Depuis quelque temps, l’ancien Premier ministre a rompu les amarres avec la coalition présidentielle Benno Bokk Yakaar. Un divorce officialisé au sortir d’un Bureau politique de son parti. L’incompatibilité d’humeur est visible dès les premières heures de l’accession du Président Sall à la Magistrature suprême. Ces deux anciens premiers ministres, même sous la coupole du Pape du « Sopi », il n’était pas rare de voir les deux hommes se flétrir.
Idrissa Seck, alors chef du Gouvernement qualifie Macky Sall de « maillon » faible de la chaîne » dans (son) équipe gouvernementale. Ses déboires avec le président Wade, sa décente aux enfers de Reubeuss, il en impute une grande responsabilité à l’actuel président de la République. C’est un secret de polichinelle. Ce n’est plus l’éternelle victime sous Wade.
Dans une coalition présidentielle malgré lui, le maire de Thiès s’affiche en tant que « sentinelle de la démocratie ». Il sort d’abord un communiqué pour « déplorer la fréquence des coupures d’électricité ».
Idrissa Seck, dans les colonnes du journal « Observateur », pousse le bouchon trop loin. « Rewmi doxul (le pays ne marche pas). Aujourd’hui, la vie reste chère, l’emploi n’a pas décollé, des entreprises sont en difficulté, elles ferment leurs portes et licencient, les délestages ont repris… », a-t-il flingué le Président Sall.
Le 25 mars 2011, An 1 de l’alternance, alors que la mouvance présidentielle fêtait le premier anniversaire de l’accession de Macky Sall à la tête de l’Etat, Idrissa Seck jette du sable dans le couscous de la coalition BBY dont il a été encore membre. Le retour du fils d’emprunt de Wade dans l’opposition est-il synonyme de retrouvailles entre le PDS et Rewmi ? Ce qui ne sera pas avant les élections de 2014.
Idrissa Seck, alors chef du Gouvernement qualifie Macky Sall de « maillon » faible de la chaîne » dans (son) équipe gouvernementale. Ses déboires avec le président Wade, sa décente aux enfers de Reubeuss, il en impute une grande responsabilité à l’actuel président de la République. C’est un secret de polichinelle. Ce n’est plus l’éternelle victime sous Wade.
Dans une coalition présidentielle malgré lui, le maire de Thiès s’affiche en tant que « sentinelle de la démocratie ». Il sort d’abord un communiqué pour « déplorer la fréquence des coupures d’électricité ».
Idrissa Seck, dans les colonnes du journal « Observateur », pousse le bouchon trop loin. « Rewmi doxul (le pays ne marche pas). Aujourd’hui, la vie reste chère, l’emploi n’a pas décollé, des entreprises sont en difficulté, elles ferment leurs portes et licencient, les délestages ont repris… », a-t-il flingué le Président Sall.
Le 25 mars 2011, An 1 de l’alternance, alors que la mouvance présidentielle fêtait le premier anniversaire de l’accession de Macky Sall à la tête de l’Etat, Idrissa Seck jette du sable dans le couscous de la coalition BBY dont il a été encore membre. Le retour du fils d’emprunt de Wade dans l’opposition est-il synonyme de retrouvailles entre le PDS et Rewmi ? Ce qui ne sera pas avant les élections de 2014.
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