Le candidat Aliou Mamadou Dia du Parti de l’Unité et du Rassemblement (PUR) veut une vision prospective du développement. À travers son programme « Nite ak Naataange » (humanisme et prospérité), il ambitionne « Un Sénégal prospère bâti dans l’équité, la transparence, la droiture, l’unité et le respect de la dignité humaine » à l’horizon 2034.
Le candidat à l’élection présidentielle du 24 mars 2024, compte apporter des solutions concrètes afin de répondre efficacement aux besoins des populations car, aujourd’hui, dit-il, il est plus que jamais temps de revoir les moteurs de la croissance : - en priorisant un secteur privé national, - en renforçant le tissu industriel qui sera dominé par le capital national, - et en aménageant profondément le climat des affaires dans ce sens.
La formulation de cette vision est faite selon une approche inclusive à travers des concertations avec les différentes couches de la société sénégalaise et des analyses prospectives. Elle tient compte aussi des engagements internationaux ratifiés par le Sénégal et des agendas internationaux de développement.
La mise en oeuvre de cette vision se fera à travers 4 piliers transformateurs : à savoir le Développement du capital humain, l’Économie compétitive, durable et inclusive, la Gouvernance, paix et équilibre des institutions, l’Inclusion et protection sociale.
Pour désamorcer la bombe du chômage, Aliou Mamadou Dia ambitionne de : Réinventer la politique d’emploi agricole ; Mettre en oeuvre la législation du travail dans toute sa rigueur ; Réorganiser le secteur de l’expertise et de la consultance ; Augmenter la part de la commande publique pour le SPN ; Protéger l’industrie et l’artisanat locaux ; Améliorer le projet « Sénégal Numérique » ; Promouvoir l’entrepreneuriat et l’emploi numériques ; Instaurer des restrictions sur les produits importés.
Appel à la candidature pour certains postes
Pour mettre fin à la subordination des pouvoirs judiciaire et législatif au pouvoir exécutif, le candidat du PUR veut lutter contre l’hyper-présidentialisme, interdire les réformes constitutionnelles à 2 ans des élections par voie référendaire, faire un appel à la candidature pour certains postes, avoir l’aval de l’Assemblée pour la nomination de certains fonctionnaires, passer par référendum toute révision ou modification constitutionnelle concernant le processus électoral.
Pour le pouvoir judiciaire, Aliou Mamadou Dia compte introduire une réforme constitutionnelle (voie référendaire) rendant incompatible la fonction du président de la République et de chef de parti politique, organiser des assises de la justice, instaurer un Conseil Supérieur de la Justice indépendant de l’exécutif, étendre le Pôle Judiciaire Financier (PJF) instaurer par la loi N°2023-14 du 02 AOÛT 2023 dans tous les tribunaux de grande instance et les cours d’appel du Sénégal en leurs donnant une compétence d’attribution pour toutes les délits financiers et à incidences financières.
De plus, le candidat à la présidentielle veut instaurer un juge des libertés et de la détention, limiter le mandat du Conseil Constitutionnel à 5 ans renouvelable une fois, mettre en place un organe indépendant du pouvoir exécutif sous la tutelle du pouvoir judiciaire pour l’organisation de toutes les élections, relever le plateau des prisons en construisant des bâtiments modernes composés de réfectoire et de dortoir adaptés au nombre, mettre les organes de contrôle sous tutelle direct du pouvoir judiciaire pour l’ouverture d’une information judiciaire (cas fonds covid).
Le candidat à l’élection présidentielle du 24 mars 2024, compte apporter des solutions concrètes afin de répondre efficacement aux besoins des populations car, aujourd’hui, dit-il, il est plus que jamais temps de revoir les moteurs de la croissance : - en priorisant un secteur privé national, - en renforçant le tissu industriel qui sera dominé par le capital national, - et en aménageant profondément le climat des affaires dans ce sens.
La formulation de cette vision est faite selon une approche inclusive à travers des concertations avec les différentes couches de la société sénégalaise et des analyses prospectives. Elle tient compte aussi des engagements internationaux ratifiés par le Sénégal et des agendas internationaux de développement.
La mise en oeuvre de cette vision se fera à travers 4 piliers transformateurs : à savoir le Développement du capital humain, l’Économie compétitive, durable et inclusive, la Gouvernance, paix et équilibre des institutions, l’Inclusion et protection sociale.
Pour désamorcer la bombe du chômage, Aliou Mamadou Dia ambitionne de : Réinventer la politique d’emploi agricole ; Mettre en oeuvre la législation du travail dans toute sa rigueur ; Réorganiser le secteur de l’expertise et de la consultance ; Augmenter la part de la commande publique pour le SPN ; Protéger l’industrie et l’artisanat locaux ; Améliorer le projet « Sénégal Numérique » ; Promouvoir l’entrepreneuriat et l’emploi numériques ; Instaurer des restrictions sur les produits importés.
Appel à la candidature pour certains postes
Pour mettre fin à la subordination des pouvoirs judiciaire et législatif au pouvoir exécutif, le candidat du PUR veut lutter contre l’hyper-présidentialisme, interdire les réformes constitutionnelles à 2 ans des élections par voie référendaire, faire un appel à la candidature pour certains postes, avoir l’aval de l’Assemblée pour la nomination de certains fonctionnaires, passer par référendum toute révision ou modification constitutionnelle concernant le processus électoral.
Pour le pouvoir judiciaire, Aliou Mamadou Dia compte introduire une réforme constitutionnelle (voie référendaire) rendant incompatible la fonction du président de la République et de chef de parti politique, organiser des assises de la justice, instaurer un Conseil Supérieur de la Justice indépendant de l’exécutif, étendre le Pôle Judiciaire Financier (PJF) instaurer par la loi N°2023-14 du 02 AOÛT 2023 dans tous les tribunaux de grande instance et les cours d’appel du Sénégal en leurs donnant une compétence d’attribution pour toutes les délits financiers et à incidences financières.
De plus, le candidat à la présidentielle veut instaurer un juge des libertés et de la détention, limiter le mandat du Conseil Constitutionnel à 5 ans renouvelable une fois, mettre en place un organe indépendant du pouvoir exécutif sous la tutelle du pouvoir judiciaire pour l’organisation de toutes les élections, relever le plateau des prisons en construisant des bâtiments modernes composés de réfectoire et de dortoir adaptés au nombre, mettre les organes de contrôle sous tutelle direct du pouvoir judiciaire pour l’ouverture d’une information judiciaire (cas fonds covid).
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