Après les universitaires de Taxawu, ce sont les enseignants du mouvement qui prennent position. Dans un communiqué, le Réseau National des Enseignants Taxawu (RENET) dénonce de nombreuses violations des droits à la liberté d'expression.
Selon eux, le sommet de ces « dérives antidémocratiques et dictatoriales » est sans doute la « décision du préfet de Dakar de constater la démission du maire Barthélémy Dias, en flagrant délit de violation des procédures administratives et légales en vigueur dans notre pays ».
Le RENET exprime son « indignation et condamne vivement la décision arbitraire du préfet de DAKAR visant à destituer le Maire Barthélémy Toye Dias de la ville de DAKAR ».
Les enseignants de Taxawu considèrent que cette « manœuvre est sans aucun doute la volonté d’exécuter une commande politique déguisée sous les oripeaux d’une démarche administrative avec comme objectif d’abattre un adversaire politique, potentielle tête de proue de l'opposition », peut-on lire.
Le Réseau National des Enseignants Taxawu dénonce avec la plus grande fermeté « l’incursion scandaleuse et injustifiée des forces de l’ordre à l’hôtel de ville de DAKAR ».
Selon les enseignants de Taxawu, cette « violence inouïe et indigne est inacceptable dans une société fondée sur les principes de l'état de droit et constitue un précédent dangereux pour toutes les collectivités territoriales ».
Cependant, le RENET rappelle au préfet de Dakar que les dispositions de l'article L277 du code électoral ne peuvent s'appliquer à Barthelémy Dias pour la bonne et simple raison que le maire de Dakar n'a pas été condamné pour crime et que la durée d'inéligibilité de cinq ans consécutive à la peine prononcée est dépassée depuis février 2022.
Le RENET exprime également son « soutien sans faille au maire de Dakar Barthelémy Dias, à ses 80 gardes du corps incarcérés injustement à Saint Louis ayant causé une perte en vie humaine et s'engage à combattre, à ses côtés l'injustice dont il est victime ».
Selon eux, le sommet de ces « dérives antidémocratiques et dictatoriales » est sans doute la « décision du préfet de Dakar de constater la démission du maire Barthélémy Dias, en flagrant délit de violation des procédures administratives et légales en vigueur dans notre pays ».
Le RENET exprime son « indignation et condamne vivement la décision arbitraire du préfet de DAKAR visant à destituer le Maire Barthélémy Toye Dias de la ville de DAKAR ».
Les enseignants de Taxawu considèrent que cette « manœuvre est sans aucun doute la volonté d’exécuter une commande politique déguisée sous les oripeaux d’une démarche administrative avec comme objectif d’abattre un adversaire politique, potentielle tête de proue de l'opposition », peut-on lire.
Le Réseau National des Enseignants Taxawu dénonce avec la plus grande fermeté « l’incursion scandaleuse et injustifiée des forces de l’ordre à l’hôtel de ville de DAKAR ».
Selon les enseignants de Taxawu, cette « violence inouïe et indigne est inacceptable dans une société fondée sur les principes de l'état de droit et constitue un précédent dangereux pour toutes les collectivités territoriales ».
Cependant, le RENET rappelle au préfet de Dakar que les dispositions de l'article L277 du code électoral ne peuvent s'appliquer à Barthelémy Dias pour la bonne et simple raison que le maire de Dakar n'a pas été condamné pour crime et que la durée d'inéligibilité de cinq ans consécutive à la peine prononcée est dépassée depuis février 2022.
Le RENET exprime également son « soutien sans faille au maire de Dakar Barthelémy Dias, à ses 80 gardes du corps incarcérés injustement à Saint Louis ayant causé une perte en vie humaine et s'engage à combattre, à ses côtés l'injustice dont il est victime ».
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