Une enquête de la Sûreté urbaine de Dakar, commanditée par le procureur de la République, a révélé un scandale foncier et de détournement de fonds impliquant l'homme d'affaires Tahirou Sarr et plusieurs figures influentes de l’élite politique et administrative sous l'ère Macky Sall. Ce scandale expose un réseau de "mafia à col blanc" opérant au sein même de l'État, révélant une corruption insoupçonnée dans les sphères du pouvoir.
Depuis 2014, cette affaire s'est tissée dans l'ombre des bureaux et des couloirs du pouvoir, mêlant manœuvres frauduleuses et faux documents. Selon L'Observateur, la Sûreté urbaine, qui est sur le point de finaliser son enquête, prévoit des arrestations imminentes, ciblant de hauts responsables impliqués dans ce système. Au cœur de ce scandale, Tahirou Sarr, un homme d'affaires réputé proche des cercles de décision, est accusé d’avoir orchestré une série d'escroqueries foncières, impliquant des personnalités influentes de l’administration.
À en croire le journal, tout commence en 2014 avec une opération immobilière troublante : des familles héritières de terres précieuses à Ngor sont sollicitées pour céder leurs titres fonciers. Soucieuses de leurs intérêts, elles engagent un avocat de renom pour les protéger. Cependant, ce dernier, plutôt que de défendre les familles, aurait secrètement collaboré avec Mamadou Mamour Diallo, alors Directeur des Domaines, ainsi qu’avec d’autres hauts fonctionnaires, dont le gouverneur de Dakar, le receveur des Domaines de Ngor-Almadies et le Trésorier payeur général. Ensemble, ils mettent en place un plan frauduleux : une expropriation déguisée sous le motif de "l'utilité publique", assortie d'un faux procès-verbal de conciliation et d’une indemnisation de 700 millions FCFA destinée aux familles, qui n’ont finalement jamais reçu cette somme.
Alertées par des irrégularités, les familles lésées finissent par découvrir l’ampleur de la fraude et portent plainte. Le procureur de Dakar saisit alors la Sûreté urbaine, qui, sous la direction de Bara Sangharé, entame une enquête fouillée, révélant un vaste réseau de pratiques illicites au sein de l'État. Les auditions des protagonistes sont marquées par des contradictions : aucun des accusés ne parvient à prouver que l’argent a réellement été versé aux familles.
Face à l’ampleur de cette affaire, le procureur transfère le dossier au juge d’instruction du deuxième cabinet du Tribunal de grande instance de Dakar. Ce dernier, alarmé par les découvertes, ajoute des annotations incisives au dossier, dénonçant les anomalies flagrantes et les zones d'ombre qu’il reste à éclaircir.
Les révélations de cette affaire, qui pourraient se solder par des arrestations dans les jours à venir, risquent de faire vaciller tout un pan de l’ancien régime. Selon les informations du journal L’Observateur, les personnes impliquées pourraient être poursuivies par le Pool judiciaire financier, transformant cette affaire de corruption foncière en un des plus grands scandales financiers de ces dernières années au Sénégal.
Depuis 2014, cette affaire s'est tissée dans l'ombre des bureaux et des couloirs du pouvoir, mêlant manœuvres frauduleuses et faux documents. Selon L'Observateur, la Sûreté urbaine, qui est sur le point de finaliser son enquête, prévoit des arrestations imminentes, ciblant de hauts responsables impliqués dans ce système. Au cœur de ce scandale, Tahirou Sarr, un homme d'affaires réputé proche des cercles de décision, est accusé d’avoir orchestré une série d'escroqueries foncières, impliquant des personnalités influentes de l’administration.
À en croire le journal, tout commence en 2014 avec une opération immobilière troublante : des familles héritières de terres précieuses à Ngor sont sollicitées pour céder leurs titres fonciers. Soucieuses de leurs intérêts, elles engagent un avocat de renom pour les protéger. Cependant, ce dernier, plutôt que de défendre les familles, aurait secrètement collaboré avec Mamadou Mamour Diallo, alors Directeur des Domaines, ainsi qu’avec d’autres hauts fonctionnaires, dont le gouverneur de Dakar, le receveur des Domaines de Ngor-Almadies et le Trésorier payeur général. Ensemble, ils mettent en place un plan frauduleux : une expropriation déguisée sous le motif de "l'utilité publique", assortie d'un faux procès-verbal de conciliation et d’une indemnisation de 700 millions FCFA destinée aux familles, qui n’ont finalement jamais reçu cette somme.
Alertées par des irrégularités, les familles lésées finissent par découvrir l’ampleur de la fraude et portent plainte. Le procureur de Dakar saisit alors la Sûreté urbaine, qui, sous la direction de Bara Sangharé, entame une enquête fouillée, révélant un vaste réseau de pratiques illicites au sein de l'État. Les auditions des protagonistes sont marquées par des contradictions : aucun des accusés ne parvient à prouver que l’argent a réellement été versé aux familles.
Face à l’ampleur de cette affaire, le procureur transfère le dossier au juge d’instruction du deuxième cabinet du Tribunal de grande instance de Dakar. Ce dernier, alarmé par les découvertes, ajoute des annotations incisives au dossier, dénonçant les anomalies flagrantes et les zones d'ombre qu’il reste à éclaircir.
