Les délégations ont regagné leurs quartiers généraux respectifs. Elles devaient, selon des sources diplomatiques, retourner à Doha une semaine plus tard. Mais, à ce jour, aucune invitation formelle n’a encore été adressée et les détails logistiques n’ont pas été communiqués.
Préalables
D’après ces mêmes sources, l’AFC/M23 a transmis ses préalables. La première phase tenue à Doha n’a débouché sur aucun résultat concret. Selon des sources proches du dossier, une autre interrogation portait sur le mandat confié à la délégation de Kinshasa, et plus particulièrement sur sa capacité décisionnelle, étant essentiellement composée de cadres des renseignements et de militaires.
D’après les informations de RFI, des responsables rwandais ont également été conviés une fois de plus à Doha. Selon un officiel rwandais, il ne s’agissait pas d’une discussion entre l’AFC/M23, les gouvernements congolais et rwandais, mais d’une suite à la rencontre du 18 mars à Doha entre les chefs d’État congolais, rwandais et qatarien.
Discrétion
Deux démarches distinctes, précise cette source. Par ailleurs, il est établi que Doha exige une grande discrétion. Une exigence d’autant plus forte que, sur le continent, cette médiation est accueillie avec réserve. Le Kenya, l’Angola et d’autres pays africains engagés dans les efforts de paix dans la région des Grands Lacs commentent peu l’initiative qatarie. Plusieurs diplomates indiquent que ces pays restent attachés au principe de « solutions africaines aux problèmes africains ».
Préalables
D’après ces mêmes sources, l’AFC/M23 a transmis ses préalables. La première phase tenue à Doha n’a débouché sur aucun résultat concret. Selon des sources proches du dossier, une autre interrogation portait sur le mandat confié à la délégation de Kinshasa, et plus particulièrement sur sa capacité décisionnelle, étant essentiellement composée de cadres des renseignements et de militaires.
D’après les informations de RFI, des responsables rwandais ont également été conviés une fois de plus à Doha. Selon un officiel rwandais, il ne s’agissait pas d’une discussion entre l’AFC/M23, les gouvernements congolais et rwandais, mais d’une suite à la rencontre du 18 mars à Doha entre les chefs d’État congolais, rwandais et qatarien.
Discrétion
Deux démarches distinctes, précise cette source. Par ailleurs, il est établi que Doha exige une grande discrétion. Une exigence d’autant plus forte que, sur le continent, cette médiation est accueillie avec réserve. Le Kenya, l’Angola et d’autres pays africains engagés dans les efforts de paix dans la région des Grands Lacs commentent peu l’initiative qatarie. Plusieurs diplomates indiquent que ces pays restent attachés au principe de « solutions africaines aux problèmes africains ».
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