Si à l’UDPS on se dit « non concerné » par le cadre d’échanges annoncé par le chef de l’Etat, les autres opposants, eux, posent des préalables pour y participer. Le président du Mouvement des Congolais pour la République, Jean-Claude Vuemba :
« Réglons tout d’abord le contentieux électoral du 28 novembre 2011. Après, nous pouvons voir comment nous pouvons trouver un intérêt d’entente, afin que les Congolais puissent avoir un cadre permanent de concertation. Jusqu’à maintenant, le cahier des charges n’est pas connu. Et puis qui va convoquer cela ? ».
Réponse du président de l’Assemblée nationale, qui est en même temps secrétaire général de la majorité présidentielle, Aubin Minaku :
« C’est d’abord un devoir, sacro-saint même, du président de la République, mais c’est aussi le devoir de chaque citoyen congolais. Et donc, c’est ensemble, que nous allons définir le cadre le plus approprié, pour éviter la théâtralisation de la politique. L’approche c’est, face à certains impératifs de gestion de la République, comment devons-nous procéder à l’unisson, dans l’harmonie, pour contrer la première menace qui nous pèse, c'est-à-dire l’émiettement du pays ».
Source : Rfi.fr
-
Haïti convoque l'ambassadeur de France après les propos «inacceptables» d'Emmanuel Macron
-
Mali: le général de division Abdoulaye Maïga nommé Premier ministre de transition
-
Syrie: 68 morts dans les frappes israéliennes contre des groupes pro-iraniens à Palmyre (nouveau bilan)
-
États-Unis: Elon Musk détaille son «projet» de réforme de l'État dans le «Wall Street Journal»
-
Egypte: une loi sur les réfugiés adoptée par le Parlement