Face à ce qu’il appelle un scandale de plus, le parti socialiste accuse Me Wade de maquiller la réalité. «Après avoir tenté en vain de maquiller le crime en se défaussant sur les taux de change ; et comme toujours prompt à livrer, au besoin, les enfants d’autrui à la vindicte populaire pour se soustraire de l’opprobre infamant qui le poursuivra éternellement, Abdoulaye WADE rechigne à faire face à la délinquance des siens qu’il couve de son aile protectrice».
Ainsi, le Parti socialiste interpelle la Commission nationale de lutte contre la corruption, la concussion et la non transparence. Il en fait de même pour la CENTIF, chargée de traquer les mouvements de fonds suspects et dont les rapports viennent, aux dires du gouvernement, d’être transmis à la justice. Les socialistes appellent ces deux organes à leurs devoirs s’ils veulent rester crédibles et fidèles à leurs missions.
Pour eux, ces deux structures ne pourront pas se permettre la politique de l’autruche et détourner leur attention vigilante de ces milliards qui se pavanent dans des comptes bancaires entre le Soudan, l’Allemagne, Chypre et Dubaï et de ces manipulations qui s’analysent incontestablement en une opération de blanchiment d’argent provenant de la corruption.
Dans le même registre, le Parti socialiste interpelle également la communauté internationale, en particulier les bailleurs de fonds et les pays de l’Union européenne dont l’Allemagne qui a été une des étapes de la pérégrination des fonds dérobés au peuple.
C’est ainsi que Ousmane Tanor Dieng et compagnie indiquent la conduite à prendre pour retrouver l’argent. «A l’heure de la révolution informatique, la traçabilité de mouvements d’argent de cette ampleur dans les circuits financiers est un jeu d’enfant», déclare le PS qui poursuit : «il est sûr que si le Sénégal peine encore à mobiliser auprès de ses partenaires au développement les capitaux pour assurer son émergence, du moins se porterait-il beaucoup mieux déjà du recouvrement et du rapatriement de tous ces milliards volés à la nation».
Toutefois, les socialistes sont formels : le régime en place ne perd rien pour attendre. «Un jour viendra où les Sénégalais seront édifiés sur les dessous scabreux de toutes les affaires qui ont rythmé la folle sarabande criminelle du régime de Abdoulaye WADE», annoncent les socialistes, ajoutant que «chacun saura tout sur les dessous des affaires de l’exonération fiscale de la Société Sénégal Pêche, de la réfection de la Pointe de Sangomar, du racket de la Société SENTEL, des sept milliards de Taïwan qui ont vagabondé sur un compte à Chypre, des fonds de l’ANOCI, du bateau loué à 8 milliards pour deux nuitées pendant le sommet de l’OCI, des 26 milliards budgétisés pour des villas présidentielles mais portés exécutés, de la mallette de devises remise à l’ancien Représentant du FMI, Alex SEGURA, du dépeçage du domaine publique maritime et de la razzia sur le foncier en général, du financement du pseudo monument de la renaissance par le bradage des terres de l’aéroport, de la cession des terres du champ de tir des mamelles au groupe Kharafi, etc».
Ainsi, le Parti socialiste interpelle la Commission nationale de lutte contre la corruption, la concussion et la non transparence. Il en fait de même pour la CENTIF, chargée de traquer les mouvements de fonds suspects et dont les rapports viennent, aux dires du gouvernement, d’être transmis à la justice. Les socialistes appellent ces deux organes à leurs devoirs s’ils veulent rester crédibles et fidèles à leurs missions.
Pour eux, ces deux structures ne pourront pas se permettre la politique de l’autruche et détourner leur attention vigilante de ces milliards qui se pavanent dans des comptes bancaires entre le Soudan, l’Allemagne, Chypre et Dubaï et de ces manipulations qui s’analysent incontestablement en une opération de blanchiment d’argent provenant de la corruption.
Dans le même registre, le Parti socialiste interpelle également la communauté internationale, en particulier les bailleurs de fonds et les pays de l’Union européenne dont l’Allemagne qui a été une des étapes de la pérégrination des fonds dérobés au peuple.
C’est ainsi que Ousmane Tanor Dieng et compagnie indiquent la conduite à prendre pour retrouver l’argent. «A l’heure de la révolution informatique, la traçabilité de mouvements d’argent de cette ampleur dans les circuits financiers est un jeu d’enfant», déclare le PS qui poursuit : «il est sûr que si le Sénégal peine encore à mobiliser auprès de ses partenaires au développement les capitaux pour assurer son émergence, du moins se porterait-il beaucoup mieux déjà du recouvrement et du rapatriement de tous ces milliards volés à la nation».
Toutefois, les socialistes sont formels : le régime en place ne perd rien pour attendre. «Un jour viendra où les Sénégalais seront édifiés sur les dessous scabreux de toutes les affaires qui ont rythmé la folle sarabande criminelle du régime de Abdoulaye WADE», annoncent les socialistes, ajoutant que «chacun saura tout sur les dessous des affaires de l’exonération fiscale de la Société Sénégal Pêche, de la réfection de la Pointe de Sangomar, du racket de la Société SENTEL, des sept milliards de Taïwan qui ont vagabondé sur un compte à Chypre, des fonds de l’ANOCI, du bateau loué à 8 milliards pour deux nuitées pendant le sommet de l’OCI, des 26 milliards budgétisés pour des villas présidentielles mais portés exécutés, de la mallette de devises remise à l’ancien Représentant du FMI, Alex SEGURA, du dépeçage du domaine publique maritime et de la razzia sur le foncier en général, du financement du pseudo monument de la renaissance par le bradage des terres de l’aéroport, de la cession des terres du champ de tir des mamelles au groupe Kharafi, etc».
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