Les relations entre les forces de l'ordre et les journalistes sont au cœur des défis que rencontre la démocratie sénégalaise. Ces deux institutions essentielles au bon fonctionnement de la société partagent un objectif commun qui est de servir l'intérêt général. Pourtant, lors des manifestations, ces relations sont souvent marquées par des tensions, des malentendus et parfois des conflits qui nuisent à leurs missions respectives.
Pour dépasser cette étape, remettre les relations au beau fixe et repartir à zéro, les deux parties se sont rencontrées au tour d’une table pour essayer de scruter les défis rencontrés par chaque partie, les impacts de ces tensions sur la démocratie. Et surtout, explorer des solutions concrètes et équilibrées pour améliorer cette relation. L'objectif, bien entendu, étant de trouver un terrain d'attente, où la sécurité publique et la liberté de la presse coexistent harmonieusement aux services de tous les Sénégalais.
« Aujourd'hui, nous sommes réunis pour avouer ces problématiques avec impartialité, mais surtout avec objectif. Il ne s'agit pas de désigner des coupables, mais de comprendre les réalités complexes auxquelles font face les forces de l'ordre et les journalistes. Chacun agit dans un contexte exigeant avec des contraintes spécifiques et des responsabilités qui, bien que différentes, sont toutes les deux légitimes et nécessaires », a déclaré ce mercredi le Commissaire Ndiaga Diop, lors de la rencontre entre la Police et les acteurs de la presse. La rencontre qui s’est tenue à l’Ecole nationale de Police entre dans le cadre de la journée appelée « les mercredis de la Police ». Le Thème choisi cette année marquant la deuxième édition est : « Maintien de l'ordre face à la liberté de la presse.»
Toujours dans ses propos, le commissaire de la police a rappelé que les deux parties ont une mission complémentaire et que ces tensions à la longue pourraient affecter les populations. « Les forces de l'ordre doivent garantir la sécurité publique, souvent dans des situations chaotiques et imprévisibles. Les journalistes ont pour mission d'informer le public, même dans les circonstances les plus difficiles. Ces deux missions, bien que complémentaires, peuvent entrer en collision, créant des frictions qui affectent non seulement les professionnels concernés, mais aussi et surtout l'ensemble de la société. Ensemble, nous pouvons conduire un cadre de collaboration qui renforce la confiance mutuelle et préserve les valeurs fondamentales de notre démocratie », a-t-il indiqué.
A cet effet, M. Diop a fait un exposé des problématiques.
« Nous avons des tensions récurrentes et vraies qui se manifestent souvent lors des opérations de maintien de l'ordre. C'est une réalité. Violence physique envers les journalistes, confiscation ou destruction de matériel de reportages, arrestations temporaires des journalistes.
Les causes : On parle de manque de formation, aussi bien des deux parties.
Pour les policiers, ce sont les droits et devoirs des journalistes. Et pour les journalistes, c'est le mode opératoire et les contraintes opérationnelles auxquelles les forces de l'ordre sont confrontées. Il manque gravement de formation sur ce point de vue. L'une des causes encore de ces tensions, c'est l'absence d'un protocole clair pour les journalistes, la méfiance et la confusion entre manifestants et journalistes.
L’impact de ces tensions, de ces malentendus :
D'abord pour les citoyens, ces malentendus créent une limitation au droit à l'information. Ces malentendus créent également un risque de désinformation par manque de couverture professionnelle.
Pour les médias, ces malentendus créent une auto-censure des journalistes qui préfèrent peut-être ne pas aller sur le terrain.
Conséquences
Pour les journalistes, difficulté à exercer leur métier librement.
Pour les forces de l'ordre, la conséquence, c'est la détérioration de l'image publique, une perte de confiance de la société civile.
Et pour la démocratie, c'est l'affaiblissement du débat démocratique avec un risque de polarisation.
