A Dakar beaucoup d’obstacles ont porté atteinte à la mise en œuvre de la GOANA. Le gouverneur de Dakar El hadj Mamadou Sall a jugé le bilan mitigé. Parmi les obstacles il y a l’insuffisance de terre. «Nous n’avions que le département de Rufisque où nous avons pu avoir quelques hectares de terre. Et nous avons mis tout en œuvre pour mobiliser ces hectares de terre en faisant appel à des privés qui ont mis à la disposition des populations des terres. Ainsi cela a permis à des gens qui n’avaient pas l’habitude de faire l’agriculture de s’adonner à cette activité» a-t-il révèlé.
La GOANA lancée à quelques semaines (14 avril) de l’hivernage a aussi été un handicap. «Ca été un autre facteur handicapant dans la mesure où les intrants, les semences, le matériel agricole devait être mis en place deux, trois, quatre mois avant pour que les activités puissent se dérouler dans d’excellentes conditions» a fait savoir Sall. Evoquant le problème de la commercialisation il a soutenu que «ce sont les acteurs qui devaient acheter la production des paysans et de la collecte de l’arachide au niveau des autres régions qui ont amené ces difficultés».
Pour l’année prochaine les agriculteurs ont décidé d’augmenter la production à 1200 ha pour le mil, 2 000 ha pour le mais, 100 ha pour le sorgho, 1 000 ha pour le niébé et 1 500 ha pour le manioc.
La GOANA lancée à quelques semaines (14 avril) de l’hivernage a aussi été un handicap. «Ca été un autre facteur handicapant dans la mesure où les intrants, les semences, le matériel agricole devait être mis en place deux, trois, quatre mois avant pour que les activités puissent se dérouler dans d’excellentes conditions» a fait savoir Sall. Evoquant le problème de la commercialisation il a soutenu que «ce sont les acteurs qui devaient acheter la production des paysans et de la collecte de l’arachide au niveau des autres régions qui ont amené ces difficultés».
Pour l’année prochaine les agriculteurs ont décidé d’augmenter la production à 1200 ha pour le mil, 2 000 ha pour le mais, 100 ha pour le sorgho, 1 000 ha pour le niébé et 1 500 ha pour le manioc.
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