Les constructions qui ont été détruites par les populations de Diamalaye 1 et 2
Mme Sophie Diouf, l’une des responsables de la démolition des travaux effectués sur le littoral de Diamalaye a été cueillie ce mercredi matin par la gendarmerie de la Foire. Il lui est reproché d’être la principale instigatrice de la démolition des travaux du promoteur M. Paye.
Au moment où nous mettions en ligne, elle était encore en détention à la gendarmerie. Les populations des quartiers de Diamalaye 1 et 2 ne désarment pas et comptent passer à la vitesse supérieure si elle n’est pas relâchée et si les travaux ne sont pas arrêtés. Mme Faye née Ndèye Mara et Mame Coumba Ndao respectivement présidente et secrétaire du groupement «Takku Liggey» parlent de «décision arbitraire et de tentatives d’intimidation». Elles exigent sa libération de leur camarade Sophie Diouf et l’arrêt des poursuites sans condition.
Les jeunes quant à eux haussent le ton. «Nous exigeons la libération de notre présidente d’honneur et la suspension immédiate des travaux sans quoi nous passerons à la vitesse supérieure», ont-ils menacé.
A l’origine du conflit entre le promoteur et les populations de Diamalaye 1 et 2, c’est la construction d’une cité sur le long du littoral. Ce que ces habitants ne comptent pas cautionner ni accepter. Alors le groupement des femmes, le relais communautaire, l’association sportive et culturelle, l’association des lutteurs et la jeunesse de Grand Médine se sont soulevés ce mardi 13 janvier pour détruire toutes les constructions qui avaient commencées à sortir de terre. Ils ont aussi détruit tout le matériel qui était sur place obligeant, ainsi, le maitre des céans, M. Paye à prendre la poudre d’escampette.
Selon eux, un tel projet va entrainer le déguerpissement des refuges de fortune (tentes et cabanons), le parc sportif… Ces dames du Groupement «Takku Liggey» ont estimé que cela va favoriser l’inondation dans toute la cité pendant l’hivernage.
Le groupement des femmes, le relais communautaire, l’association sportive et culturelle, l’association des lutteurs et la jeunesse de Grand Médine vont se réunir ce mercredi soir à l’école élémentaire de Diamalaye pour apprécier la situation. Compte tenu des derniers développements, ils vont décider de la suite des événements et surtout des stratégies à adopter.
Au moment où nous mettions en ligne, elle était encore en détention à la gendarmerie. Les populations des quartiers de Diamalaye 1 et 2 ne désarment pas et comptent passer à la vitesse supérieure si elle n’est pas relâchée et si les travaux ne sont pas arrêtés. Mme Faye née Ndèye Mara et Mame Coumba Ndao respectivement présidente et secrétaire du groupement «Takku Liggey» parlent de «décision arbitraire et de tentatives d’intimidation». Elles exigent sa libération de leur camarade Sophie Diouf et l’arrêt des poursuites sans condition.
Les jeunes quant à eux haussent le ton. «Nous exigeons la libération de notre présidente d’honneur et la suspension immédiate des travaux sans quoi nous passerons à la vitesse supérieure», ont-ils menacé.
A l’origine du conflit entre le promoteur et les populations de Diamalaye 1 et 2, c’est la construction d’une cité sur le long du littoral. Ce que ces habitants ne comptent pas cautionner ni accepter. Alors le groupement des femmes, le relais communautaire, l’association sportive et culturelle, l’association des lutteurs et la jeunesse de Grand Médine se sont soulevés ce mardi 13 janvier pour détruire toutes les constructions qui avaient commencées à sortir de terre. Ils ont aussi détruit tout le matériel qui était sur place obligeant, ainsi, le maitre des céans, M. Paye à prendre la poudre d’escampette.
Selon eux, un tel projet va entrainer le déguerpissement des refuges de fortune (tentes et cabanons), le parc sportif… Ces dames du Groupement «Takku Liggey» ont estimé que cela va favoriser l’inondation dans toute la cité pendant l’hivernage.
Le groupement des femmes, le relais communautaire, l’association sportive et culturelle, l’association des lutteurs et la jeunesse de Grand Médine vont se réunir ce mercredi soir à l’école élémentaire de Diamalaye pour apprécier la situation. Compte tenu des derniers développements, ils vont décider de la suite des événements et surtout des stratégies à adopter.
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