Chaque année, 600 millions de personnes tombent malades après avoir consommé des aliments contaminés, et 420 000 en meurent, selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). En Afrique, plus de 91 millions de cas sont enregistrés annuellement, entraînant 137 000 décès, soit un tiers de la mortalité mondiale liée aux maladies d’origine alimentaire. Face à cette situation préoccupante, un projet visant à renforcer la sécurité sanitaire des aliments dans la restauration de rue au Sénégal, au Burkina Faso et au Mali a été lancé hier, mardi 25 février 2025, à Dakar.
Financé par le Grand-Duché de Luxembourg et mis en œuvre par l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), ce programme a pour objectif « de protéger la santé publique tout en valorisant le potentiel économique de la restauration de rue. » Il prévoit notamment l’élaboration de guides de bonnes pratiques en matière d’hygiène et de contrôle sanitaire afin d’accompagner les institutions de régulation et les acteurs du secteur.
La restauration de rue, qui représente une composante essentielle de l’économie informelle au Sénégal et dans la sous-région, est confrontée à de nombreux défis sanitaires, rapporte Sud Quotidien. Le manque de formation des restaurateurs et l’absence de contrôle strict favorisent la propagation de maladies d’origine alimentaire. « Nous avons sollicité et obtenu l’appui du Luxembourg pour renforcer la sécurité sanitaire et la capacitation du Sénégal en matière de sécurité alimentaire », a déclaré Pr Amadou Diop, président du Comité national du CODEX.
Tania Martins, représentante du Luxembourg, a rappelé l’engagement de son pays à soutenir cette initiative régionale, avec un financement de 1,3 million de F CFA pour cette troisième phase du projet. « Nous voulons garantir à chacun un accès à une alimentation saine », a-t-elle affirmé.
L’ambassadeur du Luxembourg à Dakar a souligné l’importance de ce programme pour l’économie locale et la santé publique : « Cette initiative vise à améliorer les conditions de la restauration de rue, un secteur essentiel pour la population et le développement économique des trois pays concernés ».
Avec l’appui des partenaires internationaux, ce projet ambitionne d’offrir un cadre plus sûr et plus structuré aux acteurs de la restauration de rue, tout en réduisant les risques sanitaires pour les consommateurs.
Financé par le Grand-Duché de Luxembourg et mis en œuvre par l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), ce programme a pour objectif « de protéger la santé publique tout en valorisant le potentiel économique de la restauration de rue. » Il prévoit notamment l’élaboration de guides de bonnes pratiques en matière d’hygiène et de contrôle sanitaire afin d’accompagner les institutions de régulation et les acteurs du secteur.
La restauration de rue, qui représente une composante essentielle de l’économie informelle au Sénégal et dans la sous-région, est confrontée à de nombreux défis sanitaires, rapporte Sud Quotidien. Le manque de formation des restaurateurs et l’absence de contrôle strict favorisent la propagation de maladies d’origine alimentaire. « Nous avons sollicité et obtenu l’appui du Luxembourg pour renforcer la sécurité sanitaire et la capacitation du Sénégal en matière de sécurité alimentaire », a déclaré Pr Amadou Diop, président du Comité national du CODEX.
Tania Martins, représentante du Luxembourg, a rappelé l’engagement de son pays à soutenir cette initiative régionale, avec un financement de 1,3 million de F CFA pour cette troisième phase du projet. « Nous voulons garantir à chacun un accès à une alimentation saine », a-t-elle affirmé.
L’ambassadeur du Luxembourg à Dakar a souligné l’importance de ce programme pour l’économie locale et la santé publique : « Cette initiative vise à améliorer les conditions de la restauration de rue, un secteur essentiel pour la population et le développement économique des trois pays concernés ».
Avec l’appui des partenaires internationaux, ce projet ambitionne d’offrir un cadre plus sûr et plus structuré aux acteurs de la restauration de rue, tout en réduisant les risques sanitaires pour les consommateurs.
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