Les révélations de cette affaire, qui pourraient se solder par des arrestations dans les jours à venir, risquent de faire vaciller tout un pan de l’ancien régime. Selon les informations du journal L’Observateur, les personnes impliquées pourraient être poursuivies par le Pool judiciaire financier, transformant cette affaire de corruption foncière en un des plus grands scandales financiers de ces dernières années au Sénégal.
Depuis 2014, cette affaire s'est tissée dans l'ombre des bureaux et des couloirs du pouvoir, mêlant manœuvres frauduleuses et faux documents. Selon L'Observateur, la Sûreté urbaine, qui est sur le point de finaliser son enquête, prévoit des arrestations imminentes, ciblant de hauts responsables impliqués dans ce système. Au cœur de ce scandale, Tahirou Sarr, un homme d'affaires réputé proche des cercles de décision, est accusé d’avoir orchestré une série d'escroqueries foncières, impliquant des personnalités influentes de l’administration.
À en croire le journal, tout commence en 2014 avec une opération immobilière troublante : des familles héritières de terres précieuses à Ngor sont sollicitées pour céder leurs titres fonciers. Soucieuses de leurs intérêts, elles engagent un avocat de renom pour les protéger. Cependant, ce dernier, plutôt que de défendre les familles, aurait secrètement collaboré avec Mamadou Mamour Diallo, alors Directeur des Domaines, ainsi qu’avec d’autres hauts fonctionnaires, dont le gouverneur de Dakar, le receveur des Domaines de Ngor-Almadies et le Trésorier payeur général. Ensemble, ils mettent en place un plan frauduleux : une expropriation déguisée sous le motif de "l'utilité publique", assortie d'un faux procès-verbal de conciliation et d’une indemnisation de 700 millions FCFA destinée aux familles, qui n’ont finalement jamais reçu cette somme.
Alertées par des irrégularités, les familles lésées finissent par découvrir l’ampleur de la fraude et portent plainte. Le procureur de Dakar saisit alors la Sûreté urbaine, qui, sous la direction de Bara Sangharé, entame une enquête fouillée, révélant un vaste réseau de pratiques illicites au sein de l'État. Les auditions des protagonistes sont marquées par des contradictions : aucun des accusés ne parvient à prouver que l’argent a réellement été versé aux familles.
Face à l’ampleur de cette affaire, le procureur transfère le dossier au juge d’instruction du deuxième cabinet du Tribunal de grande instance de Dakar. Ce dernier, alarmé par les découvertes, ajoute des annotations incisives au dossier, dénonçant les anomalies flagrantes et les zones d'ombre qu’il reste à éclaircir.
Les révélations de cette affaire, qui pourraient se solder par des arrestations dans les jours à venir, risquent de faire vaciller tout un pan de l’ancien régime. Selon les informations du journal L’Observateur, les personnes impliquées pourraient être poursuivies par le Pool judiciaire financier, transformant cette affaire de corruption foncière en un des plus grands scandales financiers de ces dernières années au Sénégal.
Depuis 2014, cette affaire s'est tissée dans l'ombre des bureaux et des couloirs du pouvoir, mêlant manœuvres frauduleuses et faux documents. Selon L'Observateur, la Sûreté urbaine, qui est sur le point de finaliser son enquête, prévoit des arrestations imminentes, ciblant de hauts responsables impliqués dans ce système. Au cœur de ce scandale, Tahirou Sarr, un homme d'affaires réputé proche des cercles de décision, est accusé d’avoir orchestré une série d'escroqueries foncières, impliquant des personnalités influentes de l’administration.
À en croire le journal, tout commence en 2014 avec une opération immobilière troublante : des familles héritières de terres précieuses à Ngor sont sollicitées pour céder leurs titres fonciers. Soucieuses de leurs intérêts, elles engagent un avocat de renom pour les protéger. Cependant, ce dernier, plutôt que de défendre les familles, aurait secrètement collaboré avec Mamadou Mamour Diallo, alors Directeur des Domaines, ainsi qu’avec d’autres hauts fonctionnaires, dont le gouverneur de Dakar, le receveur des Domaines de Ngor-Almadies et le Trésorier payeur général. Ensemble, ils mettent en place un plan frauduleux : une expropriation déguisée sous le motif de "l'utilité publique", assortie d'un faux procès-verbal de conciliation et d’une indemnisation de 700 millions FCFA destinée aux familles, qui n’ont finalement jamais reçu cette somme.
Alertées par des irrégularités, les familles lésées finissent par découvrir l’ampleur de la fraude et portent plainte. Le procureur de Dakar saisit alors la Sûreté urbaine, qui, sous la direction de Bara Sangharé, entame une enquête fouillée, révélant un vaste réseau de pratiques illicites au sein de l'État. Les auditions des protagonistes sont marquées par des contradictions : aucun des accusés ne parvient à prouver que l’argent a réellement été versé aux familles.
Face à l’ampleur de cette affaire, le procureur transfère le dossier au juge d’instruction du deuxième cabinet du Tribunal de grande instance de Dakar. Ce dernier, alarmé par les découvertes, ajoute des annotations incisives au dossier, dénonçant les anomalies flagrantes et les zones d'ombre qu’il reste à éclaircir.
Les révélations de cette affaire, qui pourraient se solder par des arrestations dans les jours à venir, risquent de faire vaciller tout un pan de l’ancien régime. Selon les informations du journal L’Observateur, les personnes impliquées pourraient être poursuivies par le Pool judiciaire financier, transformant cette affaire de corruption foncière en un des plus grands scandales financiers de ces dernières années au Sénégal.
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