La santé de l’enfant est une préoccupation majeure. Des experts venus de différents pays étrangers sont en conclave à Dakar pour discuter des avancées réalisées dans le domaine de la santé infantile à travers la distribution de la vitamine A. L’objectif de ces journées de rencontre est d’institutionnaliser la supplémentation de la Vitamine A dans les activités de routine des structures de Santé. Il s’agit aussi de relever le défi de la réduction du taux de morbidité infantile d’ici 2015.
«Nos objectifs majeurs sont la réduction de la mortalité, l’amélioration de la santé de l’enfant et de la mère» a indiqué le représentant régional de l’Initiative pour les Micronutriments (MI), Banda Ndiaye. En effet, «la supplémentation en Vitamine A est une intervention durable, peu coûteuse ayant un impact élevé. Elle doit être soutenue par la plupart des pays en Afrique Sub-saharienne» a fait savoir le ministre de la Santé, docteur Safiétou Thiam.
Toutefois, elle a estimé que le combat ne doit pas s’arrêter là. Elle a indiqué que le défi actuel reste à étendre la couverture du paquet des interventions pour la survie de l’enfant à tous les niveaux du système sanitaire. «Il permettra de partager les expériences réussies dans nos pays, tout en mettant un accent particulier sur l’identification des approches similaires, des défis et des solutions pour l’intégration à d’autres interventions à impact élevé pour l’atteinte de l’Objectif du Millénaire pour le Développement» a révèlé le ministre.
Selon les experts réunis à cette rencontre de Dakar «en 2008, au consensus de Copenhague, les principaux économistes mondiaux ont conclu que la distribution de vitamine A et du zinc est la manière la plus rentable d'investir dans le développement. Chaque dollar investi en vitamine A entraîne un bénéfice de $17».
«Nos objectifs majeurs sont la réduction de la mortalité, l’amélioration de la santé de l’enfant et de la mère» a indiqué le représentant régional de l’Initiative pour les Micronutriments (MI), Banda Ndiaye. En effet, «la supplémentation en Vitamine A est une intervention durable, peu coûteuse ayant un impact élevé. Elle doit être soutenue par la plupart des pays en Afrique Sub-saharienne» a fait savoir le ministre de la Santé, docteur Safiétou Thiam.
Toutefois, elle a estimé que le combat ne doit pas s’arrêter là. Elle a indiqué que le défi actuel reste à étendre la couverture du paquet des interventions pour la survie de l’enfant à tous les niveaux du système sanitaire. «Il permettra de partager les expériences réussies dans nos pays, tout en mettant un accent particulier sur l’identification des approches similaires, des défis et des solutions pour l’intégration à d’autres interventions à impact élevé pour l’atteinte de l’Objectif du Millénaire pour le Développement» a révèlé le ministre.
Selon les experts réunis à cette rencontre de Dakar «en 2008, au consensus de Copenhague, les principaux économistes mondiaux ont conclu que la distribution de vitamine A et du zinc est la manière la plus rentable d'investir dans le développement. Chaque dollar investi en vitamine A entraîne un bénéfice de $17».
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