L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) et le GIP international a organisé ce Lundi 4 juillet la quatrième réunion de l’instance de concertation sur la migration de main d’œuvre au Sénégal. Occasion ne pouvait être meilleure pour Mme Geertrui Lanneau de OIM pour mettre les points sur les i. Selon elle, tous les migrants ont le droit d’être protégé. Parce que, dit-elle, «trop souvent il y a des cas d’abus, d’exploitations des travailleurs et pour cela, c’est important de faire savoir à tout le monde que les travailleurs migrants ont des droits».
Au cours de son intervention, Mme Lanneau a estimé que le Sénégal est interpelé à double titre. Parce que tout d’abord, explique-t-elle- «le Sénégal est un pays important d’origine. Le Sénégal envoie beaucoup de travailleurs vers d’autres pays comme l’Espagne la France etc. mais le Sénégal aussi c’est un pays de destinations. Il y a beaucoup de travailleurs de la sous-région, des autres pays de l’Afrique de l’Ouest qui viennent travailler au ici». A cet égard, elle a fait comprendre que «le Sénégal a l’obligation de respecter le droit de ses travailleurs migrants étrangers qui viennent au Sénégal».
La représentante de l’OIM de faire savoir: «le Sénégal a ratifié une convention internationale des Nations Unis sur les droits des travailleurs migrants. Il a même rédigé un rapport pour le comité de cette convention. Et puis ce comité a fait un ensemble de recommandation à l’Etat sénégalais. Pour mieux assurer la protection des migrants». Ce qui constitue, pour elle, un point positif car il n’y a pas beaucoup de pays qui ont ratifié cette convention et notamment les pays européens. «Donc, c’est un signe de bonne volonté» a-t-elle reconnu.
Cependant, la question se pose au niveau de la mise en œuvre. Car elle est d’avis qu’il y a «certaines choses qui sont en route mais il reste quand même des lacunes en matière de protection qu’il faut assurer».
Au cours de son intervention, Mme Lanneau a estimé que le Sénégal est interpelé à double titre. Parce que tout d’abord, explique-t-elle- «le Sénégal est un pays important d’origine. Le Sénégal envoie beaucoup de travailleurs vers d’autres pays comme l’Espagne la France etc. mais le Sénégal aussi c’est un pays de destinations. Il y a beaucoup de travailleurs de la sous-région, des autres pays de l’Afrique de l’Ouest qui viennent travailler au ici». A cet égard, elle a fait comprendre que «le Sénégal a l’obligation de respecter le droit de ses travailleurs migrants étrangers qui viennent au Sénégal».
La représentante de l’OIM de faire savoir: «le Sénégal a ratifié une convention internationale des Nations Unis sur les droits des travailleurs migrants. Il a même rédigé un rapport pour le comité de cette convention. Et puis ce comité a fait un ensemble de recommandation à l’Etat sénégalais. Pour mieux assurer la protection des migrants». Ce qui constitue, pour elle, un point positif car il n’y a pas beaucoup de pays qui ont ratifié cette convention et notamment les pays européens. «Donc, c’est un signe de bonne volonté» a-t-elle reconnu.
Cependant, la question se pose au niveau de la mise en œuvre. Car elle est d’avis qu’il y a «certaines choses qui sont en route mais il reste quand même des lacunes en matière de protection qu’il faut assurer».
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