La grève des aiguilleurs du ciel de l’ASECNA qui a paralysé le fonctionnement de l’AIBD pendant 24heures continue de préoccuper la presse. Dans l’OBS, François Paul Gomis, secrétaire général du syndicat des aiguilleurs du ciel soutient que « nous n’avions pas nullement l’intention de saboter AIBD ». Il précise tout de même que « si c’était à refaire nous n’hésiterons pas pour améliorer nos conditions de travail ». Dans l’entretien accordé au journal, François Paul Gomis avance que « nous nous attendions que les autorités de l’Asecna nous saisissent ou notre ministre de tutelle pour discuter. Mais tel n’a pas été le cas et c’est le Premier ministre qui nous a appelés, nous donnant des garanties qu’il prend les choses à mains ».
Du côté du ministère des transports aériens et du développement des infrastructures aéroportuaires, on soutient le contraire. Dans le journal L’AS, un responsable préférant garder l’anonymat explique : il y a eu trois rencontres entre les syndicats des cadres techniques opérationnels et le ministère, il y a eu des propositions et le ministère a proposé d’attendre 6 mois après l’ouverture pour reprendre les négociations sur la base des revendications des acteurs sociaux. Titre du journal, « le ministère dénonce la mauvaise foi des contrôleurs aériens ».
De tous les manquements relevés (fret, cuves de kérosène, réception des bagages) en plus des taxis qui pratiquent des tarifs surfacturés, le journal le TEMOIN qui en parle se demande « et si Maïmouna Ndoye Seck avait vendu du vent à Macky Sall ? ». WALFQUOTIDIEN avance que « la chaîne de responsabilités dépasse la seule personne de Mme Seck. Pour avoir voulu, coûte que coûte, inaugurer un aéroport encore en chantier dans une logique de bilan et d’agenda, l’autorité politique, le président de la République en l’occurrence, y a aussi sa part de responsabilité. La tutelle technique, l’Asecna en l’occurrence, devra aussi assumer sa part de responsabilité pour s’être laissé dicter son agenda par l’autorité politique ». Dans LES ECHOS c’est Idrissa Seck qui parle de l’aéroport. L’ancien Premier ministre en tournée à l’intérieur du pays, déclare « ouvrir un aéroport qui n’a pas toutes ses certifications qui n’est pas prêt, qui n’a pas de zone fret, c’est une catastrophe ».
Enfin l’OBS livre un reportage dans le quotidien des voisins de l’AIBD. Selon le journal des habitants des villages comme Soune, Kathialick, Thiambokh et Diass sont aujourd’hui dépouillés de leurs champs, ils sont perturbés par les vrombissements des moteurs des avions. Deux témoignages : Souleymane Ciss, « j’ai l’impression que ma maison va s’effondrer » et pour Moussa Ciss, « j’ai peur que ces bruits affectent notre écoute ».
Pour l’entrée du Maroc dans la CEDEAO, le QUOTIDIEN informe que le Sommet d’Abuja a décidé de la mise en place d’un comité des chefs d’Etat qui va étudier les implications d’une éventuelle entrée, non seulement du Maroc mais aussi d’autres pays du Maghreb. Dans le SOLEIL le chef de l’Etat, Macky Sall soutient que « nous attendons le rapport de la Commission sur les études d’impacts ».
En politique, VOX POPULI informe que les partisans de Khalifa Sall ont relevé, avant-hier le défi de la mobilisation lors du conclave qu’ils ont tenu à Kaolack sur le thème « la renaissance du Parti socialiste vers de nouvelles conquêtes ». La TRIBUNE ajoute qu’ils ont lancé à l’occasion leur « Manifeste du Saloum » faisant surtout savoir qu’ils auront un candidat à la présidentielle de 2019.
Pour ces présidentielles, DIRECT INFO parle de Racine Sy en se demandant s’il a des ambitions présidentielles. Selon le journal l’opérateur économique vient de lancer son mouvement, « Liguey Senegaal ak Racine » (Alsar) et que rien de Macky n’apparaît dans l’engagement politique de Racine Sy. Dans LIBERATION, il soutient que « notre seule ambition est de sortir le Sénégal de la pauvreté et de la booster vers le développement ».
Pour le dialogue politique, SUDQUOTIDIEN informe qu’Idrissa Seck est toujours non partant. Il refuse de dialoguer avec « quelqu’un qui n’honore pas ses engagements ».
