Malgré le rejet de la demande de forclusion des listes de la Coalition Sopi 2009 à Ndoulo et Ndindy par les juridictions, Mamadou Moustapha Touré, le président de la Commission électorale nationale autonome (CENA) a décidé de déclarer irrecevable les listes de la Coalition Sopi 2009 en cause. Au cours d’une conférence de presse, le président de Cena a assuré que sa structure avait les moyens de veiller au bon déroulement du scrutin de dimanche.
« Le cas des listes forcloses de Ndoulo et Ndindy, qui a fait l’objet d’un feuilleton judiciaire que vous avez tous suivi, a connu son aboutissement avec l’arrêt de la Cour suprême du 16 mars 2009. La CENA a décidé, à l’unanimité, lors de son Assemblée générale extraordinaire d’hier (mercredi), d’invalider les listes de candidature dans ces deux arrondissements. Elle a également enjoint aux autorités administratives concernées de ne pas mettre en place les bulletins de la coalition Sopi 2009 dans les dix localités concernées» a fait savoir Mamadou Moustapha Touré au cours d’une rencontre avec la presse.
Sur le budget dégagé et les moyens logistiques déployés pour le bon déroulement du scrutin, il affirme : « nous avons déployé des moyens considérables. Nous disposerons de 13 000 contrôleurs et superviseurs qui vont nous représenter dans autant de lieux et bureaux de vote. Quant au budget électoral, il s’élève à 1 milliard 500 millions de francs, alors que pour les moyens matériels et logistiques, ils sont constitués d’un total de 45 véhicules pick-up dont 11 tout neufs livrés hier, mercredi 18 mars 2009, pour permettre à nos CEDA de s’acquitter de leur mission avec plus de facilité ».
En définitive, M. Touré invite « au respect de la loi électorale et des autres dispositions réglementaires par toutes les parties engagées dans le processus électoral est la condition nécessaire et suffisante pour assurer la régularité, la transparence et la sincérité des scrutins ».
« L’atteinte d’un tel objectif, seul gage de lendemains électoraux apaisés, doit devenir une préoccupation partagée par l’ensemble du peuple sénégalais et trouver le début de sa concrétisation dans l’instauration urgente d’un dialogue franc, loyal et sincère entre les différents acteurs du système : autorités étatiques, partis politiques, organisations de la société civile et CENA », conclut-il.
« Le cas des listes forcloses de Ndoulo et Ndindy, qui a fait l’objet d’un feuilleton judiciaire que vous avez tous suivi, a connu son aboutissement avec l’arrêt de la Cour suprême du 16 mars 2009. La CENA a décidé, à l’unanimité, lors de son Assemblée générale extraordinaire d’hier (mercredi), d’invalider les listes de candidature dans ces deux arrondissements. Elle a également enjoint aux autorités administratives concernées de ne pas mettre en place les bulletins de la coalition Sopi 2009 dans les dix localités concernées» a fait savoir Mamadou Moustapha Touré au cours d’une rencontre avec la presse.
Sur le budget dégagé et les moyens logistiques déployés pour le bon déroulement du scrutin, il affirme : « nous avons déployé des moyens considérables. Nous disposerons de 13 000 contrôleurs et superviseurs qui vont nous représenter dans autant de lieux et bureaux de vote. Quant au budget électoral, il s’élève à 1 milliard 500 millions de francs, alors que pour les moyens matériels et logistiques, ils sont constitués d’un total de 45 véhicules pick-up dont 11 tout neufs livrés hier, mercredi 18 mars 2009, pour permettre à nos CEDA de s’acquitter de leur mission avec plus de facilité ».
En définitive, M. Touré invite « au respect de la loi électorale et des autres dispositions réglementaires par toutes les parties engagées dans le processus électoral est la condition nécessaire et suffisante pour assurer la régularité, la transparence et la sincérité des scrutins ».
« L’atteinte d’un tel objectif, seul gage de lendemains électoraux apaisés, doit devenir une préoccupation partagée par l’ensemble du peuple sénégalais et trouver le début de sa concrétisation dans l’instauration urgente d’un dialogue franc, loyal et sincère entre les différents acteurs du système : autorités étatiques, partis politiques, organisations de la société civile et CENA », conclut-il.
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