Le processus de légitimation du discours est le même que celui ayant prévalu dans les murs du Parti socialiste-Sénégal : il tient à une invitation d’intellectuels africains de renom. La deuxième session de l’Université Populaire Participative, après celle sur la fraternité du 29 avril 2009, ainsi qu’il nous a été donné de comprendre ses enjeux (politiques), « prolonge les débats soulevés par Ségolène Royal dans le discours prononcé à Dakar, le 6 avril dernier ».
Lors de cette soirée qualifiée d’exceptionnel - prévue le lundi 18 mai 2009 au Théâtre Déjazet, à Paris -, « des intellectuels africains de grand renom viendront dialoguer avec nous sur les relations entre l’Afrique et l’Europe », indique un communiqué parvenu à Ferloo. Dans le discours prononcé à Dakar le 6 avril 2009, Ségolène Royal a présenté ses excuses au nom de la France pour Sarkozy dont le speech à l’université Cheikh Anta Diop avait exaspéré plus d’un Africain. Cette attitude de la candidate socialiste à la Présidentielle française de 2007 a, en revanche, suscité des réactions diverses à l’UMP. Frédéric Lefebvre, porte-parole, de cette entité politique, avait alors laissé entendre que la propension (de Mme Royal) à présenter des excuses - après celles faites à Zapatero qu’aurait rudoyé le verbe sarkozien - relevait d’une pathologie. Et que « ça se soignait ».
La native de Ouakam (village de pécheurs) n’en a cure de ses critiques de l’adversaire politique, puisqu’elle a à cœur de prolonger le débat, avec des spécialistes de l’Afrique, historiens, philosophes et politiques, qui « tenteront de répondre à cette question : quel avenir commun pour l’Afrique et l’Europe au 21ème siècle ? ». Interviendront au débat, ce titre, Elikia M’Bokolo, M. Daniel Maximin, M. Souleymane Bachir Diagne (Sénégalais, professeur de philosophie à l’université Columbia, New York), Achille Mbembé, Alice Cherki, Catherine Coquery-Vidrovitch, Lazare Ki-Zerbo et Pierre Boilley.
Source: Ferloo
Lors de cette soirée qualifiée d’exceptionnel - prévue le lundi 18 mai 2009 au Théâtre Déjazet, à Paris -, « des intellectuels africains de grand renom viendront dialoguer avec nous sur les relations entre l’Afrique et l’Europe », indique un communiqué parvenu à Ferloo. Dans le discours prononcé à Dakar le 6 avril 2009, Ségolène Royal a présenté ses excuses au nom de la France pour Sarkozy dont le speech à l’université Cheikh Anta Diop avait exaspéré plus d’un Africain. Cette attitude de la candidate socialiste à la Présidentielle française de 2007 a, en revanche, suscité des réactions diverses à l’UMP. Frédéric Lefebvre, porte-parole, de cette entité politique, avait alors laissé entendre que la propension (de Mme Royal) à présenter des excuses - après celles faites à Zapatero qu’aurait rudoyé le verbe sarkozien - relevait d’une pathologie. Et que « ça se soignait ».
La native de Ouakam (village de pécheurs) n’en a cure de ses critiques de l’adversaire politique, puisqu’elle a à cœur de prolonger le débat, avec des spécialistes de l’Afrique, historiens, philosophes et politiques, qui « tenteront de répondre à cette question : quel avenir commun pour l’Afrique et l’Europe au 21ème siècle ? ». Interviendront au débat, ce titre, Elikia M’Bokolo, M. Daniel Maximin, M. Souleymane Bachir Diagne (Sénégalais, professeur de philosophie à l’université Columbia, New York), Achille Mbembé, Alice Cherki, Catherine Coquery-Vidrovitch, Lazare Ki-Zerbo et Pierre Boilley.
Source: Ferloo
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