Le président des Assises nationales, Amadou Mahtar Mbow
Le bureau des Assises nationales respecte le délai de six mois qu’il s’était fixé pour livrer ses conclusions. Les camarades d’Amadou Makhtar Mbow vont, en début d’année, aborder la phase finale de ces assisses. Cette rencontre leur a également permis de répondre à plusieurs questions relatives au déroulement des consultations citoyennes et commissions thématiques initiées depuis le 1er juin 2008.
Les Assises nationales sont à leur dernier tournant. Elles seront bouclées d’ici la fin du mois de février. Des séances de restitutions publiques se tiendront ainsi dés le début du mois de janvier 2009. Elles seront animées par les commissions thématiques. Elles seront suivies par une plénière nationale de validation destinées aux parties prenantes. Le rapport des Assises sera publiquement présenté au début du mois de février 2009. Ces informations ont été livrées lors d’une conférence de presse animée par le président du comité national de pilotage, par ailleurs ancien directeur général de l’UNESCO, Amadou Mahtar Mbow.
En revanche, tous ces travaux vont quelque peu coïncider avec les élections locales prévues le 29 mars 2009. Le patron des Assises nationales a, à cet effet, tenu à lever toute équivoque quant à une connexion de ce programme de restitution avec le calendrier électorale : «quand nous avons fixé le délai de six mois, on ne parlait pas encore d’élections. Nous n’avons rien à voir avec un agenda électoral».
Interpelé sur les raisons de la création d’une commission spécial Casamance, l’ancien directeur générale de l’UNESCO a indiqué que cette commission fait suite à la volonté de plusieurs casamançais établis en France qui ont souhaité que ce volet soit prise en compte par les Assisses. Mansour Kama, le président de cette commission spéciale Casamance a ajouté que cette commission n’est en rien une commission de la paix en Casamance. Selon le président de la Confédération Nationales des Employeurs du Sénégal (CNES), les travaux de cette commission démarrent cette semaine. Mansour Kama a, par ailleurs affirmé : «nous voulons en faire un cas d’école nous permettant de régler des crises de ce genre. La crise casamançaise est une question nationale».
L’ancien ministre et écrivain, Cheikh Hamidou Kane a, pour sa part, indiqué que l’application des conclusions de ces Assises est contraignante pour les participations dés lors qu’ils se sont engagées à le faire dans leurs divers domaines d’activité.
Les Assises nationales sont à leur dernier tournant. Elles seront bouclées d’ici la fin du mois de février. Des séances de restitutions publiques se tiendront ainsi dés le début du mois de janvier 2009. Elles seront animées par les commissions thématiques. Elles seront suivies par une plénière nationale de validation destinées aux parties prenantes. Le rapport des Assises sera publiquement présenté au début du mois de février 2009. Ces informations ont été livrées lors d’une conférence de presse animée par le président du comité national de pilotage, par ailleurs ancien directeur général de l’UNESCO, Amadou Mahtar Mbow.
En revanche, tous ces travaux vont quelque peu coïncider avec les élections locales prévues le 29 mars 2009. Le patron des Assises nationales a, à cet effet, tenu à lever toute équivoque quant à une connexion de ce programme de restitution avec le calendrier électorale : «quand nous avons fixé le délai de six mois, on ne parlait pas encore d’élections. Nous n’avons rien à voir avec un agenda électoral».
Interpelé sur les raisons de la création d’une commission spécial Casamance, l’ancien directeur générale de l’UNESCO a indiqué que cette commission fait suite à la volonté de plusieurs casamançais établis en France qui ont souhaité que ce volet soit prise en compte par les Assisses. Mansour Kama, le président de cette commission spéciale Casamance a ajouté que cette commission n’est en rien une commission de la paix en Casamance. Selon le président de la Confédération Nationales des Employeurs du Sénégal (CNES), les travaux de cette commission démarrent cette semaine. Mansour Kama a, par ailleurs affirmé : «nous voulons en faire un cas d’école nous permettant de régler des crises de ce genre. La crise casamançaise est une question nationale».
L’ancien ministre et écrivain, Cheikh Hamidou Kane a, pour sa part, indiqué que l’application des conclusions de ces Assises est contraignante pour les participations dés lors qu’ils se sont engagées à le faire dans leurs divers domaines d’activité.
Autres articles
-
"Les Sénégalais n'accepteront pas la dictature", avertit Mamadou Mbodji, Coordonnateur de F24
-
Vote de budget 2025 à l'Assemblée nationale : voici les ministères qui passeront devant la commission ce dimanche
-
Situation des Sénégalais à Mayotte : ADHA dénonce le silence des autorités et interpelle le Président Diomaye Faye
-
Absence de publication du rapport budgétaire du 3ᵉ trimestre 2024 : Pape Malick Ndour interpelle les autorités
-
Retraite du Conseil Municipal de Dakar : Barth s’engage pour un « Dakar plus inclusif et dynamique »