Les défis
Des policiers sont confrontés à des défis. La gestion des manifestations par les forces de l'ordre est une mission complexe, exigeante et souvent sous-estimée. Les policiers doivent naviguer entre les impératifs de sécurité publique, le respect des droits fondamentaux et les contraintes de la justice juridique et médiatique. Cette analyse explore les principales contraintes de l'opération de l'ordre auxquelles ils sont confrontés en appuyant sur des exemples récents et en proposant des pistes de solution, des pistes de réparation. Les forces de l'ordre doivent faire face à des défis hétérogènes, composés de manifestants pacifiques, mais aussi de groupes violents, comme des casseurs etc. Par exemple, lors de certaines manifestations, les policiers doivent distinguer entre des citoyens exprimant uniquement leur colère et des individus cherchant à provoquer des affrontements. Cette diversité complique la lutte de décision et l'adaptation des tactiques.
Les policiers sont souvent exposés à des jets de projectiles, des incendies volatiles ou des attaques physiques. Lors des manifestations sociales ou politiques, des groupes violents ont systématiquement ciblé les forces de l'ordre utilisant des techniques d'encerclement et des armes improvisées. Cette situation exige une réaction rapide et mesurée pour éviter l'escalade de la violence. Les policiers doivent garantir le droit constitutionnel de manifester tout en empêchant le développement.
Les journalistes ont le droit de couvrir les événements, mais leur présence peut parfois compliquer les opérations, notamment lorsqu'ils lorsqu'ils se trouvent à proximité des zones de tensions. Par exemple, lors des manifestations, des journalistes ont été blessés par des piles de grenades lacrymogènes, soulignant la difficulté de distinguer l'immédiat des immédiats dans des situations chaotiques.
Les forces de l'ordre sont tenues de respecter le principe de proportionnalité dans l'usage de la force. Cela implique une formation rigoureuse, une évaluation constante des situations. Cependant, dans des situations de violence extrême, comme lors des émeutes, cette proportionnalité est souvent remise en question.
Les forces de l'ordre doivent informer les manifestants et les riverains des mesures plus présentes, des restrictions de circulation ou des dispersions, tout en évitant de provoquer des paniques. Cette communication est rendue difficile par la désinformation et les rumeurs postées sur les réseaux sociaux. Les policiers sont constamment filmés et observés, ce qui peut influencer leur comportement et les exposer à des critiques publiques. Par exemple, des vidéos montrant des policiers utilisant la force ont souvent été partagées massivement sur les réseaux sociaux, alimentant les débats coulés sur la légitimité…
Malgré ces défis, les forces de l'ordre s'efforcent de remplir leur mission avec professionnalisme en cherchant à protéger l'ordre public, tout en préservant les libertés individuelles. Une meilleure compréhension de ces contraintes, couplée à des mesures concrètes pour les atteindre, peut contribuer à améliorer les dialogues entre les forces de l'ordre, les manifestants et les médias, tout en renforçant la confiance du public dans les institutions », a signalé le Directeur General de la police.
Certain nombre de comportements de la part des hommes de médias, qui constituent des défis majeurs pour les FDS sur le terrain.
Les journalistes partent délibérément entre les forces de l'ordre et les manifestants. Ça, c'est un comportement que j’ai eu à suivre.
Les journalistes franchissent les cordons de sécurité sans autorisation.
Les journalistes refusent de reculer quand on leur demande de s'éloigner d'une zone sensible.
Filment est diffusent en direct la position et les mouvements des unités.
Interfèrent dans les opérations pour filmer au plus près. Ceux qui cherchent à filmer au plus près interfèrent dans les opérations.
Questionnent parfois les policiers en pleine intervention. Définissent des dispositifs de sécurité pour l'intervention. Définissent des images sans contexte nécessaire. Filment sélectivement pour ne montrer que les actions des forces de l'ordre. Favorisent les actes dramatiques plutôt que la compréhension.
Recherchent systématiquement les situations de danger.
La présence des journalistes rend parfois nécessaire une protection non prévue en cas de danger. Parce que cela nous pousse à la mobilisation définitive pour assurer la sécurité. Ils obligent à modifier les dispositifs prévus pour les accommoder.
Relâchent certaines interventions de par leur présence. Encouragent indirectement certains manifestants à en faire plus devant les caméras. Certains manifestants, devant les caméras, cherchent délibérément à se singulariser et de parler d'eux. Créent des attroupements qui compliquent la recherche de l'espace.
Peu importe comment ce système est bouclé pour les individus violents, il rend plus difficile l'identification des fauteurs de troupes.
