Jean-Marie François BIAGUI ne supporte pas du tout le sentiment de Diouf sur le prêtre rebelle, « ce prêtre, alors secrétaire général du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC), que le président DIOUF dit ne pas oser qualifier aujourd’hui, s’appelait l’Abbé Augustin Diamacoune SENGHOR, qui se qualifiait lui-même, au moyen de sa propre devise sacerdotale, comme un ‘‘prêtre pour l’éternité, pour mettre dans le monde la vérité, la charité, la justice et la paix, en établissant dans les cœurs le Règne de Dieu.’’
« Cependant, au nom de l’Abbé Augustin Diamacoune SENGHOR, à titre posthume, et pour sa mémoire, je dénie, avec gravité, et sans appel, à l’ancien Ministre du Plan, à l’ancien Premier Ministre, à l’ancien Président de la République et ancien Secrétaire Général du PS, et au Secrétaire Général en exercice de l’OIF, le droit de souiller la mémoire du prêtre disparu », peste M. Biagui à travers sa réponse depuis Villeurbanne en France ce 14 octobre 2010.
« Il est historiquement avéré que la seule réponse, que le président Abdou DIOUF avait opposée aux Casamançais en colère – mais qui exprimaient on ne pouvait plus pacifiquement leur colère en cette journée du 26 décembre 1982 – était la violence ; une violence aussi aveugle et disproportionnée que féroce et ravageuse. Ce fut, à la limite, du banditisme politique » accuse, Jean-Marie François BIAGUI.
« Cependant, au nom de l’Abbé Augustin Diamacoune SENGHOR, à titre posthume, et pour sa mémoire, je dénie, avec gravité, et sans appel, à l’ancien Ministre du Plan, à l’ancien Premier Ministre, à l’ancien Président de la République et ancien Secrétaire Général du PS, et au Secrétaire Général en exercice de l’OIF, le droit de souiller la mémoire du prêtre disparu », peste M. Biagui à travers sa réponse depuis Villeurbanne en France ce 14 octobre 2010.
« Il est historiquement avéré que la seule réponse, que le président Abdou DIOUF avait opposée aux Casamançais en colère – mais qui exprimaient on ne pouvait plus pacifiquement leur colère en cette journée du 26 décembre 1982 – était la violence ; une violence aussi aveugle et disproportionnée que féroce et ravageuse. Ce fut, à la limite, du banditisme politique » accuse, Jean-Marie François BIAGUI.
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