Bougane Gueye Dany, dans son discours, a d’abord adressé ses condoléances à la famille de l’ancien ministre des Finances sous le régime de Macky Sall, Moustapha Ba, qui est décédé le même jour à Londres des suites d'une maladie. Après cet hommage, il est directement entré dans le vif du sujet.
D'emblée, il a réaffirmé son engagement en faveur du développement du Sénégal, avant de revenir sur le déroulement de son procès à Tambacounda, le mercredi 30 octobre 2024. Selon lui, ce procès n'a fait apparaître ni vainqueur ni vaincu. "La justice a simplement prouvé qu'elle demeure le dernier rempart pour la protection de nos libertés individuelles, souvent menacées par des manœuvres politiciennes", a-t-il souligné, ajoutant qu'une telle situation devait être dénoncée. "Nous serons là pour combattre l’arbitraire, incarné par ce revanchard de la scène politique et ses talibés. Il confond ses casquettes de Premier ministre et de chef de parti. Sa position actuelle lui permet d’accéder à des dossiers confidentiels de l'État, qu'il tente de manipuler dangereusement", a-t-il ajouté.
Dans la même veine, il a évoqué un incident à Bakel, où, selon lui, sur une route nationale sans jalonnement, des autorités locales, sous l'instruction de leur supérieur, ont cherché à appliquer une décision politique illégale, violant ainsi la Constitution. "Ils ont tous agi comme de véritables militants de Pastef pour me mettre en prison", a-t-il affirmé.
Bougane Gueye Dany a ensuite rappelé son passé d'homme engagé pour son pays. "Mon engagement pour mon pays et mes compatriotes ne date pas d’aujourd’hui", a-t-il insisté. Il a évoqué ses actions humanitaires à travers le Sénégal, soulignant ses efforts pour venir en aide aux populations en détresse. "Où était Ousmane Sonko en 2012, lorsque j’ai mobilisé 500 millions pour secourir les populations sinistrées par les inondations ? Il était sans doute occupé avec des dossiers fonciers douteux, liés à son ancien mentor, poursuivi pour 8 milliards par la CREI", a-t-il dit. "Je ne cherche pas à verser le sang de la jeunesse par le mensonge ou la manipulation pour accéder au pouvoir. Je suis un homme de vérité, de justice, un humaniste engagé pour les bonnes causes. C’est d’ailleurs ce qui m’a conduit à la prison de Tamba", a-t-il ajouté.
Bougane Gueye Dany victime de persécution politique
Le leader de Gueum Sa Bopp a ensuite exprimé son ressenti face à ce qu’il considère comme une persécution politique. "En moins d’un mois, j’ai été arrêté à deux reprises. C’est une preuve évidente que je suis la cible d’une persécution orchestrée par Ousmane Sonko et Pastef, dont je suis la principale cible. Ils tentent vainement de m'empêcher d'exercer mon droit d'opposant. J'ai été victime d'arrestations illégales, de détentions arbitraires et d'interdiction de circuler librement dans mon pays", a-t-il dénoncé.
En détaillant les circonstances de son arrestation à Bakel, il a insisté sur le fait que la restriction qui lui a été imposée était purement politique, et non fondée sur la loi. "Cette décision politique était disproportionnée par rapport à la nature humanitaire de la mission de la délégation de Samm Sa Kaddu, qui visait à venir en aide à près de 60 000 citoyens sénégalais sinistrés dans le département de Bakel, laissés pour compte", a-t-il regretté. "Le Président de la République n’est jamais passé par cette route nationale. C’est embarrassant de voir l’Institution de la Gendarmerie nationale jouer un rôle politique au service de Pastef et contre l’opposition, jusqu’à m'envoyer en prison", a-t-il ajouté.
Bougane Gueye Dany a aussi exprimé sa gratitude à ceux qui l'ont soutenu pendant son séjour en détention à Tambacounda, en particulier les membres de sa coalition Samm Sa Kaddu et d'autres personnalités politiques, leur adressant ses vifs remerciements.
Dans la même logique, le patron du groupe Dmedia a évoqué le saccage du siège de Takhawu Sénégal. "Il est grand temps que le Président de la République exige la publication des résultats de l’enquête demandée suite à cet acte barbare contre notre frère Barthélémy Diaz", a-t-il déclaré. Il a ajouté : "Pour moins que ça, j’ai été violenté par des éléments de la gendarmerie et emprisonné pendant 12 jours. Comment expliquer que, dans le même contexte, Abass Fall, auteur de menaces publiques et d'incitations à l’usage d’armes, soit toujours en liberté ? C’est l’effondrement de l’État de droit au Sénégal, face à une justice partisane et à sens unique. Les ministres de la Justice et de l’Intérieur ont créé un véritable 'État-Pastéfien'".
