Le Sénégalais Samba Dior Diagne a été atrocement abattu par la police française. Une mort qui a suscité l’indignation des Sénégalais et de ses proches. Ce qui pousse le quotidien « L’Observateur » à fouiller sur la vie du jeune sénégalais et dévoile les ambitions qu’il s’était fixé.
Etabli en France, le jeune de 31 ans a été froidement abattu dans la nuit du 12 au 13 mars dans un appartement du quartier Blanc-Riez, Wattignies. Etant un jeune informaticien chevronné, Samba Dior Diagne était promu à un bel avenir. Il a fait ses humanités à la Petite Ecole Protestante de Dieuppeul 3 et a obtenu son Bfem seulement en 2010.
Selon le journal, le jeune sénégalais décroche plus tard son baccalauréat en série scientifique avant d’être orienté à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD). Ayant choisi de suivre les Maths, physiques et informatique (MPI), Samba Dior Diagne commençait à faire des démarches pour rallier la France. Réussissant à s’installer dans cette partie de France (quartier du Blanc-Riez), M. Diagne intègre une entreprise en informatique comme testeur QA après de longues études, d’après L’Observateur.
Décrit comme l’ami de tout le monde, Samba est présenté par ses proches comme « une personne aimable, gentil, généreux, attentionné, serviable ». Selon son ami, Moustapha Dème, Samba Dior Diagne restait un bon croyant malgré tout. « Même s’il avait perdu son travail, il l’aurait vécu dignement. La perte de son emploi ne l’aurait, en aucun cas, affecté », renseigne Moustapha, avant de révéler « d’ailleurs, il avait tourné la page France. Il devait rentrer au Sénégal en avril prochain ». Samba Dior Diagne avait donc déjà réorienté ses objectifs au bercail.
Sur les rumeurs lesquelles Samba était « instable mentalement », son ami Ibrahima Thiam botte en touche cette assertion. « Il n’a jamais présenté de signes qui pouvaient faire penser qu’il souffrait de crise psychique », clôt-il le débat.
Sa mort a sans doute touché ses proches. Cependant, la police française justifie que « Samba serait très agressif, au point que les policiers qui cherchaient à le maîtriser, en vain ont fini par l’abattre ». Moustapha Dème se désole que les policiers n’aient faite aucune intervention psychologique et conclut : « ils ont abrégé l’espoir de toute une famille, sans état d’âme ».
Etabli en France, le jeune de 31 ans a été froidement abattu dans la nuit du 12 au 13 mars dans un appartement du quartier Blanc-Riez, Wattignies. Etant un jeune informaticien chevronné, Samba Dior Diagne était promu à un bel avenir. Il a fait ses humanités à la Petite Ecole Protestante de Dieuppeul 3 et a obtenu son Bfem seulement en 2010.
Selon le journal, le jeune sénégalais décroche plus tard son baccalauréat en série scientifique avant d’être orienté à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD). Ayant choisi de suivre les Maths, physiques et informatique (MPI), Samba Dior Diagne commençait à faire des démarches pour rallier la France. Réussissant à s’installer dans cette partie de France (quartier du Blanc-Riez), M. Diagne intègre une entreprise en informatique comme testeur QA après de longues études, d’après L’Observateur.
Décrit comme l’ami de tout le monde, Samba est présenté par ses proches comme « une personne aimable, gentil, généreux, attentionné, serviable ». Selon son ami, Moustapha Dème, Samba Dior Diagne restait un bon croyant malgré tout. « Même s’il avait perdu son travail, il l’aurait vécu dignement. La perte de son emploi ne l’aurait, en aucun cas, affecté », renseigne Moustapha, avant de révéler « d’ailleurs, il avait tourné la page France. Il devait rentrer au Sénégal en avril prochain ». Samba Dior Diagne avait donc déjà réorienté ses objectifs au bercail.
Sur les rumeurs lesquelles Samba était « instable mentalement », son ami Ibrahima Thiam botte en touche cette assertion. « Il n’a jamais présenté de signes qui pouvaient faire penser qu’il souffrait de crise psychique », clôt-il le débat.
Sa mort a sans doute touché ses proches. Cependant, la police française justifie que « Samba serait très agressif, au point que les policiers qui cherchaient à le maîtriser, en vain ont fini par l’abattre ». Moustapha Dème se désole que les policiers n’aient faite aucune intervention psychologique et conclut : « ils ont abrégé l’espoir de toute une famille, sans état d’âme ».
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