En témoigne la création d’une Commission par le Premier ministre qui a pour vocation la révision de ces accords. En mettant en place cette Commission, le Premier ministre Ousmane Sonko s’est voulu clair. Car, déclare-t-il au journaliste de la RTS venu couvrir la cérémonie d’installation de ses membres, « la création de cette commission découle de la volonté […] du président de la République de respecter l’engagement qui a été le nôtre pendant longtemps, en tant que parti d’opposition ».
Car, il est à rappeler que le parti Pastef, aujourd’hui au pouvoir avait fait de ces révisions des accords avec des partenaires leur cheval de bataille. Ce qui entrait dans la logique du Pastef de défendre l’intérêt des citoyens et des populations, notamment pour ce qui concerne les contrats miniers, gaziers, pétroliers et fiscaux. Des errements qu’Ousmane Sonko et ses camarades avaient vigoureusement dénoncés.
« Nous avions pris l’engagement ferme de revenir sur ces accords, de les réexaminer et de les rééquilibrer pour l’intérêt de la nation. Nous tenons à respecter les engagements que nous prenons avec le peuple. C’est extrêmement important’’, a déclaré Ousmane Sonko.
En outre, le Premier ministre a apporté une précision et non des moindres. Car pour lui, la mission de cette commission n’est pas de remettre en question ou en cause tous les contrats que l’ancien régime avait paraphés avec des partenaires. Ainsi donc, dira le Premier ministre, « contrairement à ce que certains on dit, notre logique n’a jamais été de venir tout raser, tout remettre à plat et nationaliser, comme le disent certains. Ce n’est pas cela notre logique. La logique est de travailler de manière scientifique, rigoureuse et méthodique sur tous les aspects de ces conventions, le premier étant l’aspect juridique ».
Prenant la parole, le président de cette Commission et inspecteur des impôts et des domaines à la retraite, El Hadji Ibrahima Diop a promis de s’employer avec « méthode et efficacité, pour mettre en évidence l’urgence de réviser les contrats ».
Car, il est à rappeler que le parti Pastef, aujourd’hui au pouvoir avait fait de ces révisions des accords avec des partenaires leur cheval de bataille. Ce qui entrait dans la logique du Pastef de défendre l’intérêt des citoyens et des populations, notamment pour ce qui concerne les contrats miniers, gaziers, pétroliers et fiscaux. Des errements qu’Ousmane Sonko et ses camarades avaient vigoureusement dénoncés.
« Nous avions pris l’engagement ferme de revenir sur ces accords, de les réexaminer et de les rééquilibrer pour l’intérêt de la nation. Nous tenons à respecter les engagements que nous prenons avec le peuple. C’est extrêmement important’’, a déclaré Ousmane Sonko.
En outre, le Premier ministre a apporté une précision et non des moindres. Car pour lui, la mission de cette commission n’est pas de remettre en question ou en cause tous les contrats que l’ancien régime avait paraphés avec des partenaires. Ainsi donc, dira le Premier ministre, « contrairement à ce que certains on dit, notre logique n’a jamais été de venir tout raser, tout remettre à plat et nationaliser, comme le disent certains. Ce n’est pas cela notre logique. La logique est de travailler de manière scientifique, rigoureuse et méthodique sur tous les aspects de ces conventions, le premier étant l’aspect juridique ».
Prenant la parole, le président de cette Commission et inspecteur des impôts et des domaines à la retraite, El Hadji Ibrahima Diop a promis de s’employer avec « méthode et efficacité, pour mettre en évidence l’urgence de réviser les contrats ».
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