Le programme « Jiggen Joggal » initié par la Congrégation des Sœurs de Notre-Dame de la Charité du Bon Pasteur, a dévoilé à ce mercredi lors d’une rencontre, les résultats de son évaluation externe finale. Ce programme œuvre dans plusieurs régions du Sénégal à l'instar de la région de Dakar, Mbour, Thiès entre autres.
La vision de ce projet est d’aider les femmes et enfant dans une situation précaire à surmonter les contraintes liées à la pauvreté, la discrimination ainsi que l’accès inégal à l’éducation et aux services financiers qui entravent a la réalisation de leurs droits socio-économiques.
Le projet "Jiggen Joggal", s’est entretenu sur un plan stratégique d’une durée de quatre ans entre 2021 et 2024. « Ce plan stratégique de 4 ans avait pour objectif l’autonomisation des femmes, la scolarisation des enfants, la réinsertion socio-professionnelle, la formation professionnelle des jeunes filles et jeunes garçons, c’est ainsi que nous avons déroulé », a déclaré Marie Noel Tendeng, responsable des sœurs de Notre Dame de Charité du Bon Pasteur.
Poursuivant, elle affirme que « le projet vise en moyenne 2000 (deux mille) bénéficiaires en situation de vulnérabilité et de prostitution parce que du côté de Mbour, on a 300 femmes confondues, sur certains centres ça tourne aux environs de 100 bénéficiaires. Nous intervenons aussi dans les prisons, car les projets prennent en compte les prisons des femmes à Mbour et à Thiès dont les bénéficiaires tournent aux environs de 80 bénéficiaires chaque année ».
Awa Soumaré, une des bénéficiaires du projet dans la région de Thiès, annonce une satisfaction à l’endroit du projet.
« Les sœurs nous ont bien accompagnés et nous mettent dans de bonnes conditions en nous offrant des formations. Comme par exemple, quand nous avons des commandes, elles nous disent seulement d’acheter le gaz après pour tout ce qui est du matériel, c’est elles qui gèrent ça et nous leur en sommes vraiment très reconnaissant », a-t-elle expliqué.
De plus, Marie-louise Ndong, venant de Mbour, est aussi bénéficiaire du programme. Elle s’est également prononcée sur l’importance et l’impact du projet chez les femmes.
« Nous sommes très satisfaites de ce projet, car grâce à l’aide des sœurs nous avons pu construire deux cantines avec tous les matériels y compris ; pour ce qui est de la formation, c’est le projet qui tout pris en charge du début, grâce à ça beaucoup d’entre nous vendent des produits ne faisant pas partie du projet », a-t-elle assuré.
À en croire la sœur Marie Noel Tendeng, le ministère de la Femme et de la Justice connaissent le programme, mais elle trouve dommage que l’accompagnement ne suit pas. « C'est le travail de l’état que nous sommes en train de faire ; au moins ne seraient que la nourriture et les soins. Par contre pour ce qui est des soins, nous avons l'appui de la gendarmerie de Colobane, mais cela ne suffit pas, car on devrait avoir une facilité dans la prise en charge des soins ».
La vision de ce projet est d’aider les femmes et enfant dans une situation précaire à surmonter les contraintes liées à la pauvreté, la discrimination ainsi que l’accès inégal à l’éducation et aux services financiers qui entravent a la réalisation de leurs droits socio-économiques.
Le projet "Jiggen Joggal", s’est entretenu sur un plan stratégique d’une durée de quatre ans entre 2021 et 2024. « Ce plan stratégique de 4 ans avait pour objectif l’autonomisation des femmes, la scolarisation des enfants, la réinsertion socio-professionnelle, la formation professionnelle des jeunes filles et jeunes garçons, c’est ainsi que nous avons déroulé », a déclaré Marie Noel Tendeng, responsable des sœurs de Notre Dame de Charité du Bon Pasteur.
Poursuivant, elle affirme que « le projet vise en moyenne 2000 (deux mille) bénéficiaires en situation de vulnérabilité et de prostitution parce que du côté de Mbour, on a 300 femmes confondues, sur certains centres ça tourne aux environs de 100 bénéficiaires. Nous intervenons aussi dans les prisons, car les projets prennent en compte les prisons des femmes à Mbour et à Thiès dont les bénéficiaires tournent aux environs de 80 bénéficiaires chaque année ».
Awa Soumaré, une des bénéficiaires du projet dans la région de Thiès, annonce une satisfaction à l’endroit du projet.
« Les sœurs nous ont bien accompagnés et nous mettent dans de bonnes conditions en nous offrant des formations. Comme par exemple, quand nous avons des commandes, elles nous disent seulement d’acheter le gaz après pour tout ce qui est du matériel, c’est elles qui gèrent ça et nous leur en sommes vraiment très reconnaissant », a-t-elle expliqué.
De plus, Marie-louise Ndong, venant de Mbour, est aussi bénéficiaire du programme. Elle s’est également prononcée sur l’importance et l’impact du projet chez les femmes.
« Nous sommes très satisfaites de ce projet, car grâce à l’aide des sœurs nous avons pu construire deux cantines avec tous les matériels y compris ; pour ce qui est de la formation, c’est le projet qui tout pris en charge du début, grâce à ça beaucoup d’entre nous vendent des produits ne faisant pas partie du projet », a-t-elle assuré.
À en croire la sœur Marie Noel Tendeng, le ministère de la Femme et de la Justice connaissent le programme, mais elle trouve dommage que l’accompagnement ne suit pas. « C'est le travail de l’état que nous sommes en train de faire ; au moins ne seraient que la nourriture et les soins. Par contre pour ce qui est des soins, nous avons l'appui de la gendarmerie de Colobane, mais cela ne suffit pas, car on devrait avoir une facilité dans la prise en charge des soins ».
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