Le bureau politique du parti socialiste a officiellement donné sa position sur le référendum du 20 mars prochain. Ainsi le Ps invite ses militants et sympathisants à aller voter massivement pour le triomphe du Oui. A en croire le secrétaire général Ousmane Tanor Dieng « ce Oui n’est pas pour soutenir le président Macky Sall, mais c’est pour consolider les acquis démocratiques de notre pays au regard des importantes réformes proposées par le chef de l’Etat, car ces quinze points consolident l’Etat de droit, et la stabilité de nos institutions et de leur sécurité ». Poursuivant le Sg de dire que le parti socialiste va tout faire pour relever le défi de la participation car, selon lui, le référendum n’attire guère les électeurs.
Revenant sur les incidents regrettables d’hier, Ousmane Tanor soutient que « le parti socialiste est un parti de débat, c’est pourquoi les scènes de violences d’hier sont contraires aux valeurs et à l’attachement du Ps à la démocratie, à la discipline, à la cohésion et à l’unité ».
Le bureau politique, à l’unanimité, lui a emboîté le pas pour condamner ces actes qu’il qualifie d’une autre époque. Il engage ainsi son secrétaire général, à entreprendre toutes les diligences requises pour situer les responsabilités et réserver a ces faits les suites politique et judiciaire à la mesure de leur gravité. Il donne mandat ainsi au secrétariat exécutif national de prendre toutes les mesures disciplinaires qu’appellent les actes de violences. A noter lors de ce bureau politique du dimanche l’absence du maire de Dakar Khalifa Sall, toutefois Alioune Ndoye de Dakar plateau a pris part à ce bureau politique.
Revenant sur les incidents regrettables d’hier, Ousmane Tanor soutient que « le parti socialiste est un parti de débat, c’est pourquoi les scènes de violences d’hier sont contraires aux valeurs et à l’attachement du Ps à la démocratie, à la discipline, à la cohésion et à l’unité ».
Le bureau politique, à l’unanimité, lui a emboîté le pas pour condamner ces actes qu’il qualifie d’une autre époque. Il engage ainsi son secrétaire général, à entreprendre toutes les diligences requises pour situer les responsabilités et réserver a ces faits les suites politique et judiciaire à la mesure de leur gravité. Il donne mandat ainsi au secrétariat exécutif national de prendre toutes les mesures disciplinaires qu’appellent les actes de violences. A noter lors de ce bureau politique du dimanche l’absence du maire de Dakar Khalifa Sall, toutefois Alioune Ndoye de Dakar plateau a pris part à ce bureau politique.
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