoir été emprisonné pour une série d'accusations, dont « l'appel à l'insurrection et la complot contre l'autorité de l'État », Sonko fait maintenant face aux conséquences de son procès contre Adji Sarr. Jugé par contumace, il a été condamné à deux (2) ans de prison ferme et retiré des listes électorales pour la présidentielle de février 2024.
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