A l'occasion de la nomination de sa nouvelle Directrice Régionale pour l'Afrique de l'Ouest et centrale, Madame Yacine Barro, Microsoft a le plaisir de vous convier à un media brief qui se tiendra : Le mardi 21 novembre 2017 à partir de 9h00,
Avenue Amadou Assane Ndoye X rue du Dr Thèze, Immeuble La Rotonde, 4e étage (dans ses locaux).
Cette conférence a pour objectif de démontrer quels peuvent être les apports de la transformation numérique et du Cloud pour les organisations et les individus en Afrique: grandes entreprises, PME, secteur public, étudiants, entrepreneurs ou grand public.
Ce sera également l'occasion de revenir sur l'initiative Microsoft "4Africa", lancée il y a quatre ans, visant à promouvoir les innovations de développement africain, l'éducation entrepreneuriale en Afrique et l'accès aux technologies pour tous : Internet, services Cloud et smart devices.
Microsoft illustrera ses propos par des exemples concrets locaux et régionaux. Yacine Barro sera accompagnée d'Aïssatou Djiba Diallo qui a en charge le volet innovation de Microsoft4Africa et qui, notamment, a pour objectif d'identifier et d'accompagner les startups africaines.
Nous vous remercions de bien vouloir nous confirmer dès que possible votre présence par email ou téléphone.
L'accès sera réservé aux journalistes accrédités.
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Le tableau dressé par la Cenco n'est pas alarmant. Globalement, les agents de la Céni chargés de l'enrôlement ont été bien formés, le matériel correctement déployé et les observateurs bien accueillis - à l'exception notable du Kwilu où le représentant de la Céni a refusé de les accréditer. La Cenco a toutefois relevé certaines faiblesses qui l'inquiètent.
D'abord le délai : l'insécurité au Kasaï ne saurait expliquer le retard pris dans les autres provinces, soulignent les évêques. Ils déplorent aussi l'absence de chronogramme précis, ce qui a compliqué la tâche des observateurs, et regrettent que la Céni ait mis en place un appel d'offres chronophage pour l'acquisition du matériel. C'est la loi, a répondu le président de la commission électorale.
Sur le fichier à proprement parler, les observateurs de la Cenco s'inquiètent de la présence de doublons sans pouvoir dire dans quelles proportions et relèvent des cas d'électeurs autorisés à s'inscrire sans document d'identité valable, parfois même des mineurs.
Une appréciation « prématurée », a réagi le président de la Céni. Il assure que tout est prévu pour nettoyer le fichier dans un second temps. Trop insister sur les faiblesses du fichier électoral est « contre-productif », prévient-il, « car du consensus autour ce fichier dépend la crédibilité de l'élection et aussi le respect du calendrier ».
Le président de la Céni a tout de même soulevé « un point critique » en ce qui concerne le respect des délais. Il estime avoir encore besoin de 66 millions de dollars pour finaliser le fichier électoral. Et dit avoir besoin de cet argent avant la fin du mois de novembre pour rester dans les clous du calendrier.
Avenue Amadou Assane Ndoye X rue du Dr Thèze, Immeuble La Rotonde, 4e étage (dans ses locaux).
Cette conférence a pour objectif de démontrer quels peuvent être les apports de la transformation numérique et du Cloud pour les organisations et les individus en Afrique: grandes entreprises, PME, secteur public, étudiants, entrepreneurs ou grand public.
Ce sera également l'occasion de revenir sur l'initiative Microsoft "4Africa", lancée il y a quatre ans, visant à promouvoir les innovations de développement africain, l'éducation entrepreneuriale en Afrique et l'accès aux technologies pour tous : Internet, services Cloud et smart devices.
Microsoft illustrera ses propos par des exemples concrets locaux et régionaux. Yacine Barro sera accompagnée d'Aïssatou Djiba Diallo qui a en charge le volet innovation de Microsoft4Africa et qui, notamment, a pour objectif d'identifier et d'accompagner les startups africaines.
Nous vous remercions de bien vouloir nous confirmer dès que possible votre présence par email ou téléphone.
L'accès sera réservé aux journalistes accrédités.
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Le tableau dressé par la Cenco n'est pas alarmant. Globalement, les agents de la Céni chargés de l'enrôlement ont été bien formés, le matériel correctement déployé et les observateurs bien accueillis - à l'exception notable du Kwilu où le représentant de la Céni a refusé de les accréditer. La Cenco a toutefois relevé certaines faiblesses qui l'inquiètent.
D'abord le délai : l'insécurité au Kasaï ne saurait expliquer le retard pris dans les autres provinces, soulignent les évêques. Ils déplorent aussi l'absence de chronogramme précis, ce qui a compliqué la tâche des observateurs, et regrettent que la Céni ait mis en place un appel d'offres chronophage pour l'acquisition du matériel. C'est la loi, a répondu le président de la commission électorale.
Sur le fichier à proprement parler, les observateurs de la Cenco s'inquiètent de la présence de doublons sans pouvoir dire dans quelles proportions et relèvent des cas d'électeurs autorisés à s'inscrire sans document d'identité valable, parfois même des mineurs.
Une appréciation « prématurée », a réagi le président de la Céni. Il assure que tout est prévu pour nettoyer le fichier dans un second temps. Trop insister sur les faiblesses du fichier électoral est « contre-productif », prévient-il, « car du consensus autour ce fichier dépend la crédibilité de l'élection et aussi le respect du calendrier ».
Le président de la Céni a tout de même soulevé « un point critique » en ce qui concerne le respect des délais. Il estime avoir encore besoin de 66 millions de dollars pour finaliser le fichier électoral. Et dit avoir besoin de cet argent avant la fin du mois de novembre pour rester dans les clous du calendrier.
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