L’affaire de saisie record de cocaïne n’est pas à son épilogue. Un laboratoire de transformation et de conditionnement de la drogue était installé au cœur de Ngaparou dans une villa meublée. Un premier suspect avait été arrêté à Dakar et mis à la disposition du parquet de Mbour dans le cadre de l’enquête sur les 675 kilogrammes de cocaïne saisie à Ngaparou le 28 décembre dernier.
Selon « Libération », il s’agit d’un entrepreneur belge très actif dans le secteur du Bâtiment et travaux publics (BTP). Ce dernier aurait construit plusieurs villas et résidences dans la Petite-côte de Ngaparou à la Somone. Le mis en cause se nomme, à l’état-civil, Jean Yann Dominique Blain. La villa meublée dans laquelle la drogue a été saisie, était en fait un…laboratoire où la cocaïne de base était transformée et conditionnée.
Les gendarmes ont pu découvrir que l’acétone, trouvée sur place en même temps que tout le matériel nécessaire à cet effet, avait été acheté par l’entrepreneur belge. Cueilli et interrogé, Jean Yann Dominique Blain a admis avoir acheté le produit. Néanmoins il jure qu’il ne savait pas pourquoi ses « amis » en avaient besoin.
Une explication qui n’a pas convaincu les pandores d’autant plus que, parmi ses « amis », se trouve un chimiste espagnol qui était en première ligne lors des travaux de laboratoire. Ce dernier qui est fortement recherché en même temps qu’un troisième suspect, aura du mal à quitter le territoire national avec toutes les oppositions qui le visent au niveau des différentes frontières.
Selon « Libération », il s’agit d’un entrepreneur belge très actif dans le secteur du Bâtiment et travaux publics (BTP). Ce dernier aurait construit plusieurs villas et résidences dans la Petite-côte de Ngaparou à la Somone. Le mis en cause se nomme, à l’état-civil, Jean Yann Dominique Blain. La villa meublée dans laquelle la drogue a été saisie, était en fait un…laboratoire où la cocaïne de base était transformée et conditionnée.
Les gendarmes ont pu découvrir que l’acétone, trouvée sur place en même temps que tout le matériel nécessaire à cet effet, avait été acheté par l’entrepreneur belge. Cueilli et interrogé, Jean Yann Dominique Blain a admis avoir acheté le produit. Néanmoins il jure qu’il ne savait pas pourquoi ses « amis » en avaient besoin.
Une explication qui n’a pas convaincu les pandores d’autant plus que, parmi ses « amis », se trouve un chimiste espagnol qui était en première ligne lors des travaux de laboratoire. Ce dernier qui est fortement recherché en même temps qu’un troisième suspect, aura du mal à quitter le territoire national avec toutes les oppositions qui le visent au niveau des différentes frontières.
Autres articles
-
Construction des Universités de Tamba et Matam : Royal BTP rétablit la vérité et réaffirme son engagement à mener les travaux
-
Audit des effectifs du personnel de la Santé : Mballo Dia Thiam dénonce un scandale et appelle à des sanctions
-
Affaire Dieynaba Ndiaye : Dr Mbacké écope de 45 jours ferme, ses co-inculpés de 2 mois avec sursis
-
🛑DIRECT - Midi Keng avec Cheikh Tidiane Fall de la coalition Bunt -Bi
-
Scandale foncier : Tahirou Sarr, Mamour Diallo et des hauts responsables sous Macky Sall accusés d'avoir monté un faux dossier pour détourner des fonds publics