Ndémé Ndiaye se porte mieux. Après un passage à l’hôpital des suites de son agression par un élève qui a donné un coup de couteau, l’enseignante du lycée Cheikh Oumar Foutiyou Tall, ex-Faidherbe de Saint-Louis se trouve présentement chez elle.
Son logement situé dans le quartier Sud, la dame reste toutefois traumatisée, ses collègues tentent de la consoler. Ce, « pour dire que tout le monde est autour d’elle, ses parents, l’ensemble du personnel du lycée ne serait-ce qu’un tant soit peu pour la consoler », renseigne Amadou Wagne.
L’Etat interpellé, les professeurs exigent qu’au moins que les autorités sachent que l’école n’est pas une garderie d’adolescents encore moins d’adultes. Il faudrait, martèlent-ils sur les ondes de la Rfm que les textes qui surprotègent les élèves soient revus parce que depuis un certain temps, le constat est là, les conflits entre élèves et professeurs vont bon train. De grève, ils en viennent à user d’armes.
Son logement situé dans le quartier Sud, la dame reste toutefois traumatisée, ses collègues tentent de la consoler. Ce, « pour dire que tout le monde est autour d’elle, ses parents, l’ensemble du personnel du lycée ne serait-ce qu’un tant soit peu pour la consoler », renseigne Amadou Wagne.
L’Etat interpellé, les professeurs exigent qu’au moins que les autorités sachent que l’école n’est pas une garderie d’adolescents encore moins d’adultes. Il faudrait, martèlent-ils sur les ondes de la Rfm que les textes qui surprotègent les élèves soient revus parce que depuis un certain temps, le constat est là, les conflits entre élèves et professeurs vont bon train. De grève, ils en viennent à user d’armes.
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