À Sicap Mbao, commune de Diamaguène, l'histoire de Moustapha Mb. , un émigré revenu d'Algérie, a pris une tournure tragique. En conflit avec sa mère, qu'il accuse de la détérioration de son mariage, il l'a frappé sa mère et lui a brisé deux doigts avec des tenailles.
Après le décès de leur père, Moustapha et ses frères et sœurs se partagent l'héritage, incluant une maison. Tandis que ses proches préfèrent rester au Sénégal et acquièrent une maison commune au quartier Taïf de Sicap Mbao, le mis en cause décide de tenter sa chance en Algérie avec sa part d'héritage.
Cependant, son aventure tourne court. Pendant de longues années, il finit par revenir bredouille. De retour au pays, il trouve refuge dans la maison familiale avec son épouse, mais les tensions montent rapidement entre lui, sa famille et sa femme.
Les relations conflictuelles avec ses proches et l'incapacité de Moustapha Mb., à subvenir aux besoins de son ménage précipitent l'éclatement de son mariage. Sa femme, excédée, quitte le domicile conjugal pour retourner chez ses parents. Face à cette situation, il rejette la faute sur sa mère, Mame B. Mb., qu'il accuse d'avoir provoqué le départ de son épouse, informe Les Échos.
Jour après jour, il s'en prend verbalement à elle, la couvrant d'insultes. Par souci de préserver la paix dans la maison, la vieille dame a choisit de se taire et de ne pas rapporter les faits à ses autres enfants. Un jour, tout bascule. Alors qu'elle revient d'une course, sa mère lui demande de lui céder le passage dans la cour. Devant son refus, elle passe malgré tout, mais effleure son fils par inadvertance. Furieux, Moustapha entre dans une rage incontrôlable.
Il soulève sa mère, la projette violemment au sol, et la frappe à coups de poing. Puis, dans un accès de cruauté, il s'empare de tenailles et lui brise deux doigts de la main. L'abandonnant sur place, il laisse sa mère en proie à une douleur insoutenable, relate le journal.
Secourue par des voisins qui sont alertés par ses cris, Mame B. Mb., est transportée à l'hôpital. Après avoir reçu des soins, elle obtient un certificat médical attestant d'une ITT (Incapacité Temporaire de Travail) de 14 jours et dépose une plainte au poste de police de Sicap Mbao.
Quelques jours plus tard, le mis en cause est retourné discrètement à la maison familiale. Il s'attaque violemment aux biens de la famille, provoquant d'importants dégâts matériels. Alertée, la police intervient rapidement et l'interpelle sur place.
Présenté devant le parquet du tribunal de grande instance de Pikine/Guédiawaye, Moustapha Mb., maçon de profession, est poursuivi pour "violences volontaires et coups et blessures sur ascendant ."
Après le décès de leur père, Moustapha et ses frères et sœurs se partagent l'héritage, incluant une maison. Tandis que ses proches préfèrent rester au Sénégal et acquièrent une maison commune au quartier Taïf de Sicap Mbao, le mis en cause décide de tenter sa chance en Algérie avec sa part d'héritage.
Cependant, son aventure tourne court. Pendant de longues années, il finit par revenir bredouille. De retour au pays, il trouve refuge dans la maison familiale avec son épouse, mais les tensions montent rapidement entre lui, sa famille et sa femme.
Les relations conflictuelles avec ses proches et l'incapacité de Moustapha Mb., à subvenir aux besoins de son ménage précipitent l'éclatement de son mariage. Sa femme, excédée, quitte le domicile conjugal pour retourner chez ses parents. Face à cette situation, il rejette la faute sur sa mère, Mame B. Mb., qu'il accuse d'avoir provoqué le départ de son épouse, informe Les Échos.
Jour après jour, il s'en prend verbalement à elle, la couvrant d'insultes. Par souci de préserver la paix dans la maison, la vieille dame a choisit de se taire et de ne pas rapporter les faits à ses autres enfants. Un jour, tout bascule. Alors qu'elle revient d'une course, sa mère lui demande de lui céder le passage dans la cour. Devant son refus, elle passe malgré tout, mais effleure son fils par inadvertance. Furieux, Moustapha entre dans une rage incontrôlable.
Il soulève sa mère, la projette violemment au sol, et la frappe à coups de poing. Puis, dans un accès de cruauté, il s'empare de tenailles et lui brise deux doigts de la main. L'abandonnant sur place, il laisse sa mère en proie à une douleur insoutenable, relate le journal.
Secourue par des voisins qui sont alertés par ses cris, Mame B. Mb., est transportée à l'hôpital. Après avoir reçu des soins, elle obtient un certificat médical attestant d'une ITT (Incapacité Temporaire de Travail) de 14 jours et dépose une plainte au poste de police de Sicap Mbao.
Quelques jours plus tard, le mis en cause est retourné discrètement à la maison familiale. Il s'attaque violemment aux biens de la famille, provoquant d'importants dégâts matériels. Alertée, la police intervient rapidement et l'interpelle sur place.
Présenté devant le parquet du tribunal de grande instance de Pikine/Guédiawaye, Moustapha Mb., maçon de profession, est poursuivi pour "violences volontaires et coups et blessures sur ascendant ."
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