Pour Bennoo Siggil Senegaal qui a battu le rappel des troupe à cette conférence de presse, les actes que le pouvoir pose quotidiennement, indiquent très clairement qu’il n’est pas dans une logique d’organiser des élections sérieuses et sincères.
C’est le fait, par exemple, que le président de la république ait fixé selon eux de façon unilatérale à 6 mois (du 1e février au 31 juillet 2010) la période de révision ordinaire des listes électorales, en parfaite violation de l’esprit du code électoral.
Pour eux, la conséquence est que la quasi-totalité des partis politiques ne sont pas représentés dans les commissions administratives et se voient ainsi exclus du processus électoral.
C’est la raison pour laquelle l’opposition exhorte le président de la république à procéder dans les meilleurs délais à «la désignation d’une personnalité indépendante, consensuelle et équidistante des partis politiques pour conduire et présider les travaux d’une Commission de révision de notre système électoral.
Cette personne, selon l’opposition devra aider à rapprocher les positions des différents acteurs du jeu politique, à trouver des consensus et à formuler des propositions sur les points de désaccord et présenter la rédaction en lois et règlements des points ayant fait l’objet de consensus ou d’arbitrage.
Aussi, pour les leaders de l’opposition, le fichier est toujours piégé. C’est pourquoi, elle exige un audit mené par des experts indépendants, avec un consensus sur la conduite de la mission en vue de fiabiliser le fichier et le débarrasser de tous les pièges qui l’ont miné et obstrué sa transparence. Cela est d’autant plus exigé, selon Ousmane Badiane de la LD, que le Chef de l’Etat en avait fait la promesse lors de son message du 31 décembre 2009 et avait même parlé de l’apport d’expert de l’Union européenne. D’ailleurs, les leaders de Bennoo ont annoncé la création d’un puissant et vaste front national pour la régularité et la transparence des élections.
Par ailleurs, les leaders de Bennoo Siggil Senegaal estiment que la question électorale est trop sérieuse pour la laisser aux seules mains de Me Wade. C’est pourquoi, ils appellent les militants des partis membres de leur coalition à prendre en charge les questions électorales par des structures décentralisées (au niveau régional, départementale, communal, rural et local).
C’est le fait, par exemple, que le président de la république ait fixé selon eux de façon unilatérale à 6 mois (du 1e février au 31 juillet 2010) la période de révision ordinaire des listes électorales, en parfaite violation de l’esprit du code électoral.
Pour eux, la conséquence est que la quasi-totalité des partis politiques ne sont pas représentés dans les commissions administratives et se voient ainsi exclus du processus électoral.
C’est la raison pour laquelle l’opposition exhorte le président de la république à procéder dans les meilleurs délais à «la désignation d’une personnalité indépendante, consensuelle et équidistante des partis politiques pour conduire et présider les travaux d’une Commission de révision de notre système électoral.
Cette personne, selon l’opposition devra aider à rapprocher les positions des différents acteurs du jeu politique, à trouver des consensus et à formuler des propositions sur les points de désaccord et présenter la rédaction en lois et règlements des points ayant fait l’objet de consensus ou d’arbitrage.
Aussi, pour les leaders de l’opposition, le fichier est toujours piégé. C’est pourquoi, elle exige un audit mené par des experts indépendants, avec un consensus sur la conduite de la mission en vue de fiabiliser le fichier et le débarrasser de tous les pièges qui l’ont miné et obstrué sa transparence. Cela est d’autant plus exigé, selon Ousmane Badiane de la LD, que le Chef de l’Etat en avait fait la promesse lors de son message du 31 décembre 2009 et avait même parlé de l’apport d’expert de l’Union européenne. D’ailleurs, les leaders de Bennoo ont annoncé la création d’un puissant et vaste front national pour la régularité et la transparence des élections.
Par ailleurs, les leaders de Bennoo Siggil Senegaal estiment que la question électorale est trop sérieuse pour la laisser aux seules mains de Me Wade. C’est pourquoi, ils appellent les militants des partis membres de leur coalition à prendre en charge les questions électorales par des structures décentralisées (au niveau régional, départementale, communal, rural et local).
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