D'emblée, il a réaffirmé son engagement en faveur du développement du Sénégal, avant de revenir sur le déroulement de son procès à Tambacounda, le mercredi 30 octobre 2024. Selon lui, ce procès n'a fait apparaître ni vainqueur ni vaincu. "La justice a simplement prouvé qu'elle demeure le dernier rempart pour la protection de nos libertés individuelles, souvent menacées par des manœuvres politiciennes", a-t-il souligné, ajoutant qu'une telle situation devait être dénoncée. "Nous serons là pour combattre l’arbitraire, incarné par ce revanchard de la scène politique et ses talibés. Il confond ses casquettes de Premier ministre et de chef de parti. Sa position actuelle lui permet d’accéder à des dossiers confidentiels de l'État, qu'il tente de manipuler dangereusement", a-t-il ajouté.
Dans la même veine, il a évoqué un incident à Bakel, où, selon lui, sur une route nationale sans jalonnement, des autorités locales, sous l'instruction de leur supérieur, ont cherché à appliquer une décision politique illégale, violant ainsi la Constitution. "Ils ont tous agi comme de véritables militants de Pastef pour me mettre en prison", a-t-il affirmé.
Bougane Gueye Dany a ensuite rappelé son passé d'homme engagé pour son pays. "Mon engagement pour mon pays et mes compatriotes ne date pas d’aujourd’hui", a-t-il insisté. Il a évoqué ses actions humanitaires à travers le Sénégal, soulignant ses efforts pour venir en aide aux populations en détresse. "Où était Ousmane Sonko en 2012, lorsque j’ai mobilisé 500 millions pour secourir les populations sinistrées par les inondations ? Il était sans doute occupé avec des dossiers fonciers douteux, liés à son ancien mentor, poursuivi pour 8 milliards par la CREI", a-t-il dit. "Je ne cherche pas à verser le sang de la jeunesse par le mensonge ou la manipulation pour accéder au pouvoir. Je suis un homme de vérité, de justice, un humaniste engagé pour les bonnes causes. C’est d’ailleurs ce qui m’a conduit à la prison de Tamba", a-t-il ajouté.
Bougane Gueye Dany victime de persécution politique
Le leader de Gueum Sa Bopp a ensuite exprimé son ressenti face à ce qu’il considère comme une persécution politique. "En moins d’un mois, j’ai été arrêté à deux reprises. C’est une preuve évidente que je suis la cible d’une persécution orchestrée par Ousmane Sonko et Pastef, dont je suis la principale cible. Ils tentent vainement de m'empêcher d'exercer mon droit d'opposant. J'ai été victime d'arrestations illégales, de détentions arbitraires et d'interdiction de circuler librement dans mon pays", a-t-il dénoncé.
En détaillant les circonstances de son arrestation à Bakel, il a insisté sur le fait que la restriction qui lui a été imposée était purement politique, et non fondée sur la loi. "Cette décision politique était disproportionnée par rapport à la nature humanitaire de la mission de la délégation de Samm Sa Kaddu, qui visait à venir en aide à près de 60 000 citoyens sénégalais sinistrés dans le département de Bakel, laissés pour compte", a-t-il regretté. "Le Président de la République n’est jamais passé par cette route nationale. C’est embarrassant de voir l’Institution de la Gendarmerie nationale jouer un rôle politique au service de Pastef et contre l’opposition, jusqu’à m'envoyer en prison", a-t-il ajouté.
Bougane Gueye Dany a aussi exprimé sa gratitude à ceux qui l'ont soutenu pendant son séjour en détention à Tambacounda, en particulier les membres de sa coalition Samm Sa Kaddu et d'autres personnalités politiques, leur adressant ses vifs remerciements.
Dans la même logique, le patron du groupe Dmedia a évoqué le saccage du siège de Takhawu Sénégal. "Il est grand temps que le Président de la République exige la publication des résultats de l’enquête demandée suite à cet acte barbare contre notre frère Barthélémy Diaz", a-t-il déclaré. Il a ajouté : "Pour moins que ça, j’ai été violenté par des éléments de la gendarmerie et emprisonné pendant 12 jours. Comment expliquer que, dans le même contexte, Abass Fall, auteur de menaces publiques et d'incitations à l’usage d’armes, soit toujours en liberté ? C’est l’effondrement de l’État de droit au Sénégal, face à une justice partisane et à sens unique. Les ministres de la Justice et de l’Intérieur ont créé un véritable 'État-Pastéfien'".
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