Dans un communiqué qu’il a envoyé à la presse, après cinq années de silence absolu, Salif Sadio montre qu'il est toujours vivant en apparaissant très volubile et offensif contre le Sénégal et certains chefs rebelle et en réclamant le droit immémorable de la Casamance. «Le droit immémorial de la Casamance à l’indépendance nationale est un droit réel, absolu, inaliénable, imprescriptible, non négociable » a dit dans le communiqué Salif Sadio qui ajoute que « jamais la Casamance ne renoncera à ce droit et à celui d’en disposer librement et souverainement».
Il a dit à qui veut l‘entendre que le Sénégal ne parviendra pas à museler le MFDC à travers les armes. « Le Sénégal, par les armes, ne viendra jamais à bout du séparatisme casamançais», s’est convaincu le chef rebelle qui estime que c’est la raison pour laquelle «il passe par d’autres voies comme celles de la corruption, de la division, de l’intoxication, de la diffamation». Dans ces mêmes accusations, l’enfant de Karthiack ajoute que le Sénégal avait voulu substituer au vrai MFDC, mais en vain, en essayant de mettre sur place un pseudo mouvement pour le Fédéralisme et la Démocratie Constitutionnel, «qui n’a rien d’assimilable, rien de commun avec notre mouvement».
Dans sa contre attaque, le chef rebelle n’a pas épargné certains de ses frères d’armes qu’il accuse d’être nourris, soignés, entretenus et financés par les autorités sénégalaises. Dans cette liste, on peut voir le nom César Atout Badiate, Ousmane Niantang Diatta et Ismaila Magne Diémé.
Dans le communiqué, Salif Sadio s’est aussi attaqué aux émigrés d’origine casamançaise, et sénégalaise qu’il accause de faire le jeu du Sénégal. «Ce sont, le plus souvent, des gens corrompus, alors, des pions placés du Sénégal pour se renseigner des activités de notre mouvement à l’extérieur, et qui, à la fois, profitent des actions de soutien et de bienfaisance de la part des amis de la Casamance, pour se remplir indignement les poches, au moment que la Casamance souffre encore », note-t-il en indiquant que «L’histoire retient tout».
Il a dit à qui veut l‘entendre que le Sénégal ne parviendra pas à museler le MFDC à travers les armes. « Le Sénégal, par les armes, ne viendra jamais à bout du séparatisme casamançais», s’est convaincu le chef rebelle qui estime que c’est la raison pour laquelle «il passe par d’autres voies comme celles de la corruption, de la division, de l’intoxication, de la diffamation». Dans ces mêmes accusations, l’enfant de Karthiack ajoute que le Sénégal avait voulu substituer au vrai MFDC, mais en vain, en essayant de mettre sur place un pseudo mouvement pour le Fédéralisme et la Démocratie Constitutionnel, «qui n’a rien d’assimilable, rien de commun avec notre mouvement».
Dans sa contre attaque, le chef rebelle n’a pas épargné certains de ses frères d’armes qu’il accuse d’être nourris, soignés, entretenus et financés par les autorités sénégalaises. Dans cette liste, on peut voir le nom César Atout Badiate, Ousmane Niantang Diatta et Ismaila Magne Diémé.
Dans le communiqué, Salif Sadio s’est aussi attaqué aux émigrés d’origine casamançaise, et sénégalaise qu’il accause de faire le jeu du Sénégal. «Ce sont, le plus souvent, des gens corrompus, alors, des pions placés du Sénégal pour se renseigner des activités de notre mouvement à l’extérieur, et qui, à la fois, profitent des actions de soutien et de bienfaisance de la part des amis de la Casamance, pour se remplir indignement les poches, au moment que la Casamance souffre encore », note-t-il en indiquant que «L’histoire retient tout».
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