Le ministre de l'Economie et des Finances en compagnie de l'Ambassadeur de France au Sénégal
Le projet d’appui aux administrations économiques et financières se fixe comme objectif de contribuer à la sécurisation et au renforcement des recettes publiques, à l’amélioration de la transparence de la dépense publique. Il vise aussi à accompagner l’amélioration de la qualité de l’information statistique et économique, également le renforcement du contrôle externe par un appui à la Cour des comptes.
L’Ambassadeur de la France au Sénégal, Jean Christophe Rufin présidant la rencontre a déclaré : «le PAFIES vient apporter ses ressources d’un montant de 850 millions de f CFA auxquelles il faut ajouter une importante équipe d’assistance technique, à la mise en œuvre de ces reformes. Et ce premier comité de pilotage est là pour décider des orientations stratégiques et opérationnelles qui seront prises dans les prochaines semaines ».
Le diplomate français d’interpeller les autorités sénégalaises sur la réussite du projet «des résultats ne peuvent être obtenus en la matière qu’avec le déploiement d’efforts conjugués des deux parties. Et l’administration ne pourra obtenir une meilleure adhésion à l’impôt que si elle sait faire la preuve que l’argent public qu’elle collecte sera géré dans la transparence, l’efficacité et la rigueur. Le contribuable doit en effet avoir confiance dans le fonctionnement du système qui est chargé de le prélever, de répartir ou d’utiliser le produit de l’impôt», a-t-il souligné. Et d’ajouter «c’est tout le sens des reformes à mener et c’est dans cet objectif là que la coopération française entend vous appuyer, à travers le projet (PAFIES).
Le ministre du Budget Mamadou Abdoulaye Sow soutient qu’il va faire le nécessaire à travers les composantes du projet. «Nous allons revisiter les stratégies de leur mise en œuvre et les moyens susceptibles de permettre leur réalisation», a-t-il avancé. Selon lui, les régions vont être les cibles de ce projet qui est à sa deuxième phase. «Nos recommandations seront orientées vers les structures décentralisées, notamment les régions où l’on pourrait prévoir des équipements en bureautique pour une meilleure communication. Le comité de pilotage va permettre à ses régions de se doter les moyens de leurs contributions au développement économique et financier de notre pays», a fait savoir le ministre du Budget.
Rappelons que les structures bénéficières du projet sont la Direction Générale des Impôts et Domaines, la Direction Générale des Douanes, la Direction Générale de la Comptabilité Publique et du Trésor et la Direction de la Prévision et des Etudes Economiques qui sont des Directions centrales du Ministère l’Economie et des Finances mais également l’agence Nationale de la Statistique et de la démographie et de la cour des comptes.
L’Ambassadeur de la France au Sénégal, Jean Christophe Rufin présidant la rencontre a déclaré : «le PAFIES vient apporter ses ressources d’un montant de 850 millions de f CFA auxquelles il faut ajouter une importante équipe d’assistance technique, à la mise en œuvre de ces reformes. Et ce premier comité de pilotage est là pour décider des orientations stratégiques et opérationnelles qui seront prises dans les prochaines semaines ».
Le diplomate français d’interpeller les autorités sénégalaises sur la réussite du projet «des résultats ne peuvent être obtenus en la matière qu’avec le déploiement d’efforts conjugués des deux parties. Et l’administration ne pourra obtenir une meilleure adhésion à l’impôt que si elle sait faire la preuve que l’argent public qu’elle collecte sera géré dans la transparence, l’efficacité et la rigueur. Le contribuable doit en effet avoir confiance dans le fonctionnement du système qui est chargé de le prélever, de répartir ou d’utiliser le produit de l’impôt», a-t-il souligné. Et d’ajouter «c’est tout le sens des reformes à mener et c’est dans cet objectif là que la coopération française entend vous appuyer, à travers le projet (PAFIES).
Le ministre du Budget Mamadou Abdoulaye Sow soutient qu’il va faire le nécessaire à travers les composantes du projet. «Nous allons revisiter les stratégies de leur mise en œuvre et les moyens susceptibles de permettre leur réalisation», a-t-il avancé. Selon lui, les régions vont être les cibles de ce projet qui est à sa deuxième phase. «Nos recommandations seront orientées vers les structures décentralisées, notamment les régions où l’on pourrait prévoir des équipements en bureautique pour une meilleure communication. Le comité de pilotage va permettre à ses régions de se doter les moyens de leurs contributions au développement économique et financier de notre pays», a fait savoir le ministre du Budget.
Rappelons que les structures bénéficières du projet sont la Direction Générale des Impôts et Domaines, la Direction Générale des Douanes, la Direction Générale de la Comptabilité Publique et du Trésor et la Direction de la Prévision et des Etudes Economiques qui sont des Directions centrales du Ministère l’Economie et des Finances mais également l’agence Nationale de la Statistique et de la démographie et de la cour des comptes.
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