Les divergences de points de vue qui existent entre les journalistes et la police
Pour la police, en ce qui concerne l'accès aux normes, il y a une nécessité de restreindre l'accès pour garantir la sécurité.
Mais pour la presse, elle a besoin d'accéder aux normes pour informer le public.
La tension qui nait de cette divergence se construit entre la sécurité publique et les données d'information.
Pour les journalistes, ils affirment le devoir d'informer le public, même si les images peuvent choquer. Ce qui crée le risque de désinformation ou de préjudice à la quête.
Pour les journalistes, les restrictions policières peuvent être perçues comme de la censure. Ce qui crée des tangents, comme la méfiance militaire et l'incompréhension des rôles.
Pour les journalistes, la police doit respecter la liberté de la presse.
Le conflit qui naît de cette divergence, il s'agit d'un conflit entre éthique journalistique et impératif de sécurité.
La tâche noire, divergence d'objectifs. Sécurité contre immédiateté de l'information.
Pour les journalistes, le devoir de révéler des dysfonctionnements. C'est ce qui crée une tension en protection de l'image institutionnelle.
L'élaboration de protocoles conventionnels, les mécanismes de résolution des conflits mais également l'évaluation conjointe des incidents. On peut penser à la "réinformation croisée". Sessions communes pour comprendre les contraintes immédiates. Exercices de simulation partagés.
Échange de votes pratiques et construction surtout d'une culture professionnelle partagée.
Les solutions pratiques sur le terrain.
Création de zones de presse définies conjointement. Portes de sujets distinctifs pour les jeunes. Les systèmes d'identification mutuellement reconnus avec les cartes de presse, les canaux de communication dédiés. Mais également des débuts fin communs après chaque événement de maillage », a expliqué le directeur général de la Police M. Mame Seydou Ndour.
Selon lui, « l'engagement des journalistes repose sur une reconnaissance mutuelle des contraintes et responsabilités de chacun. Une approche équilibrée basée sur le dialogue, la formation et des protocoles clairs permettra de servir l'intérêt général tout en renforçant la sécurité publique et la démocratie », a-t-il conclu.
Pour dépasser cette étape, remettre les relations au beau fixe et repartir à zéro, les deux parties se sont rencontrées au tour d’une table pour essayer de scruter les défis rencontrés par chaque partie, les impacts de ces tensions sur la démocratie. Et surtout, explorer des solutions concrètes et équilibrées pour améliorer cette relation. L'objectif, bien entendu, étant de trouver un terrain d'attente, où la sécurité publique et la liberté de la presse coexistent harmonieusement aux services de tous les Sénégalais.
« Aujourd'hui, nous sommes réunis pour avouer ces problématiques avec impartialité, mais surtout avec objectif. Il ne s'agit pas de désigner des coupables, mais de comprendre les réalités complexes auxquelles font face les forces de l'ordre et les journalistes. Chacun agit dans un contexte exigeant avec des contraintes spécifiques et des responsabilités qui, bien que différentes, sont toutes les deux légitimes et nécessaires », a déclaré ce mercredi le Commissaire Ndiaga Diop, lors de la rencontre entre la Police et les acteurs de la presse. La rencontre qui s’est tenue à l’Ecole nationale de Police entre dans le cadre de la journée appelée « les mercredis de la Police ». Le Thème choisi cette année marquant la deuxième édition est : « Maintien de l'ordre face à la liberté de la presse.»
Toujours dans ses propos, le commissaire de la police a rappelé que les deux parties ont une mission complémentaire et que ces tensions à la longue pourraient affecter les populations. « Les forces de l'ordre doivent garantir la sécurité publique, souvent dans des situations chaotiques et imprévisibles. Les journalistes ont pour mission d'informer le public, même dans les circonstances les plus difficiles. Ces deux missions, bien que complémentaires, peuvent entrer en collision, créant des frictions qui affectent non seulement les professionnels concernés, mais aussi et surtout l'ensemble de la société. Ensemble, nous pouvons conduire un cadre de collaboration qui renforce la confiance mutuelle et préserve les valeurs fondamentales de notre démocratie », a-t-il indiqué.
