Le constat du Professeur kassé s’appui en partie sur la presse, « à la une des journaux, les titres sont expressifs d’une guerre civile annoncée : œil pour œil, loi du talion, riposte physique, psychose de chaos, affrontement frontal, mobilisation de milices et de gardes de corps. Les appels à la violence se multiplient sous des formes diverses à peine voilées. Parallèlement, les achats d’armes légères, les agressions verbales et les outrances s’accroissent chaque jour ».
Le Doyen Honoraire qui pense que « ces éléments et bien d’autres constituent, bel et bien, les signes précurseurs d’un grave danger qui pointe à l'horizon politique », regrette que « les auteurs ne semblent pas mesurer avec lucidité et responsabilité toutes les conséquences pour un pays dont le principal fonds de commerce est sa démocratie, sa stabilité, sa paix sociale… ».
Une situation compliquée par « l’absence de débats, de confrontation des idées, de concertation et de recherche de dialogue » ce qui « a totalement cristallisé beaucoup de frustrations qui n’attendaient que la moindre étincelle pour exploser ».
Mais l’espoir est permis car constate le Professeur Kassé, « le dialogue et la concertation dans des instances appropriées et restreintes et en dehors de toute médiatisation tonitruante peuvent rétablir la confiance en vue de trouver une solution de paix et éviter les confrontations. Puissent nos dirigeants comprendre le message et proposer non la division mais le regroupement de nos forces dans l’intérêt de tous et surtout des plus faibles d’entre nous ».
Le Doyen Honoraire qui pense que « ces éléments et bien d’autres constituent, bel et bien, les signes précurseurs d’un grave danger qui pointe à l'horizon politique », regrette que « les auteurs ne semblent pas mesurer avec lucidité et responsabilité toutes les conséquences pour un pays dont le principal fonds de commerce est sa démocratie, sa stabilité, sa paix sociale… ».
Une situation compliquée par « l’absence de débats, de confrontation des idées, de concertation et de recherche de dialogue » ce qui « a totalement cristallisé beaucoup de frustrations qui n’attendaient que la moindre étincelle pour exploser ».
Mais l’espoir est permis car constate le Professeur Kassé, « le dialogue et la concertation dans des instances appropriées et restreintes et en dehors de toute médiatisation tonitruante peuvent rétablir la confiance en vue de trouver une solution de paix et éviter les confrontations. Puissent nos dirigeants comprendre le message et proposer non la division mais le regroupement de nos forces dans l’intérêt de tous et surtout des plus faibles d’entre nous ».
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