Ce jeudi 8 août, vingt-six (26) individus, dont 21 en fuite, ont été condamnés à la peine de mort par la justice militaire à Kinshasa pour leur implication dans la rébellion du M23. Ils étaient accusés de « crimes de guerre », de « participation à un mouvement insurrectionnel » et de « trahison ». La cour militaire de Kinshasa-Gombe les a déclarés coupables, sans accorder de circonstances atténuantes.
Sur les 26 accusés, seulement 5 étaient présents pour écouter le verdict final rendu par la cour militaire de Kinshasa-Gombe, à l’issue d’un procès commencé le 24 juillet, ciblant les principaux dirigeants du M23, un groupe rebelle qui contrôle une grande partie de l’est de la RDC. L’accusation, ayant obtenu que les prévenus « en fuite » soient jugés par contumace, avait demandé aux juges de les déclarer coupables de « crimes de guerre » et de « trahison ».
Le 29 juillet, le procureur a requis la peine de mort pour Corneille Nangaa, allié aux rebelles du M23 depuis décembre 2023 au sein de l’Alliance fleuve Congo (AFC), ainsi que pour 20 de ses coaccusés. Ont également été condamnés à mort Sultani Makenga, chef militaire du M23, Bertrand Bisimwa, président de la branche politique du mouvement, Lawrence Kanyuka, porte-parole de la branche politique, et Willy Ngoma, porte-parole de la branche militaire.
Sur les 26 accusés, seulement 5 étaient présents pour écouter le verdict final rendu par la cour militaire de Kinshasa-Gombe, à l’issue d’un procès commencé le 24 juillet, ciblant les principaux dirigeants du M23, un groupe rebelle qui contrôle une grande partie de l’est de la RDC. L’accusation, ayant obtenu que les prévenus « en fuite » soient jugés par contumace, avait demandé aux juges de les déclarer coupables de « crimes de guerre » et de « trahison ».
Le 29 juillet, le procureur a requis la peine de mort pour Corneille Nangaa, allié aux rebelles du M23 depuis décembre 2023 au sein de l’Alliance fleuve Congo (AFC), ainsi que pour 20 de ses coaccusés. Ont également été condamnés à mort Sultani Makenga, chef militaire du M23, Bertrand Bisimwa, président de la branche politique du mouvement, Lawrence Kanyuka, porte-parole de la branche politique, et Willy Ngoma, porte-parole de la branche militaire.
Autres articles
-
Le Burkina Faso adopte une loi d’amnistie pour les auteurs du putsch de 2015
-
Guerre au Soudan: plus de 780 civils tués par des paramilitaires à El-Fasher, selon l'ONU
-
Guinée: la recherche des disparus du stade de N'Zérékoré se poursuit
-
Le Tchad demande un départ des forces françaises d’ici au 31 janvier 2025, des négociations en cours
-
Le président sortant du Haut conseil des Maliens de France emprisonné à Bamako depuis deux semaines