"Notre participation est un défi pour la CEI, une pression sur la" Commission jugée "déséquilibrée" au profit du président sortant Alassane Ouattara, candidat à sa succession, "et ses animateurs, il faut qu’ils prouvent qu’ils sont à la hauteur", a indiqué M.Affi, candidat à la présidentielle du 25 octobre, souhaitant une "élection transparente".
L’opposition exige entre autre "la mise en place d’une CEI équilibrée" et dénonce la reconduction de Youssouf Bakayoko qui a organisé la présidentielle de 2010, à la tête de la CEI.
"Ce n’est pas parce qu’on n’est pas d’accord qu’on doit faire la guerre, moi je ne vais pas démissionner, je ne vais pas pratiquer la politique de la chaise vide tout simplement parce que j’ai des griefs contre la CEI", a justifé le président de l'ex-parti au pouvoir, souhaitant des "changements" au sein de l’institution.
Pour le président du FPI, les "dysfonctionnements de la CEI doivent résulter de l’action que nous menons concrètement sur le terrain".
Selon lui, le principal parti de l'opposition a "décelé des insuffisances" sur la liste électorale après une "analyse" et communiqué ses inquiétudes à la CEI.
Source : Alerte Info
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