A cet effet, M. Diop a fait un exposé des problématiques.
« Nous avons des tensions récurrentes et vraies qui se manifestent souvent lors des opérations de maintien de l'ordre. C'est une réalité. Violence physique envers les journalistes, confiscation ou destruction de matériel de reportages, arrestations temporaires des journalistes.
Les causes : On parle de manque de formation, aussi bien des deux parties.
Pour les policiers, ce sont les droits et devoirs des journalistes. Et pour les journalistes, c'est le mode opératoire et les contraintes opérationnelles auxquelles les forces de l'ordre sont confrontées. Il manque gravement de formation sur ce point de vue. L'une des causes encore de ces tensions, c'est l'absence d'un protocole clair pour les journalistes, la méfiance et la confusion entre manifestants et journalistes.
L’impact de ces tensions, de ces malentendus :
D'abord pour les citoyens, ces malentendus créent une limitation au droit à l'information. Ces malentendus créent également un risque de désinformation par manque de couverture professionnelle.
Pour les médias, ces malentendus créent une auto-censure des journalistes qui préfèrent peut-être ne pas aller sur le terrain.
Conséquences
Pour les journalistes, difficulté à exercer leur métier librement.
Pour les forces de l'ordre, la conséquence, c'est la détérioration de l'image publique, une perte de confiance de la société civile.
Et pour la démocratie, c'est l'affaiblissement du débat démocratique avec un risque de polarisation.
Les défis
Des policiers sont confrontés à des défis. La gestion des manifestations par les forces de l'ordre est une mission complexe, exigeante et souvent sous-estimée. Les policiers doivent naviguer entre les impératifs de sécurité publique, le respect des droits fondamentaux et les contraintes de la justice juridique et médiatique. Cette analyse explore les principales contraintes de l'opération de l'ordre auxquelles ils sont confrontés en appuyant sur des exemples récents et en proposant des pistes de solution, des pistes de réparation. Les forces de l'ordre doivent faire face à des défis hétérogènes, composés de manifestants pacifiques, mais aussi de groupes violents, comme des casseurs etc. Par exemple, lors de certaines manifestations, les policiers doivent distinguer entre des citoyens exprimant uniquement leur colère et des individus cherchant à provoquer des affrontements. Cette diversité complique la lutte de décision et l'adaptation des tactiques.
Les policiers sont souvent exposés à des jets de projectiles, des incendies volatiles ou des attaques physiques. Lors des manifestations sociales ou politiques, des groupes violents ont systématiquement ciblé les forces de l'ordre utilisant des techniques d'encerclement et des armes improvisées. Cette situation exige une réaction rapide et mesurée pour éviter l'escalade de la violence. Les policiers doivent garantir le droit constitutionnel de manifester tout en empêchant le développement.
Les journalistes ont le droit de couvrir les événements, mais leur présence peut parfois compliquer les opérations, notamment lorsqu'ils lorsqu'ils se trouvent à proximité des zones de tensions. Par exemple, lors des manifestations, des journalistes ont été blessés par des piles de grenades lacrymogènes, soulignant la difficulté de distinguer l'immédiat des immédiats dans des situations chaotiques.
Les forces de l'ordre sont tenues de respecter le principe de proportionnalité dans l'usage de la force. Cela implique une formation rigoureuse, une évaluation constante des situations. Cependant, dans des situations de violence extrême, comme lors des émeutes, cette proportionnalité est souvent remise en question.
Les forces de l'ordre doivent informer les manifestants et les riverains des mesures plus présentes, des restrictions de circulation ou des dispersions, tout en évitant de provoquer des paniques. Cette communication est rendue difficile par la désinformation et les rumeurs postées sur les réseaux sociaux. Les policiers sont constamment filmés et observés, ce qui peut influencer leur comportement et les exposer à des critiques publiques. Par exemple, des vidéos montrant des policiers utilisant la force ont souvent été partagées massivement sur les réseaux sociaux, alimentant les débats coulés sur la légitimité…
Malgré ces défis, les forces de l'ordre s'efforcent de remplir leur mission avec professionnalisme en cherchant à protéger l'ordre public, tout en préservant les libertés individuelles. Une meilleure compréhension de ces contraintes, couplée à des mesures concrètes pour les atteindre, peut contribuer à améliorer les dialogues entre les forces de l'ordre, les manifestants et les médias, tout en renforçant la confiance du public dans les institutions », a signalé le Directeur General de la police.
