Elles étaient une vingtaine de femmes représentant plusieurs organisations politiques et de la société civile à se réunir ce dimanche. Elles regrettent que dans les précédents gouvernements les femmes n’aient pas été assez représentées.
« Cette fois-ci, nous exigeons la parité, ou alors un mécanisme temporaire pour avoir au moins 30% dans le gouvernement. Ça, ça donnera l’espoir que nous sommes en train d’avancer vers la mise en œuvre de la parité effective », estime Anny Modi, coordinatrice de l’organisation Afya Mama.
Anny Modi se réjouit de la rencontre le 8 mars dernier entre une délégation des femmes et Félix Tshisekedi et espère plus d’action de la part de l’actuel président de la République : « Dans toutes les nominations qu’il a faites après, les femmes sont toujours minoritaires... nous voulons qu’il y ait plus d’action, qu’il y ait des cohérences entre les discours et les actes qu’il est en train de signer en ce moment. »
Et les femmes ne font du gouvernement central une fixation. Elles visent également d’autres fonctions, comme l’explique Léonie Kandolo, une activiste : « On va nommer les gens dans les institutions publiques, nous parlons déjà pour qu’il y ait des femmes, pour qu’on y pense. Parce que des femmes compétentes et expertes, il y en a beaucoup ! »
En mars dernier, Félix Tshisekedi avait annoncé que « très bientôt » serait constituée une commission chargée du suivi de la parité homme-femme dans les institutions du pays.
« Cette fois-ci, nous exigeons la parité, ou alors un mécanisme temporaire pour avoir au moins 30% dans le gouvernement. Ça, ça donnera l’espoir que nous sommes en train d’avancer vers la mise en œuvre de la parité effective », estime Anny Modi, coordinatrice de l’organisation Afya Mama.
Anny Modi se réjouit de la rencontre le 8 mars dernier entre une délégation des femmes et Félix Tshisekedi et espère plus d’action de la part de l’actuel président de la République : « Dans toutes les nominations qu’il a faites après, les femmes sont toujours minoritaires... nous voulons qu’il y ait plus d’action, qu’il y ait des cohérences entre les discours et les actes qu’il est en train de signer en ce moment. »
Et les femmes ne font du gouvernement central une fixation. Elles visent également d’autres fonctions, comme l’explique Léonie Kandolo, une activiste : « On va nommer les gens dans les institutions publiques, nous parlons déjà pour qu’il y ait des femmes, pour qu’on y pense. Parce que des femmes compétentes et expertes, il y en a beaucoup ! »
En mars dernier, Félix Tshisekedi avait annoncé que « très bientôt » serait constituée une commission chargée du suivi de la parité homme-femme dans les institutions du pays.
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