Les populations s’opposent plus que jamais à l’implantation du projet de « Senegindia » dans leur localité. Dans ce sens, un recours en justice a été introduit pour attaquer la délibération du Conseil municipal qui a octroyé 1000 hectares à cette société étrangère.
Avocat du collectif des paysans de Diokoul, Me Assane Dioma Ndiaye annonce l’introduction de deux (2) recours pour «attaquer cette délibération du Conseil municipal». Le Président de la Ligue Sénégalaise des Droits de l’Homme (LSDH) qui évoque «une requête aux fins de sursis», ajoute que «la Cour suprême a accédé à la demande de sursis de l’exécution de la délibération».
«Donc, tout le monde était censé attendre que la Cour suprême statue sur le recours à l’annulation mais manifestement aujourd’hui, la société « Senegindia » a décidé de passer outre, de fouler au pied la décision de la Cour suprême, de faire du forcing. Evidemment, cela a généré et ce qui nous inquiète, c’est l’attitude des autorités administratives. La décision de la Cour suprême a été notifiée à toutes les parties, aux autorités administratives. On ne peut pas comprendre aujourd’hui que la décision soit ignorée jusqu’à ce que de telles violences s’en suivent… », poursuit-il sur Sud fm.
Ce, au moment où le maire de Diokoul qui parle d’une «aubaine» pour la localité, indique que «le site a fait l’objet d’une délibération… ».
Avocat du collectif des paysans de Diokoul, Me Assane Dioma Ndiaye annonce l’introduction de deux (2) recours pour «attaquer cette délibération du Conseil municipal». Le Président de la Ligue Sénégalaise des Droits de l’Homme (LSDH) qui évoque «une requête aux fins de sursis», ajoute que «la Cour suprême a accédé à la demande de sursis de l’exécution de la délibération».
«Donc, tout le monde était censé attendre que la Cour suprême statue sur le recours à l’annulation mais manifestement aujourd’hui, la société « Senegindia » a décidé de passer outre, de fouler au pied la décision de la Cour suprême, de faire du forcing. Evidemment, cela a généré et ce qui nous inquiète, c’est l’attitude des autorités administratives. La décision de la Cour suprême a été notifiée à toutes les parties, aux autorités administratives. On ne peut pas comprendre aujourd’hui que la décision soit ignorée jusqu’à ce que de telles violences s’en suivent… », poursuit-il sur Sud fm.
Ce, au moment où le maire de Diokoul qui parle d’une «aubaine» pour la localité, indique que «le site a fait l’objet d’une délibération… ».
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