L'autorité de régulation de la commande publique ( ARCOP) ex ARMP, parmi ses missions, surveille le processus des marchés publics pour s'assurer qu'il est conforme aux lois et règlements. C'est là où est attendu cet organe de régulation. Qui, depuis 2007 date de sa création sous l'appellation de l'agence de régulation des marchés publics; peine à s'acquitter de sa mission originelle. Car au Sénégal chaque marché public reste pratiquement teinté de scandale et les faits sont indélébiles. Le plus récent des scandales est celui de l'office national de l'assainissement du Sénégal (ONAS). Dans ce conflit opposant Cheikh et Cheikh, il est question de marchés publics "négligemment exécutés".
Le Sénégal est-il donc un pays qui s'embourbe tout le temps dans l'opacité des marchés publics? En tout état de cause, il est à constater que l'on n'est pas encore au bout des scandales. Et les pistes de solutions ne sont nullement entamés pour mettre définitivement à terme ces "carnages financiers". C'est en ce sens que l'interpellation du coordonnateur national du Forum civil est intéressante. C'est, d'ailleurs, en ces termes qu'il s'est adressé au président de la République, "Monsieur le président de la République l'autorité de régulation de la commande publique doit quitter la Présidence de la République. La régulation ainsi que le contrôle à posteriori de la commande publique doit retourner à la Primature".
A travers ce message, monsieur Seck semble indiquer la voie à suivre pour résorber l'opacité qui entoure les marchés de la commande publique.
Le Sénégal est-il donc un pays qui s'embourbe tout le temps dans l'opacité des marchés publics? En tout état de cause, il est à constater que l'on n'est pas encore au bout des scandales. Et les pistes de solutions ne sont nullement entamés pour mettre définitivement à terme ces "carnages financiers". C'est en ce sens que l'interpellation du coordonnateur national du Forum civil est intéressante. C'est, d'ailleurs, en ces termes qu'il s'est adressé au président de la République, "Monsieur le président de la République l'autorité de régulation de la commande publique doit quitter la Présidence de la République. La régulation ainsi que le contrôle à posteriori de la commande publique doit retourner à la Primature".
A travers ce message, monsieur Seck semble indiquer la voie à suivre pour résorber l'opacité qui entoure les marchés de la commande publique.
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