L’un des points qui a le plus capté les esprits et qui a pesé dans le débat est bien la question d’écrire les documents sur les droits de l’homme dans les langues nationales pour mieux faire passer l’information auprès des populations. Selon les experts par la voix d’Abdoul Aziz Badiane de l’ONDH «ce problème doit être résolu et les textes peuvent s’adapter à nos réalités». Avant de s’étonner sur le fait que depuis plus de vingt ans les experts s’attèlent à cette tâche sans résultat.
Pour Alioune Tine, le Président de la Rencontre Africaine des Droits de l’Homme, il s’agit d’une question sociopolitique qui dépend d’une volonté politique des gouvernants. «Car il ya 50 ans le Sénégal est indépendant, une seule langue est officielle». Pour faire comprendre à l’assistance que la donne est en mesure de changer Fatou Kiné Camara de l’Association des Juristes du Sénégal a cité le cas de l’Afrique du Sud ou plus de 11 langues officielles sont notées.
Les experts ont cependant fait d’autres recommandations parmi les quelles «la vulgarisation des instruments juridiques nationaux, régionaux relatifs aux droits humains, à la démocratie et à la bonne gouvernance». En plus ils ont demandé à ce que des universités et des établissements scolaires soient construits pour promouvoir les droits humains.
Le Rapport a appelé «l’implication effective des médiats dans la politique de sensibilisation, d’information et de formation des citoyens aux droits de l’homme». Quant aux Etats, les auteurs du rapport ont appelé à «l’harmonisation des instruments juridiques de l’Union Africaine et des Nations-Unis avec des législations nationales, en veillant au respect de certaines valeurs culturelles, notamment par le biais d’études approfondies en vue d’une meilleure formulation et une adaptation du contenu des chartes et protocoles au contexte national».
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Pour Alioune Tine, le Président de la Rencontre Africaine des Droits de l’Homme, il s’agit d’une question sociopolitique qui dépend d’une volonté politique des gouvernants. «Car il ya 50 ans le Sénégal est indépendant, une seule langue est officielle». Pour faire comprendre à l’assistance que la donne est en mesure de changer Fatou Kiné Camara de l’Association des Juristes du Sénégal a cité le cas de l’Afrique du Sud ou plus de 11 langues officielles sont notées.
Les experts ont cependant fait d’autres recommandations parmi les quelles «la vulgarisation des instruments juridiques nationaux, régionaux relatifs aux droits humains, à la démocratie et à la bonne gouvernance». En plus ils ont demandé à ce que des universités et des établissements scolaires soient construits pour promouvoir les droits humains.
Le Rapport a appelé «l’implication effective des médiats dans la politique de sensibilisation, d’information et de formation des citoyens aux droits de l’homme». Quant aux Etats, les auteurs du rapport ont appelé à «l’harmonisation des instruments juridiques de l’Union Africaine et des Nations-Unis avec des législations nationales, en veillant au respect de certaines valeurs culturelles, notamment par le biais d’études approfondies en vue d’une meilleure formulation et une adaptation du contenu des chartes et protocoles au contexte national».
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