Les régions du sud se sont distinguées par leur fort taux de mortalité et de morbidité dans le cadre du programme de la lutte contre le paludisme mis en place par le Programme National de Développement Local (PNDL). Le Coordonnateur national de la lutte contre cette pandémie le Docteur Pape Moussa Thior revient sur les raisons de ces échecs au niveau de ces régions.
Toutes les études menées par la dernière enquête sur les indicateurs de paludisme au Sénégal réalisées par des cabinets comme Macro International ont montré que les taux les plus élevés pour le paludisme ont été notés dans les régions du Sud à savoir Tamba, Kolda, Kédougou entre autres. Le taux de mortalité et de morbidité dans ces régions du sud tournait autour de 40% en 2006 mais a baissé jusqu’à 17% en 2010. Au moment ou il y’a des taux de 2,87% et 3,03% dans certaines régions.
Le Coordonnateur du PNDL Papa Moussa Thior a expliqué que «les raisons de ces forts taux sont multiples». Il a donné comme exemple la région de Tambacounda qui est très vaste avec un relief très accidenté. De son avis, la région de Kédougou à elle seule fait plusieurs fois la région de Thiès et l’accès au niveau de certains districts de santé est un véritable casse tête. En plus la pluviométrie est très importante au sud plus que dans les autres parties du pays. Cela sous entend qu’il y a beaucoup plus de moustiques.
Selon M. Thior, même avec ces taux élevés, il faut reconnaître que des efforts ont été consentis. Conscient de ces difficultés 200 hommes supplémentaires ont été mis sur ce programme au niveau de ces régions pour améliorer la situation.
Toutes les études menées par la dernière enquête sur les indicateurs de paludisme au Sénégal réalisées par des cabinets comme Macro International ont montré que les taux les plus élevés pour le paludisme ont été notés dans les régions du Sud à savoir Tamba, Kolda, Kédougou entre autres. Le taux de mortalité et de morbidité dans ces régions du sud tournait autour de 40% en 2006 mais a baissé jusqu’à 17% en 2010. Au moment ou il y’a des taux de 2,87% et 3,03% dans certaines régions.
Le Coordonnateur du PNDL Papa Moussa Thior a expliqué que «les raisons de ces forts taux sont multiples». Il a donné comme exemple la région de Tambacounda qui est très vaste avec un relief très accidenté. De son avis, la région de Kédougou à elle seule fait plusieurs fois la région de Thiès et l’accès au niveau de certains districts de santé est un véritable casse tête. En plus la pluviométrie est très importante au sud plus que dans les autres parties du pays. Cela sous entend qu’il y a beaucoup plus de moustiques.
Selon M. Thior, même avec ces taux élevés, il faut reconnaître que des efforts ont été consentis. Conscient de ces difficultés 200 hommes supplémentaires ont été mis sur ce programme au niveau de ces régions pour améliorer la situation.
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