Il faut aider les confrères Aliou Diongue et Mame Olla Faye, aujourd’hui malades. Le compte BICIS n°0010 k 05207800016/18 est ouvert à leur intention. L’appel est lancé à l’occasion de ce nouvel an par le journaliste-sociologue Pathé Mbodj, à travers un communiqué envoyé à toutes les rédactions.
«Cet appel se veut responsable, c’est-à-dire que ceux qui veulent intervenir doivent le faire dans la plus grande discrétion pour respecter la dignité de nos confrères», a noté Pathé Mbodj dans un communiqué envoyé à notre rédaction. Considérant que les deux «excellents» confrères «se meurent lentement dans l’indifférence généralisée», le journaliste-sociologue, Pathé Mbodj, a rappelé «qu’ils nous ont valu beaucoup de satisfaction».
C’est par ce sentiment de sympathie, qu’il a ressassé sa dernière rencontre avec Aliou Diongue. «Ma dernière rencontre avec Aliou Diongue (+221776432334) remonte au jeudi 30 Octobre 2008; il était conduit par sa fille. M. Diongue perd progressivement la vue (le nerf optique se détériore lentement, m’a-t-il fait savoir) et doit se faire assister pour certaines opérations somme toute bénignes comme se déplacer ou consulter son mail», a souligné Pathé Mbodj dans son communiqué. Et de poursuivre : «Son épouse m’a appelé le 30 décembre au bord des larmes pour me dire que les choses avaient empiré, que Diongue était quasiment impotent et qu’elle cherchait à vivre dignement avec ses enfants et son mari», a-t-il noté. Selon Pathé Mbodj, Aliou Diongue est un « bon parti par lequel il lance pour la première fois de sa vie, par devoir et par nécessité, cet appel à la presse ».
Sur la même lancée, Pathé Mbodj a noté que Aliou Diongue partage son triste sort avec «le sémillant Mame Olla Faye, animateur de rédaction hors pair, qui a fait la renommée du sport à travers «Le Soleil», «Takussan», «Le Cafard » et «Sud». Par la même occasion, il a rappelé que Mame Olla Faye, «victime d’un accident cardio-vasculaire, se fait encore assister par le groupe Sud» qui assure l’essentiel de sa survie».
Cet appel humaniste est élargi pour tous les confrères qui sont dans la même situation. Nous pensons à Mamadou Lamine Dièye, Sud Quotidien qui est victime d'une paralysie et qui doit être évacué depuis six mois en France. Pour Ibrahima Diaw du Groupe Walf, et tous les confrères et consœurs meurtris par la pesanteur de l’année 2008 écoulée.
«Cet appel se veut responsable, c’est-à-dire que ceux qui veulent intervenir doivent le faire dans la plus grande discrétion pour respecter la dignité de nos confrères», a noté Pathé Mbodj dans un communiqué envoyé à notre rédaction. Considérant que les deux «excellents» confrères «se meurent lentement dans l’indifférence généralisée», le journaliste-sociologue, Pathé Mbodj, a rappelé «qu’ils nous ont valu beaucoup de satisfaction».
C’est par ce sentiment de sympathie, qu’il a ressassé sa dernière rencontre avec Aliou Diongue. «Ma dernière rencontre avec Aliou Diongue (+221776432334) remonte au jeudi 30 Octobre 2008; il était conduit par sa fille. M. Diongue perd progressivement la vue (le nerf optique se détériore lentement, m’a-t-il fait savoir) et doit se faire assister pour certaines opérations somme toute bénignes comme se déplacer ou consulter son mail», a souligné Pathé Mbodj dans son communiqué. Et de poursuivre : «Son épouse m’a appelé le 30 décembre au bord des larmes pour me dire que les choses avaient empiré, que Diongue était quasiment impotent et qu’elle cherchait à vivre dignement avec ses enfants et son mari», a-t-il noté. Selon Pathé Mbodj, Aliou Diongue est un « bon parti par lequel il lance pour la première fois de sa vie, par devoir et par nécessité, cet appel à la presse ».
Sur la même lancée, Pathé Mbodj a noté que Aliou Diongue partage son triste sort avec «le sémillant Mame Olla Faye, animateur de rédaction hors pair, qui a fait la renommée du sport à travers «Le Soleil», «Takussan», «Le Cafard » et «Sud». Par la même occasion, il a rappelé que Mame Olla Faye, «victime d’un accident cardio-vasculaire, se fait encore assister par le groupe Sud» qui assure l’essentiel de sa survie».
Cet appel humaniste est élargi pour tous les confrères qui sont dans la même situation. Nous pensons à Mamadou Lamine Dièye, Sud Quotidien qui est victime d'une paralysie et qui doit être évacué depuis six mois en France. Pour Ibrahima Diaw du Groupe Walf, et tous les confrères et consœurs meurtris par la pesanteur de l’année 2008 écoulée.
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