Terminons avec ENQUETE qui va en profondeur dans la succession au Sénégal. Selon le journal, le partage des biens marque généralement le début des tiraillements au sein des familles. Une main basse des uns sur le patrimoine, un héritier oublié et même un testament non reconnu sont autant de facteurs de division entre frères et sœurs. Large dossier dans le journal.
Du côté du ministère des transports aériens et du développement des infrastructures aéroportuaires, on soutient le contraire. Dans le journal L’AS, un responsable préférant garder l’anonymat explique : il y a eu trois rencontres entre les syndicats des cadres techniques opérationnels et le ministère, il y a eu des propositions et le ministère a proposé d’attendre 6 mois après l’ouverture pour reprendre les négociations sur la base des revendications des acteurs sociaux. Titre du journal, « le ministère dénonce la mauvaise foi des contrôleurs aériens ».
De tous les manquements relevés (fret, cuves de kérosène, réception des bagages) en plus des taxis qui pratiquent des tarifs surfacturés, le journal le TEMOIN qui en parle se demande « et si Maïmouna Ndoye Seck avait vendu du vent à Macky Sall ? ». WALFQUOTIDIEN avance que « la chaîne de responsabilités dépasse la seule personne de Mme Seck. Pour avoir voulu, coûte que coûte, inaugurer un aéroport encore en chantier dans une logique de bilan et d’agenda, l’autorité politique, le président de la République en l’occurrence, y a aussi sa part de responsabilité. La tutelle technique, l’Asecna en l’occurrence, devra aussi assumer sa part de responsabilité pour s’être laissé dicter son agenda par l’autorité politique ». Dans LES ECHOS c’est Idrissa Seck qui parle de l’aéroport. L’ancien Premier ministre en tournée à l’intérieur du pays, déclare « ouvrir un aéroport qui n’a pas toutes ses certifications qui n’est pas prêt, qui n’a pas de zone fret, c’est une catastrophe ».
Enfin l’OBS livre un reportage dans le quotidien des voisins de l’AIBD. Selon le journal des habitants des villages comme Soune, Kathialick, Thiambokh et Diass sont aujourd’hui dépouillés de leurs champs, ils sont perturbés par les vrombissements des moteurs des avions. Deux témoignages : Souleymane Ciss, « j’ai l’impression que ma maison va s’effondrer » et pour Moussa Ciss, « j’ai peur que ces bruits affectent notre écoute ».
Pour l’entrée du Maroc dans la CEDEAO, le QUOTIDIEN informe que le Sommet d’Abuja a décidé de la mise en place d’un comité des chefs d’Etat qui va étudier les implications d’une éventuelle entrée, non seulement du Maroc mais aussi d’autres pays du Maghreb. Dans le SOLEIL le chef de l’Etat, Macky Sall soutient que « nous attendons le rapport de la Commission sur les études d’impacts ».
En politique, VOX POPULI informe que les partisans de Khalifa Sall ont relevé, avant-hier le défi de la mobilisation lors du conclave qu’ils ont tenu à Kaolack sur le thème « la renaissance du Parti socialiste vers de nouvelles conquêtes ». La TRIBUNE ajoute qu’ils ont lancé à l’occasion leur « Manifeste du Saloum » faisant surtout savoir qu’ils auront un candidat à la présidentielle de 2019.
Pour ces présidentielles, DIRECT INFO parle de Racine Sy en se demandant s’il a des ambitions présidentielles. Selon le journal l’opérateur économique vient de lancer son mouvement, « Liguey Senegaal ak Racine » (Alsar) et que rien de Macky n’apparaît dans l’engagement politique de Racine Sy. Dans LIBERATION, il soutient que « notre seule ambition est de sortir le Sénégal de la pauvreté et de la booster vers le développement ».
Pour le dialogue politique, SUDQUOTIDIEN informe qu’Idrissa Seck est toujours non partant. Il refuse de dialoguer avec « quelqu’un qui n’honore pas ses engagements ».
Terminons avec ENQUETE qui va en profondeur dans la succession au Sénégal. Selon le journal, le partage des biens marque généralement le début des tiraillements au sein des familles. Une main basse des uns sur le patrimoine, un héritier oublié et même un testament non reconnu sont autant de facteurs de division entre frères et sœurs. Large dossier dans le journal.
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