Le prix littéraire « Les Afriques » 2021 a été décerné à l’écrivain congolais Fiston Mwanza Mujila pour son roman intitulé « La danse du vilain » et publié aux éditions Métailié en 2020.
Ce roman évoque principalement les thèmes de la migration inter-africaine, l’exploitation artisanale des richesses de leur sous-sol par les Africains et son corollaire : la détérioration constante de leurs conditions de vie. Il y est aussi question du fossé grandissant entre la population africaine et sa classe politique qui est la seule à s’enrichir. Fiston Mwanza Mujila interroge également la soi-disant jovialité des Africains en général et des Congolais en particulier, en convoquant par le biais de ses personnages, l’histoire des tragédies personnelles et collectives qui se cachent derrière un rire ou le rythme endiablé d’une danse… en l’occurrence celle du « vilain ». Le rythme et la fête pour exorciser la vilénie de la vie ? Fiston Mwanza Mujila, est né en 1981 à LubumbashiU en République démocratique du Congo en 1981. Il se définit lui-même comme un enfant de la mine. Lubumbashi est pour lui « le centre du monde » à partir duquel il définit « sa subjectivité ».Poète et romancier, la danse du vilain est son second roman après Tram 83 paru également chez Métailié. Il est le récipiendaire de plusieurs prix littéraires. Il vit à Graz en Allemagne.
Le prix littéraire « LES AFRIQUES » qui en est à sa sixième édition a été créé en 2015 par l’association de lecteurs LA CENE Littéraire. Le prix est décerné une fois par an à un (e) écrivain (e) africain (e) ou afro descendant (e) auteur (e) d’une fiction. Le prix inclut une somme d’argent de 5300€, une œuvre d’art d’une valeur 3500€, l’achat de 100 exemplaires du livre primé ou l’acquisition des droits du livre primé pour la zone géographique d’Afrique subsaharienne francophone. Parmi le jury, on pouvait noter la présence de nos compatriotes l’écrivain Boubacar Boris Diop et du journaliste Sada Kane.
Ce roman évoque principalement les thèmes de la migration inter-africaine, l’exploitation artisanale des richesses de leur sous-sol par les Africains et son corollaire : la détérioration constante de leurs conditions de vie. Il y est aussi question du fossé grandissant entre la population africaine et sa classe politique qui est la seule à s’enrichir. Fiston Mwanza Mujila interroge également la soi-disant jovialité des Africains en général et des Congolais en particulier, en convoquant par le biais de ses personnages, l’histoire des tragédies personnelles et collectives qui se cachent derrière un rire ou le rythme endiablé d’une danse… en l’occurrence celle du « vilain ». Le rythme et la fête pour exorciser la vilénie de la vie ? Fiston Mwanza Mujila, est né en 1981 à LubumbashiU en République démocratique du Congo en 1981. Il se définit lui-même comme un enfant de la mine. Lubumbashi est pour lui « le centre du monde » à partir duquel il définit « sa subjectivité ».Poète et romancier, la danse du vilain est son second roman après Tram 83 paru également chez Métailié. Il est le récipiendaire de plusieurs prix littéraires. Il vit à Graz en Allemagne.
Le prix littéraire « LES AFRIQUES » qui en est à sa sixième édition a été créé en 2015 par l’association de lecteurs LA CENE Littéraire. Le prix est décerné une fois par an à un (e) écrivain (e) africain (e) ou afro descendant (e) auteur (e) d’une fiction. Le prix inclut une somme d’argent de 5300€, une œuvre d’art d’une valeur 3500€, l’achat de 100 exemplaires du livre primé ou l’acquisition des droits du livre primé pour la zone géographique d’Afrique subsaharienne francophone. Parmi le jury, on pouvait noter la présence de nos compatriotes l’écrivain Boubacar Boris Diop et du journaliste Sada Kane.
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