Le texte revient dès ses premières lignes sur la promesse du Président sur la résolution du conflit casamançais en « 100 jours ». « Depuis l’avènement du Président Wade à la magistrature suprême, les casamançais attendent toujours la réalisation de cette promesse qui devrait voir le conflit résolu en 100 jours. A la date d’aujourd’hui, il s’est passé près de 4300 jours sans aucun espoir de paix dans notre région sud ».
« Pire, le président Me Wade s’est illustré dans le pourrissement du conflit avec à la clé, la mise en place d’un système de division par la corruption, de l’aide combattante et politique du MFDC » dénonce SOS Casamance.
Selon le communiqué, les conséquences de ces actes posés par le premier magistrat de la République ne se sont pas fait attendre, « nous assistons aujourd’hui à une recrudescence des combats d’une violence rarement égalée dans la région avec son corolaire de massacre de populations civiles et de lourdes pertes en vies humaines au sein du Mouvement des forces démocratique de la Casamance (MFDC) ».
« Nous disposons à l’heure actuelle, d’éléments et d’indications irréfutables, prouvant que l’Administration Wade, dans le cadre du système de corruption dont elle s’est rendue coupable ces dernières années en direction de ce conflit, est en fait une source importante de financement en armes du MFDC », martèle SOS Casamance dans son communiqué dont Pressafrik.com a reçu une copie électronique.
Pour SOS Casamance, l’argent mis à la disposition des indépendantistes pour acheter leur reddition ou les diviser, n’a servi en définitive qu’à les réarmer.
SOS Casamance s’incline « pieusement devant la mémoire des vaillants soldats tombés sur le champ de l’honneur, et de celle des populations civiles lâchement assassinées par les bandes armées », avant de prendre pour « responsables des exactions et massacres sur les populations civiles casamançaises de même que les pertes en vies humaines des soldats », le président Me Wade et son administration.
Dans cette affaire casamançaise, SOS Casamance « s’érige en Partie Civile et envisage de porter plainte contre le président Wade et son Administration pour haute trahison, abus de confiance, et atteintes aux intérêts supérieurs de la Nation » souligne le communiqué de SOS Casamance.
« Pire, le président Me Wade s’est illustré dans le pourrissement du conflit avec à la clé, la mise en place d’un système de division par la corruption, de l’aide combattante et politique du MFDC » dénonce SOS Casamance.
Selon le communiqué, les conséquences de ces actes posés par le premier magistrat de la République ne se sont pas fait attendre, « nous assistons aujourd’hui à une recrudescence des combats d’une violence rarement égalée dans la région avec son corolaire de massacre de populations civiles et de lourdes pertes en vies humaines au sein du Mouvement des forces démocratique de la Casamance (MFDC) ».
« Nous disposons à l’heure actuelle, d’éléments et d’indications irréfutables, prouvant que l’Administration Wade, dans le cadre du système de corruption dont elle s’est rendue coupable ces dernières années en direction de ce conflit, est en fait une source importante de financement en armes du MFDC », martèle SOS Casamance dans son communiqué dont Pressafrik.com a reçu une copie électronique.
Pour SOS Casamance, l’argent mis à la disposition des indépendantistes pour acheter leur reddition ou les diviser, n’a servi en définitive qu’à les réarmer.
SOS Casamance s’incline « pieusement devant la mémoire des vaillants soldats tombés sur le champ de l’honneur, et de celle des populations civiles lâchement assassinées par les bandes armées », avant de prendre pour « responsables des exactions et massacres sur les populations civiles casamançaises de même que les pertes en vies humaines des soldats », le président Me Wade et son administration.
Dans cette affaire casamançaise, SOS Casamance « s’érige en Partie Civile et envisage de porter plainte contre le président Wade et son Administration pour haute trahison, abus de confiance, et atteintes aux intérêts supérieurs de la Nation » souligne le communiqué de SOS Casamance.
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