Certain nombre de comportements de la part des hommes de médias, qui constituent des défis majeurs pour les FDS sur le terrain.
Les journalistes partent délibérément entre les forces de l'ordre et les manifestants. Ça, c'est un comportement que j’ai eu à suivre.
Les journalistes franchissent les cordons de sécurité sans autorisation.
Les journalistes refusent de reculer quand on leur demande de s'éloigner d'une zone sensible.
Filment est diffusent en direct la position et les mouvements des unités.
Interfèrent dans les opérations pour filmer au plus près. Ceux qui cherchent à filmer au plus près interfèrent dans les opérations.
Questionnent parfois les policiers en pleine intervention. Définissent des dispositifs de sécurité pour l'intervention. Définissent des images sans contexte nécessaire. Filment sélectivement pour ne montrer que les actions des forces de l'ordre. Favorisent les actes dramatiques plutôt que la compréhension.
Recherchent systématiquement les situations de danger.
La présence des journalistes rend parfois nécessaire une protection non prévue en cas de danger. Parce que cela nous pousse à la mobilisation définitive pour assurer la sécurité. Ils obligent à modifier les dispositifs prévus pour les accommoder.
Relâchent certaines interventions de par leur présence. Encouragent indirectement certains manifestants à en faire plus devant les caméras. Certains manifestants, devant les caméras, cherchent délibérément à se singulariser et de parler d'eux. Créent des attroupements qui compliquent la recherche de l'espace.
Peu importe comment ce système est bouclé pour les individus violents, il rend plus difficile l'identification des fauteurs de troupes.
Les divergences de points de vue qui existent entre les journalistes et la police
- L'accès aux normes d'intervention :
Pour la police, en ce qui concerne l'accès aux normes, il y a une nécessité de restreindre l'accès pour garantir la sécurité.
Mais pour la presse, elle a besoin d'accéder aux normes pour informer le public.
La tension qui nait de cette divergence se construit entre la sécurité publique et les données d'information.
- La diffusion d'images ou d'informations.
Pour les journalistes, ils affirment le devoir d'informer le public, même si les images peuvent choquer. Ce qui crée le risque de désinformation ou de préjudice à la quête.
- Le respect des procédures.
Pour les journalistes, les restrictions policières peuvent être perçues comme de la censure. Ce qui crée des tangents, comme la méfiance militaire et l'incompréhension des rôles.
- Pour la responsabilité éthique :
Pour les journalistes, la police doit respecter la liberté de la presse.
Le conflit qui naît de cette divergence, il s'agit d'un conflit entre éthique journalistique et impératif de sécurité.
- La gestion des crises. :
La tâche noire, divergence d'objectifs. Sécurité contre immédiateté de l'information.
- Pour l'image publique :
Pour les journalistes, le devoir de révéler des dysfonctionnements. C'est ce qui crée une tension en protection de l'image institutionnelle.
- Le devoir de vigilance de la presse.
L'élaboration de protocoles conventionnels, les mécanismes de résolution des conflits mais également l'évaluation conjointe des incidents. On peut penser à la "réinformation croisée". Sessions communes pour comprendre les contraintes immédiates. Exercices de simulation partagés.
Échange de votes pratiques et construction surtout d'une culture professionnelle partagée.
Les solutions pratiques sur le terrain.
Création de zones de presse définies conjointement. Portes de sujets distinctifs pour les jeunes. Les systèmes d'identification mutuellement reconnus avec les cartes de presse, les canaux de communication dédiés. Mais également des débuts fin communs après chaque événement de maillage », a expliqué le directeur général de la Police M. Mame Seydou Ndour.
Selon lui, « l'engagement des journalistes repose sur une reconnaissance mutuelle des contraintes et responsabilités de chacun. Une approche équilibrée basée sur le dialogue, la formation et des protocoles clairs permettra de servir l'intérêt général tout en renforçant la sécurité publique et la démocratie », a-t-il conclu.
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